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Full text of "Le patriote de l'Ouest (1925-01-14)"

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1.2 


coul jou 
Saskatchewan 


Oirane des Catholiques de Lingus 
française. du Nofd-Ouest - 


1, ’ 


RÉ ES 


" çst lu” chaque semaine 
de 30,000 personnes 


û 


Île “Patricte 
par plus 


ere ermnscus dent dt 


k D TES 


TALK AUCGLAIR, O.M.L Dire 
== — mn ee rene oremmmarureens 
se Année | Se 2-705 PRINCE-ALBERT, SASK., Mercredi 14 janvier 1925 


LR 
 APOTRES 


mous dit un anot déjà du b 
haussoié, CE) | NE 
que le lecleur soit tn lettré au goût difficile, ou un 
une du peuple d'instruction ordinaire, l'un et l'autre après avoir 
on me ces pages 1e peuvent manquer de dire: voilà nn beau livre. 
PE ue le ajet traité? Lstece le charme du stylo fait de simplicité 
u de distinction? Est-etfle’ dramatique ct le contraste de vies subli- 
que un eudre de’pauvrbté et de misère? Est-ce le frémissement 
ni donne toujours au côbur le beauté du dévouement qui s'ignore et 
te d'un coup d'iilé "jusqu'à l'héroïsme ?2— Cest tout ‘cela sans 


Er dout DU 
“En nos temps de’ sééplicisme, de niâtérialisme et, d'irvéligion, 

ous vivons dns Je surnal ul, et nous fre le savons pas”, écrit M. 
4 Veuillot dans la préface; à co-livre :.. La Prôvidence, hetr- 
É ecnent, nous prehdht Un pitié, shscite quelquefois de modernes 
Éhouvèeres dont les chansoils ‘de. gokte éveillent- notre attention. Les 
Eure el «uraturels exploits dont. ils furent .chlouis nous arrivent 
des ailes de leurs récits, émus et pittoresques... Is trouvent le che- 
Ein de nor coeurs eh pusslnt par nos curiosités. Le Père Duchaus- 
Bis de la Congrégation dés Oblats'de Marie Immaculéc; est l’un de 
«Leurs et dé CCS poiles”. Ve . Se 
L'apétr. inconnu, C'est le Frère coadjutsur,. 
Ale rigucur, je‘cohiprends le.dévouemént du prêtre, mais ce- 
ni du frère, est pot mob'un mystère” disait'un protestant ache- 
eur de fourrures dans’ les régions del’Octan Glicial 

“Le livre de P. Duchadssoïiss'attuche à expliquer ce mystère tout 
mplement en le faisait vevivie SOUS OS VERX.. | 

" Etet une histoiré-dé beauté. Neuf-chapitres, qui sont autant 
ktbleaux, en paitagent les: 250 pages qui nous montrent le frère 
religieux et auissionnairé dus <es”lifférentes fonctions, de naviga- 
eur, chet d'équipages, bâtisseur, agriculteur, pêcheur, ete. 

Les fonctions sont des plus hutables-et toujours dés plus pénibles, 
anis quels bounnes de dévouement-joyeux,'de vourage héroïque et 
Ulevertu aduirable que -ces huinbles ‘frères! —. 

:.Peprit jouisseur ct inercantile dusièle-est un souffle mauvais 
qui prse sur tous les peuples. 1 dessèéhe toût. 11 eulaidit tout, Le 
Eulte de la piastre est devenu nne religion eruelle qui tue lu beauté, 
che bonheur, abrutit ses adeptts-énsattendant de les dévorer. 
7 Notre peuple, encoreprofondément. catholique; est atteint com- 
me lus autres. Lorsque l'égoisme jouissenr et Vinférêt matériel cal- 
Éulent touts l'activité hunaine à laspiastre €'en cet fini des nobles 
sntiment. du dévonenient. de la charité, du patriotisme et finale- 
“ment de la religion "elleinfine, Que ce mal, ee culte du veau d’or 

lutte idolatrie de Ja chair, envahissent toutes les âmes ei c'en sera 
Éini de kr civilisition. éhrélienno basée sur le sacrifice et le-dévoue- 
Een. LUC RE ee eee .. 
1 Mai. Dieu mer PV -aencorede bellés mes qui‘eut ti autre 
idéal de vie que celti dé faire de l'argeut et de‘éerrépaître des grossiè- 
4 juuicouces qui faisaient Aout Je triste apanage. du. paganisme. 
| Ent peut-ètre leut, SeutiOi ot il 
pi 


. ne ‘ 
“u ct bon livre que vient de pu- 


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Nou: 
bliur le P. Duc 
Poun bre: 


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Fe à ces Gmies-lr-étilout que le.beau livre “Apôtres inconnus” 
eu du bit Elles y. tiouvetont l'atmüsphère qui leur: convient, la 
laivre qu'elles cherchent. | © NS tt 
Nos souhaiterions doñe que ce bèeur livre pébètre dans toutes] 
Lplus qu'un beau livre, C'est un bon livre, nn 
Aux uùs ils inspirera le désir de la- 
atique plus -par- 


Es famille, cor c'es 
Eure qui fera du bien à tous. 
Épestoltt dans la vocation religieuse, aux autres à pr 
Eee l'esprit chrétien au milieu du monde. 7 2. 
io Lente qu'une. partie du chumb d'action de l'epôtre inconnu 
uns revèle Le Jivre-du P. Duchuussois, :'A'ehaquè page où cons’ 

Été que ce < humbles coudjuteurs de FEvangile sont atécessaires pour| 

Esontentr Le ministère du.piôtre dans les missions, si pénibles à la nu-! 
) Et ‘cela constittie un appel émouvant aux! 


tue, de Extreme Nord. 
at elles qui se sentent capables‘ d'un évuruge héfoique avec 
dl tte de Dieu. { ‘ | D : ; ‘ 3 : 
EU Mi 6 a d'autres champs d'action, moins pénibles peut-être 
Et Curie potuts de vue."uù ces bonnes volontés ne sont pas moins 
jetsres ef où celles pourraient exercer leui zèle d'apostolat incon- 


Mavee Len moins defruit, £%4 


Sa ut 2 . 


1 a" Dm n ee . , : oo Fe ‘ 
u., u fi # à ICE des champs dattiouscuvore inexploit(s. qui ailleur 
‘ <a ete ouriers érangéliques.pour:produiresde-hallesaunissons. 
RU Du permettrons: d'ébridiquériunt celui dé Ta presse GE ETES 
lue. ra SU Re DRE OH 


{ 


Quel bicu immense H'accompliraient pas de bons. frères cgädju- 


4 : , Ua ‘ se qe ne 
se xic'à la-composhion “et à, Fimpression 


US qui emssacreraient Jeu 
Us buns jonnaux!. : 


eee dut.de la 


. D) 


| presse dtliolique.. 7 
ue Disu cnvoie d'âäbündauts ouvriers dis # la 
É eon CA arnde ctit x a-béanéoup dé bien'à faire qui ne se fait pas 
En: Qi ns à pus d’ouvrierst Qu'il donne uu inonde de-nom- 
EAUX potes iconnus. 5 Do TT 


5 


l. a vign£! . Car’ 
ADS 


( 
} 


És 
ra 
15 sous francu, * ‘ 


NN 


LeF. O. M. I. 


uclair, 


d SET 


anses 


Apôtres Ineonnus.—Br. P. Duchaüssois, “OM "250. pages, in oclu- 
M0 illustré. En vente äu Scholasticat des Oblats, Edmonton, Alta. Prix 


: e senation re.t de.son: diocèse. La: congrégation 
3 ki congrégation re {qu'il vient de fonder portera ce 
Ê. igieuse chiffre à‘ quinze. Ù 


À 
pet “ 
4 Mgr 
4 


_— TS en 
L'organisation et la“coordina- 
tion des oouvres catholiques 


Prul'hognn Û 
| 1 e 
née Albert at i 
ctuel}e me 


—Pour Je mois. de janvier, l'in- 
tention spéciale, approuvée et bénie 
par Notre Saint-Père le Pape, et qui 
est proposée aux ‘Suffrages des'as- 
sociés : de: l'Apostolat de la Prière, 
c'est ““Porganisation et’ la coordina- 
tion des'.oeuvres catholiques”, Voi- 
& une fin pour laquelle tous les çu- 
tholiques véritables ne -manqueront 
pas d’implerer le Ciel avec une par- 
ticulièére lerveur.. Car il importe 
souverainement: que 1è$ Bataillons 
de l’armée du Christ. soient forte- 
ment. organisés .et disciplinés aver 
ve efficacité parfaite,-à l'heure où 
il: semblé que lennemi de Jésus ct 
-de: l'homme, Je Prince des ténèbres 
“mobilise. ses. :phalanges pour un 
coup décisif: à. l’assaut. den. 

di biens © Te 


elle, qu'it 
recommandée 
corines : cola des 
caines. de-St-Joseph 
Ni se Consaerent- spécialement au 
€ des hôpitaux, des. instituts 
Sourds-muets, és orphelinats, 


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NO personnes dévonées, qui se 
cu les premières consacrées À 
Grp u tre habitent-présentement 
a qe in ’Otterburn, * Manito- 
fl es Ont attendu danssle trac 
"4 briére:la décision de Ro- 

à, Mer Prid'homme avait déià : de: 
jut de son. épiscopat, 
de. tit à quatorze le noin- 
“ Congrésations religieuses” 
. i - Ft 


Cit 


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jermmmenmmermimememmemimmmemreneuimie, (NET UEETTE CT 
l } : à 


LES NOUVELLES 
- CHEZ NOUS ET AILLEURS | 


à , re 
AIDES 0m IEEE LES LE NE I EHESS EN ED ES ED ILES ER 1 EN 0 ED 


Î Au montent où le cabinet fédéral Les journaux de Saskatoon rap- 


QUES ED, MED ER EN 


à 


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” e. La PCT ICE 
Le prochain sénateur de l’Al.1 À propos d’une éritique du 
_ s LR 
berta doit être l’un des nô-| programme d'étüdes dans 

’ Es . à 

tres, nos Écoles 
se dispose à remplir les vacances! portent que le Dr 4, NS: Huff, prin- 
au Sénat, il faut ui rappeler par Hal cipal de Pécole Norme de cette 
voix de nos journaux que les draits| ville, s'est attaqué ‘fortement au 
de, Félément français ne ‘devront! curriculum d'études dans les écoles 
pas être méconnus ‘et sacrifiés cet- {de la province, . 
te fois encore, D'après le compte réndu de son 
Les positions que nous tenons à! discours devant les membres du 
la législature du pays sont déjà par! Rotary Club, M Huff en. aurait 
trop faibles pour que nous songions! principalement contrée, l’inflexibi. 
à en abandonner quelqu'une, Gar-|lité du programime des écoles, on 
dons avec.un soin jaloux la” repré-! si l’on veut, Penseignerhent des mé- 
sentation qui nous est dûe à al mes matières,, au même degré, à 
chambre haute, ct’pour cela ne ces-ltons les enfants de queltues talents 
sons de réclamer, de faire con! qu'ils soient, “Entre ‘1 seience de 
prendre que nous Y Aienons, | lPédueation et la pratique actuelle,: 
Libre à I provinee de Québec de | 7 & un abime”, dit M. Huff. 

faire cadeau de lun de ses comtés! - 1 appelle les elasseside nos éco- 
à la province de l'Alberta pour les|les, des elasses-bataiflons, où les 
beaux veüx de M. King, «x dé-lenfants de grande. ‘intelligence, 
pens de la représentation française! ceux qui en ont: juste assez, et mé 


: Mort de Mgr Gaire 


Dans upe cireulaire à son clergé 
NS. G. Mgr Mathieu, écrit à la date 
du + janvicr: 
“Le diocèse vient de perdre unit 
de ses prètres les plus dévoués et 
les plus estimés, Une mort impré- 
vue nons «a enlevé ce chèr Mr Gui 
re, un de ces prêtres dont PEsprit 
Saint fait Péloge quand il dit: “Et 
dies pleni invenientur in eis”. Cet- 
te belle àme en brisant san vnvelap- 
pe, comme Mndelcine son vase de 
parfum sur les pieds de Jésus, lais- 
sers un parfum dont le diocèse res- 
tera lougtemps embaumé, “Et do 
mus completa est ex odore unguen- 
i 


Mans M Gaire, P. D, curé de 
Wauchope, Sask,, était Fun des prè- 
tres les plus anciens et les plus mé- 
ritants. du diocèse de Régina. 

. Né près de Strasboutszg en lran- 
ce, en 1853 il avait été ordonné en 
1878. Aprés 10 années de ministère 
en France, il Ctait venu au Canada 
on 1888 ct avait mis ses services à 
la disposition de Mgr Taché, avche- 
véque do St-Bonifaec, . 

On lui confiu Ia desserte des mis- 
sions de l'ouest du Manitoba. C'est 
la qu'il fonda la paroisse de Grande 
Clairiére et il en fit le centre de 
ses activités. 

Plus tard, en 1903, à da demande 
de Mgr Langevin, il vint se fixer çn- 


eo ae an rte An songe not mme nee ne à 


Prince-Albert, Bash. 
Abonnement: 


n an, Canada.....,.. 62.00 
ci Etats-Unis ...... 02.50 
* * Europe cesse, 93.00. 1f 


D 


NOTRE LANGUE 


\ 


” Chez les Ecrivains 


sou compte une suggestion. de 
Baudrilart en 


Mie 
« . formutlant le -voeu 
se à la Semaine des écri-, de voir s'établir entre les journa- 


question de la bonne pres | 


listes catholiques des divers pays 
du monde des relations religieuses, 


4 


U L] 

vains catholiques . 

Paris, Lu-semaine des éori- 
vains catholiques vient d'uvoir licu 
à Paris, 

On y a étudié surtout Le rôle que! 
devront remplir les écrivains en- 
tholiques dans la presse, 

Le premier rapporteur exatmina 
surtout la situation de fait de la 
grande Presse parisienne envisagée 
au point de vue catholique. H:dé- 
nonçea le redoutable danger que 
court l'opinion fr. s aise pervertic 
par cetle presse, détournéc des ver- 
lus religiouses, à tout le moins pri- 
vée d'une dacirine, ct examina ce 
que Les écrivains eatholiques peur- 
vent faire dans Pordre pratique 
pour remèêdier à une telle situation, 

On discuta ensuite lu question de 
savoir si un catholique peut colla., 
borer à un journal dit de grande 


Le Canadu représenté. ? 
Puis des journalistés rhollaidais, 
canadiens, polonals, ‘vinrent ‘dire 
leu qu'ils pensent de la prose, Gn- 
tholique française et ce qu'est Ja 
presse catholique chez eux: 


Ê 


Attitude à: modifier 


! à è 

Parlant du fouemalisme à lPétran- 
ger, Mgr Baudriljart, demanda. aux 
écrivains catholiques dé” s'emplo- 
ver à moditioe l'attitude.des "Fran- 
enis, en particulier ‘des intellec- 
tels francais, vis-vis des étiyn- 
pers, plus spécialement dé ceux qui 
viennent en Franec, En effet, non 
sonlomeñt Les Français montrent 
fort peu de curiosité de ce .qui.he 
fuit hors de leurs frontières, én. 
information: Le KR, . du Passage fpartieulior sur Je terrain entholi- 
remarqua justement qu'en celte ma- que, mais quand on Viurt les en ne 
tière certaines distinetions s’hupo- former, ls n'ont méme pus la cotifs 
sent, Si par sa notorièlé, un &, loisie d'accuoillir  nvec ‘quelque 
crtvain risque de servir In propu-{ empresienent le visitéur qui dr- 
“#ande du journal. nont il trouve rive, cusseut-ils tout 'fh a prendre 


ébmeont du français. dons les 


el catholique an parlement du pays! 
La minorité française et catholique 
des-provinces de l'Ouest nc saurait 
aller jusqu’à cet excès de complai- 
sace dans limitation des électeurs 
du comté d'Argenteuil, La mort 
lui à ravi duns Jes rangs des séna- 
leurs son unique représentant pour 
l'Alberta, et elle veut que le regvet- 
té M. Côté soil remplacé par l'un 
des siens, ‘ 
C'est une position qui nous re- 
vient au Sénat de notre pays, Les 
hümmes ne nous manquent pas pour 
l'occuper honorablement: M. King 
a que l'embarras du choix parmi 
les fidèles adeptes de son parti dâus 
la province-socur, 
Nos compatriotes de PAlberla 
semblent, Sétre ralliés en nombre 
suffisant -atiour de’ la candidature 
de M Prosper Lessard. Quelque 
soit d'ailleurs lhonmme de leur 
choix, cet homane devient Le nôtre 


lu de a population ‘française de 
l'Oucët, toutes nos: voix .lui sont ac- 
‘quisés, 6t.nos forces: s'uviront à 
celles de nos frères albertains pour 
le porter jusqu'au siège quil doit 
occuper en notre noin an Sénat ci- 
nadien: :. PL ET 

. Phonorable M, PE, Less, ve- 
nu'diuis" l'Ouest en 1898 àIa fin de 
‘ses études au Mont St-Louis de 
Montréal, s’y est toujours occupé 
de politique, et x a'joué mème un 
rôle important -lorsqu'aprés, la for- 
mation des provinces actuélles il 
devint membre du conseil: des mi- 
nistres, Son jugement’ sûr et son 
grand sens des affaires ont fait he 
précier ses services daûst ln -diréc- 
tion de plusieurs entreprises finan- 
ciéres, Tout Ie bean -distriet de 


St-Paut-des-Mètis Jui doit. certaine fc 7 
Au’ cours dun 

peut-être un peu lente à venir au t"Caunada, à Nation” le Star. de Sas | vre dans la mort il véc 

katoon, se permel ectte:irévérence 


ment une partie de Hi pruspérité, 


goût de plusicurs, mais qui s’annon- 
cc brillante dans un avenir pro- 
chain. RC 

Connaissance du pays ct de ses 
Hesoins, initiation préable aux af- 
foires publiques, expérience des mi- 
Jeux parlementaires, M. Lessard 
posséde, à coub sûr, autant de qua- 
ltés requises pour devenir un bon 
sénateur utile au Canada, que n’im- 
vorte.-quel autre aspirant: anglo-sa- 
xon.de sa‘provitice.: Sans coipter 
que” sa, nomination continuerait ‘fa 
tradition,’ crééé nas: Sir Wilfrid 
Laurier el respectée par $cs-sucees- 


seups- dé réserve lun des siègés [- 


de a chambre haute’ à élément 
fraffeais de l'Alberta, 


‘ Cr 


M. Dunning répond: à l’ 
‘range Sentinel” 


O. 


"4 


Régina. — AL le premier ministre 
Dunning a cru de son devoir de 


répondre aux attaques que lOran- 


“ge Sentinel, de Toronto, dans son 


édition du 43 décembre, avait lur- 
cées. contre son gouvernement, au 
sujet de Penscignement du fran- 
eais dans les écoles de la. Saskal- 
chewan. x : Pa 

Voici Ja lettre de M. Dunuing au 
rédacteur. de lu “Sentinel”: 

“En première page de votfe nu- 
mévo du 13 décembre, il x à un 
article intitulé “Les Ecoles de la 
Süskatchewan”” “Vous ninvitez à 
faire une déchuwation énergique et 
chüre,,; an sujet de supposés ur- 
rangements pour l’enseignement 
obligatoice du frinçais dans les 
écoles’ de la Saskatchéwan, . Je 
vous demanderais donc, de publier. 
en premiére page ce qui suil : 
Premièrement, le gonvernement de 
la Saskatchewan ne se propose pis 
de rendre le français obligatoire: 
dans les ééoles dela Saskatchewan, 
Deuxièmement, aucune promesse 
n'a été faite par le gouvernement 
ou quelqu'un de ses ininistres, à 
l'effet que Penseignement du fran- 
cais deviendr:® obligatoire dans les 
écoles de la: Saskatchewan dans 
un-avenir quelconque; et troisié- 
imement, aueéune. organisation . ou 
individu h'a jomsis demandé au 
gouvernement dé la Saskatchewan 
de rendre obligatoire ‘ l’énseigne- 
[ écoles 


atchewan?" : 1 


dé Ta: Sask 


du. fait qu'ils l'ont choisi: il est lé. 


France, fait -remettre à l'honorable 
[ 


H 


le 


Du français dans les fram- 


Jorne Îles nouveaux 


nant de, 2 


me les buses sont t 
en mème temps. 
M. Duff doit vivre unipeu’dans la 
lune. Personne ne “cpnteste que 
l'idéal serait d’avoir: dans la même 
classe des élèves d'égalé force, sus- 
ecptibles d’attoindresle méme de- 
gré de développement -intellectuel, 
Mais M, le principal Gyblie que Ia 
nature n'a pas fait {oué les enfants 
‘égaux sur ce point; ét:qu'il ne faut 
pas demander au gouvernement de 
wocçüper de: classifieation, on si 
l'on, veut, de.sélections fnpossibles. 
Le plus que F'on peut exiger de nos 
gouvernants, c'est d'adopter un 
programme d’études gbi convien- 
ne à la moyenne 


ous cseignés 


des intollisences 
des_enfants, Les esprits lrop fai. 
‘bles pour Îe-suivre ne souf pas 
faits pour fréauenter-les écoles: 1c$° 
intelligences brillantes doivent v 
suppléer par des études personnel. 
les, vu par les cours: particuliers 
qui -se donnent dans "les maisons 
! d'enscignement secondalre, L 
2 S'il Y à quelque chogé ‘à repro- 

-études de 

nos écoles, c'est qu'il esé {rop-char- 
gé ol:quelque. pet au-d'ésus.de.la 
moyenne. ‘On. sacrific: l:solidité 
‘au .nombre.des connaissances, T 
atdrail mieux pour nostenfants 
d'apprendre moins de choses, se- 
|sandaires ou d'agrément, et'de pos: 


& 


cher” au curriculum dé 


séder à fond les rudimentst des 
sciences nécessaires à Li wic'mrils 
auront.-à vivre, en cst.de, lins- 
truction comme de la nourriture: 
qguelnues mets, substanticls ‘bien 
préparés, el. assimilables, valent 
“mieux que toutes. des confilu 
les sucreries du monde. 
te e 0-0 mme se 7 


. ‘Education canadienne 


ete 


an DER 


; 


“article * intitulé 


au sujet de notre :sYstème., d'écoles 
publiques: “Nous avons emprunté 
aux États-Unis un système “d'ins- 
truction publique ® qui renferme 
beaucoup de-ce qui es! hrütal, prus- 
sien ei stupide” Quand donc: au- 
rons-nous dans toutes les autres 
brovinces comme dans Québec, une 
véritable, éducation canadienne, 

ge TT Te ii 
La lutte des Canadieris fran. 
- ‘-çaïs ‘en l'Ontario suscite’d : 
: : x sympathie en France 


CL à: Pos ne À 
FrOtawas — L'Alliance Française, 
section: de ‘Guéret, dans Ia Creuse, 


sénateur Belcourt, président de-EAs- 
ociation Canadicnne-françoise d'E- 
ducation de l'Ontuÿo, une gracien- 
se aHocation de quâtre cents franes 
“pour Êécole libre franco eatholi 
que de. Pembroke, Ont. . 


ways d'Ottawa 


Ottawa. “Sil vous plait entrez 
en avant” tele est l'inscription qui 
tramways dOt- 
fawa, Voici unc autre preuve, de 
Pefficacité, de Ja campagne en. fa- 
veut du français qui se poursuit 
Ottawa comme dans les autres par- 
ties.de l'Ontario, La compagnie des 
tramwavs d'Oliwa mérite des, féli- 
citations. . ct 
Un voyage de bénre éntente 

- à Montreal 


» e, : LÉ 
Montréal, -— La ville de Montréal 
recevra officiellement Île 307 jan- 
vier une délégation de bonnc en- 
tonte vepant d'Ontario ct compre- 
F au à 308 meubres, dépu- 
tés, échevins de ‘loronto, ‘maires 
dé” municipalités, représentants -de 
comimerec et autres 


à 


chambres de 
corps publics, , 
Le ee Em 


Cologne .ne sera pas évacué 


.. Londres, — Dans une note re. 
mise ‘4° PAlemagne, les ainmbassar 
deurs alliés signifient à ectbe-puis- 
sance que Cologne-ne sera pas.fel 
vacué Le 19 janvier parce que PAL 
Jemagne n'a pas. rempli les.condi. | 


‘tions-névcessaires de. désasmeonmont 


+ , , 
…. ‘ r N 


eee Le À 
à mé 


rex CEËse: vivre pour servir Dicu et mou- 


ia Ste-Sabine- de Rome: “UL mortens 


mont 


là un moyen de faire entendre une : 


core plus à l'ouest, en Saskatche- : sn : 
note plus où moins .religicuse oui 


wa OÙ il organisa plusicurs pa- 


roisses, IL fonda” ln paroisse del stns cola, ne résonnerail ps, à l'o- 
Wauchope où il demeura jusqu'a file d'une quantité dé graves dons. 


sa mort, OUT. 


Entre ‘temps, Mer Gaire {it plu- 
sieurs voyages en France.dans lin- 
iértét de Ja colonisation, Par $es 
L] PAU L] Q D WIN " LU si ji L - a A a 4 d 4 U 

coatt EE EL es ECTS il fit quon géand intérèt qu'il y aurait à crècr 
anite Aaq nee june agence d'information indépen- 


crula un grand nombre de colons! , ce te A0 © RS 
qui sopt encore aujourd'hui dans dante ve sympathique au eatholicis 


Une agence catholique. 


Plusieurs firent, vemarquer le 


jaune. ét 


4 : ans l % ot su | ) + ter 
nr ue où l'autre. des M, Demenico Russe extmina en- 
en ect din . At suite fa situation du journalisme à 
Mur Gaire était'uu prédicateur et! travers le monde, IL moutra d'u 


un Cerivain remarquable, ‘et c'était 
surtout un homme de Dicu, menant 
une vie pauvre ef désintéresséc, tou- 
te au service des âmes. 

I'haisse de nombreux manuscrits 
qui -cvntiennent toute l'histoire ‘du, 
début des paroisses de ectte partie 
méridionale des deux vrovinces dont 
ii Juf Je colonisateur et Le fonda 
teur, + ” 
. L'Eglise de POuest doit beaucoup 
à cebon et fidèle serviteur de M 
causé eutholique ct française. 

En 1920, à la recommandation de 
S. GG, Mgr Mathivds il Ctait nommé 
Prélat Domestique dé Sa Sainteté 
pile Souverain Pontife Benoit X 
en réronnaissance des services qu” 
avait vendus à l'Eglise. . 
Mur Gaire sera vivement regretté 
par tous ceux qui lont connu: 

“H répaudit toujours autour de 
lui, écrit Mgr Mathieu, la bonne o- 
deur de-fésus Christ et it fut tou- 
jours Er vivante image de ce divin 
modèle. 1 ne désirait qu'une echo 


bord les trails communs à la pres- 
se de toul pays: D expliqua notam- 
ent que, de plus en plus, les jour- 
naux partout sacrifient à Pinfor 
iwation et, de ‘plus en pins perdent 
de leur indépendance vis-tevis" des 
puissances d'argent. Puis à 
Purands traits il précisa les carie 
téristiques principales de la presse 
des grands pavs du monde: et à 
termina son fort intéressant ex- 
pose documenté d'une facon remare 
auablé, en parlant de lnpreske en. 


la leçon de Pexpérienee, it conclut 
qu'il est très possible en tout pays 
de faire vivre et :prospérer des 


bien cntendu qu'ils soient siffisam- 
ment informés 44 aussi qu'ils aient 
les préoccupations sociales 


l'Église recommande cHle-méme aux 
M, Russo reprit à 


fidèles d'avoir, 


ri pour le rengontrer, Sur sn 
lombe Où pourrait graver colle ins 
eriplion qu'on Hit sur un tombeau 


viveret, Vixit ut moriturus, pour vi 


ut conne. (le- La Sesfion à Régina 


Régina, Le. parhmont de Ja 
Suskatehowan à repris ses stuincenx 
le jour des Rois, | 

La discussion du bill des H- 
quoeurs n’est pas encore venue sur 
le tapis.” Mais It Chambre aadop- 
ié deux résolutions d'ordre géné. 
ral, Vune demandant Pabhaissement 
du tarif et la reprise des pourpur. 
lys, de réciprocité ‘ver les Etats 
Vois; l'autre. demandint Ja: pro- 
mriété des ressonr'ees 
pour li provinces, 1 7 2 à. 

Le bill présenté bas Mi Turner 
pour amendor la loi des écoles 1 
été adopté ‘après modification, 
s'agit du cas d'un commissaire 
condamné pour offense criminelle, 
M, Turner propose «dans son Bill 
que ce commissaire ne soit pas 
rééligible avant trois ans, Sur mo- 
on de M. Latta, fa période de 
trois ans a été réduite à un an ct 
le Di a été adopté, ' 


Pa 
a 
KR 


Le budget de la province 


tt inouvir,"* 
Les funérailles ont cu lieu jeudi, 
Re service fut chanté par M, l'abbé 
Pierquis, Curé de Grande Clairiére, 
Mun., en présence.de Sa Grandeur 
Mgr Mathieu et d'un nombreux 
clergé. notannnent MM, les abs 
C, Maillard, de Gravelbourg À, Le- 
mieux, de WillowBuneh; F. Nic 
deau (SERaphael) ; BP. Cruveil- 
ler AWesburp); TA, Murray, chüñ: 
celier du diocèse; N; Poirier (Pons 
icis): À. Beñnoit-(Wilcox); J' Hoôis 
(StMäurice); C Poirier, (Wolse- 
lv) A Hinson (Sedley) 5 A Fétst 
“and (StAmoine) 5; "Dupras (For. 
gel), 7 . 7 
Une foule de catholiques et de 
prolestunts des communes voisiné 
étaient venus apporter leurs picux 
honinhges de raconnaissance à Ho- 
tee cher défunt, + avait des gens 
de Forget, Dunias, St Raphael, St: 
Antoine, St-Mauvice, Hartnev, 
Grande Clairière, Deleau et même 
de Winnipeg | . 


ES ae — —— 
L’“Action. Française” ouvre 
une enquête sur le bilinguis- 

me 


Régina. Dans uw discours 
rcupli d'enthousiasme cf de con- 
fiance dans Pavenir de Ja Saskut- 
chewan, Phon. premier ministre 
Dunning à présenté pour ls neu- 
vième fois le budget de la nyoyvin- 


Avec son numéro de janvier, fa 
vaillante revue lAclion francaise 
ouvrira une enquèle sur le bilin- 


Le gouvernement est heureux 
d'annoncer qu'il ne voit pas la né- 
cessité d'imposer de nouvelles ta- 
ses. 7, 
La province # terminé l'année 
fiscale au 30 avril 1924 avec un sur. 
plus de 536,361, La dette publi- 
aue. de S56,157.040 à été réduite à 
#5a.831,787. . 

H n’y aura pus de taxes sur la 
gazoline. Si cette taxe est imposée : 
Dlus tard il y aura diminution cor- 
respondante sur les licences d'au- 
tomobiles, M 


ticle qui sera publié chaque njois. 
M. abbé Groulx, directeur de 
la revue, ouvrira Penquèfe par un 
historique du bilinguisme ut Ca- 
nada, Voilà une enquète' qui. pour 
elle seule, vaudrait la péine que 
Ponr-s'abonuät à cette révue dont 
chaque :numéro est: oxtiémement 
interessant et utile, 
nn 


Î 


‘ 


Un député proposera ure ma- 
rine de guerre pour le Cie 


nada | 


r : 


/ . 
Ottawa Les députés à ka pro- 
chaine session fédérale auront: une 
importante question à étudier celle 
de établissement d'une marine ‘de 
guerfe pour de Canada, Tone s'ü+ 
gif as ‘d'an. article ‘ad programme 
ministériel mais de la proposition 
d'un député M. Ncil, indépendant 


Conditions financières” excellentes 


“La comparaison démontre, dit 
Me Dunning, que la condition fi- 
nanCiére da la Saskatchewan cest} 
ln. meilleure de toutes . les:-pro* 
vinces à l'exception de Québec. Not 
taxes provinciales sont :plus basses 
na relles de toutes lés autres pra” 


de Comox Atlin, Colonbic-Britan-{ vinces à l’ouest des grihds lacs: 
nique, ee  . : '- ., }Tout P'impot, provincial ét muni- 


tholique dans Ie 'inmonde, . Tirant, 


journaux catholiques à condition” 


que: 


naturelles | 


A 


‘Fécemment négocié 


) 
de Jui sur son pays, Les Eratients 
doivent modifier à cet égurd, loûr 
façon d'être, En outre, qu'ils cher- 
cheut à entrer davantage en ‘vap- 
port avec leurs coreligionnaires dé 
l'étranger. HV aurait beaucoup 
& attendre pour le bico dé la ralt- 
gion, des relations régulières dia 
blics entre les journalistes ‘cathn- 
liques de l'étranger, Les peuples 


trop souvent se connaissent mieux” 


par de qui les sépare que parce, qui 
les rapproche, Aux écrivains die 
tholiques de réagir partout contre 
un aussi. déplorable. état d'esprit 


Une lettre du Cardinal Gaspurrt 


LS Em, Je envdipal., Gasparri 1 
adressé une belle. Jottée à ln See 
ipaine des Ecrivains catholiques. at 
nom. du, Souverain Pontifé:, L'en- 
selygnement de l'Église, écrit Sôn 
ÆEnidnence, est, en effet, la règle 
infaillible de lonte auction :dat Ai. 
ques c'est dans ln:meatré of" 
vivrez votre foi que vou: 
lu vépanidres et, outre 
te union disciplinée dt c 
qui sera votre force el rendra vo. 
te action léconde, " Votts” éul tie 
bucrez ainsi à la diff su dühbo le 


A 


Mere 


oùstante 


monde des doctrints.:h ï fi 
de l'Église, et, à l'escplé. À 
François-de-Sales,  paltbl ‘de 
presse catholique, vous direz at. 
der éet esprit dé douceur el dé 
charité qui ovil sur les-@meÿ (ét 
pénëtre jusqu'au fond des coclirs, 


cipal e4t inférieur à ceci du. 
nifoba à l'est, de PAlbortg à l'ou- 


est, et du Montana et du Dakota 
saut “ , 
L'esthné qu vevénu uÿbicole de 
le Saskatehewon d'uprés M. Dur 
ning se chiffre & 8177194000 dt 
1924 contre #199.407,000 en 1925 
diminution de #22,134,000, A 
Sur 14,049,000 acres -semés on 
blé en 1924, il v a eu 1,704,000 in- 
produetifs, Nr ut 


au 
, 


1,21 pur minol de blé 


Le -buréau dés statistiques, estis 
ue que Le cultivateur recevra! s1,21 
en moyenne pas thinot dé blé, con- 
tre 05 sous en 1924. * 
La valeur de l'industrie laitière 

a triplé en dixrans. Po ‘ 
. Notre dette par tête, 

lié moindre que cellé” 
sions," Elle est de 806. 
dis que celle du Manitoba est de 
$114: de Alberta, 81,31; de la Co- 


est Ja moi- 
le nos voi: 


lombie, 6163; l'Ontario #87: le 
Nouyeau-Brunswick, #76, ous 


venons uprès la Nouvellg-Etcosse 
dont Ha dette est de $56, par tête, 
landis que celle de Québec n’est 
oue de $23, et Pile di Prinec-E- 
douard, #13, ' 


aan Le, nm msn 


La Session fédérale s'annonce 


Oltawa— Tout indique ‘das les 


guise, La question sera, étudiée! cé vendredi, jeereles parlementaires l’annroche 
sous tous ses aspects dans un.ar- ‘de Ju session, L'activité: déj, se 


fait. fiévreuse : les délégations 
avrivent ‘les ünes après les autres 
auprès du gouvernement : 
sions du cabinet deviennent quo- 
tidiennes; les grandes lignes. du 
plan d'action se dessinent, 
Avant louverture: de Hi chambre, 
le gouvernement remplira, selon 
toute probalité, les cinq sièces :va- 
cunts au Sénal: deux nour Québec, 
et.un pour chacune des provinces 
suivantes. le Nouveau Brunswick, 
Ple-du Prince-Edouard, et l'Alber- 
ta, Les ‘estiniés pôurront être pré 
sehiés, celte fois’ dès ‘les: débuts, ‘et 
le budget suivra de près. 
° - "Des memes 

* OTTAWA. — L'hon, Ernest La- 
Justice, cst 


“pointe, ‘ministre de la 


“parti pour Washington où il con- 
salura avec les Etats-Unis, le traité 


sujet . dés 
s et des règle- 
ut contrôlent ce 


. ! H qu 
Boissons alcooliques e 
ments généraux q 
commerce, 


a 


à . 


4 


par tête tan: 


s les ses. 


4 


_- Cr, 
Les Juifs entreprirent «de persé- 
cuter Jësus, parce qu'il avait agi de 


ë 
5 


- le Père, Tout ce que le père fail 


- Pére ‘aime le ils et Jui montre tout 


ee 


HORARS ES DRE EN EENE 


L'Evangile 


Ch, Il, — Jésus affirnte ta divinité 
de su missidn, . 


…, (8: 3, \,, 16.47.) 


Ja sorte'le jour du Sgabbat. leur 
dits. 
ns “Mon père ne" CSC d'agir (1), 
j'agis de mème! . 
| Lü-dessus. ils n'en chèrchérent 
que davantage à le faire mourir, 
non seulement parce qu'il violail 
le-sabbat, mais surtout parce qu'il- 
affirmait que Dieu était son Péres 
se faisant-ainsi Pégal de Dieu. 
. C'est pourquoi iésus poursuivit: 
“En vérité, en vérité, je vous Île 
dis:.le Füs, de lui-méme, ne peut 
rien faire qu'il ne l'ail vu faire par 


le Fils le fait parcillement, Car-le 


ee A 


ce qu'il fait, Et il Jui montrera des 
oeuvres encore plus grandes, en 
sorte que vous serez dans l'admira- | 
tion. . - 

“Ainsi que Le Père ressuscile les! 
morts et leur, donne In vie; de mé 
me le Fils donne la vie à qui ill 
veut. ‘ 

“Pouttuit Le Pére ue juge pere: 
sonne; mais a remis tout jugc- 
ment au Fils afin que tous honoren: 
le Fils, comme ils honorent le Pé- 
re. Et celui qui n'honore point le 
Fils, n'honçre point le Père, qui 
Pa envovr. 

“En vérilé, en vérité, je vous Îe 
dis, qui écoute ma parole et croit 
en Celui qui m'a envoré, possére lai 
vie éternelle, Pour ui, il nv à 
point de jugement: il est déjà pas- 
sé de la mort à la vie, 

“En vérité, en vérité, ie vous le 
dis, l'heure arrive el déit mème 
elle est venue, où les morts enlen- 
dront la voix du Fils de Dieu, et 
ceux qui l'auront entendue, vivront, 

“Comme le Père a Ta vis eu lui-i 
mème, ainsi ia dorné an Fils d'aci 
voir Ja vie en lui-mème, Et il lui à 
donné Ja puissance de juger, parce | 
qu'il est le fils de l'Homme. 

“Ne vous en élonnez pas: eur | 
lheure vient où tous coux uni sont | 
dans des sépuleres entendronl” 1x | 
voix du Fils de Dicu. TE ceux qui 
auront fait le bieu. en sortiront 
pour ressusciter À a vie! Ceux, at 
contraire, qui auront fait be mal, 
ressusciteront pour dt damnalion, 

“Foutefois, de moi-mème, je ne 
puis vien faire, Selon aue Ÿen- 
tends, je juge. ef mon iugement ei 
juste, naree que ie ue cherche point 
ma volonté, mais ta volonté de ee- 
lui qui m'a envoyé. 

“S'il n'y avait que moi pour r'en- 
dre témoignure de moi-même, 
mon témoignage ne scrail Das ir- 
récusable, Mais il en est un autre 
qui rend témoimase de moi, et je 
sais que son témoienage est vrai. 
Vous avez envavé vers Jenn, il a | 
rendu témoignage à ln vérité. | 

“Pour moi. je n'ai pas besoin du 
témoignage d'un homme. Si j'en ui 
parlé, c’est afin de vous sauver, 


“jean était une lampe avdente l'eatholique; 


et brillante, et un moment, vous! 
avez voulu tressuillir à sa clarté. 

“Quant à quoi, j'ai un témoipna- 
ge supérieur à celui de Jeun. ce] 
sont les oeuvres que le Père nra 
donnè d'accomplir. Ces ocuvres 


eee, anne 


qué je fais, témoignent que Île Pè- 
re m'a Chvoyé. ' 

“Le Père lui-même qui mi en- 
voyé rend témoignage de moi. Vous 
avez jumnis entendu sa voix ni 
contemplé sa gloire, : Sa parole ne 
demeurc'pas en Vous, puisque vous 
ne crovez pas à Celui qu'il a en- 
VOVÉ. . 

“Scrutez les Ecritures où vous 
pensez trouver”"la vie éternetir. 
filles aussi rendent ténioignage de 
moi, (2). 

“Et vous de voulez pus venir à 
moi, pour avoir la vie!... Ge n'est 
point des hommes que je recois MA 
uloire, Mais je vous connais, el Je 
sais. que vous n'avez point Pamour 
de Dieu en vous, de suis venu ait 
nom de mon Pére, et vous me relc- 
lez: Qu'un autre vienne en son prO+ 
pre nom, vous le recevrez, 

“Cominenl pourriez-vous croire, 
vous qui tirez voire gloire les uns 
des autres et ne cherchez point la 
gloire qui vient de Dieu seul? 

“Ne Pensez pas que 66. Soil 
moi qui vous .accuserai aupres du 
Père. Votre accusatenr sera Moïse 
lui-mème, en qui vous espérez. Si 
vous croviez à Moïse, peut-être aus- 
si crojriez-vous en moi, ear là 
écrit de moi. Mais si vous ne 
crovez point à ses écrits, coment 
croirez-vous 4 mes paroles." 


NOTES. 

(1 Le septième jour, Djeu a ces- 
Se de créer, mais if n'a jimais ces- 
sé d'agir pour kr conservation des 
préatures et le gouvernement dé 
monde, Aussi, quand Jésus opère 
une guérison le jour du Sabbat, il 
ne fait qu'niter son Pére. 

12) Ni le témoignage de Jean, ni 
le témoignage des miracles, ni le 


témoignage des Ecritures, ni mème 


le témoignage du Père, né-peuvent 
avoir raison de l'obstinaiion des 
Juifs. ‘ . 


Ses sauts 0 er LE red Peanraqene eng socmtpeten 08 ENS 


Réponses aux questions 


Réseau quan | 


— 
Est-ce que tous les romans d 


‘Lola sont défendus?— 


Tous les romans de Zola, excep- | 


ie le Rève”, soht à Findex, 
e ! TT 
Estlil permis de wanger après 
minuit avec l'avance ‘de l'heure ct 
d'aller éommunicr Île lendemain 
matin ?— 


Oui. 


Ya-til en Amérique ur mounsté- 
re des Pères Croisiers?— 
Oui, à Onamia, Minnesota, 


L'on m'a dit que Mary ‘Pich{ord | 


avait été mariée deux fois par un 
prêtre et qu'elle est encore regsar- 
céce comme une catholique prati- 
quante et qu’elle a fait don d’une 
grande somme. d'argent pour ob- 
tenir ce privilège; est-ce vral?— 


Mary Pickford n'a pas été mariée 
à Douglas Fairbanks par un prêtre, 
et elle n'est pas admise à la varti- 
cipation aux sacrements de l'Eglise 


le soit, ne pourrait _ certainement 
pas Jui obtenir le privilège de re- 


cevoir les sacrements tant qu'elle 
se, prétend mariée à Ja suite d’un 
divorce que PEglise ne reconnait 


pas. 1 


L'anémie et sa longue suite de malaises 
ne résistent pas aux bons effets des 


ê 


/ “ 
Pour les Femmes 


L , 
, 


NUITS EF DST Ne 


Ê: 
cs 


Mme d0S, MILLETTE, 
46, Cooke, Trois-Rivières, P. Q. 


“Tai pris des Pilules Rou- 
ges.en différentes occasions 
et chaque fois jen ai obtent 
les meilleurs résultats. Tou- 
jours elles ont refait mes for- 
ces-épuisées par la maladie 
ou les obligations de la vie 
et je me suis convaincue 
qu’une femme ne peut trou- 
verde meilleur remède à l'ap- 
proche d’une maternité ‘ou 
dans les jours qui suivent”. 
Mme Jos. Millette,46,Cooke, 
“Trois-Rivières, PQ. 

: Bien que jouissant d'un 
assez joli embonpoint, je ie 
setitais ‘sans force et j'étais 

+rès pâle. Au moindre exer- 
cice: j'étais épuisée et à bout 
d'haleine, Ma:mère me fit 


prendre des Pilules Rouges 


st 5, + h 


. 


| 


Pâles et Faibles 


et cn quelques mois, avec ce 
remède, j'ai refait mes forces 
et ma santé”. - Mme O. Mar- 
tel, 32, Robert, Artic, R. L 


“Te me sentais sans force, 
toujours fatiguée, même 
après avoir dormi une bonne 
nuit, et j'avais continuelle- 
ment une doulenr de dos, 
catre les épaules. Les Pilu- 
les Rouges m'ayant été re- 
commandées par une voisine 
qui les avaient prises et m'en 
ayant dit les bons ‘effets, je 
les ai moi aussi employées. 
Douze boîtes m'ont été sufi- 
säntes pour accroître;ma vi- 
gueur et me remettre coim- 
plètement”. Mme Adélard 
Lapoiute, Livermore Falls, 
Me. 


CONSULTATIONS 
GRATUITES. Les méde- 
cins de la Compagnie Chi- 
mique Franco-Américaine 
donnent des consnitations 
gratuites à toutes les femmes 


qui viennent les voir ou qui 
leur écrivent. ; | 


Les Pilules Rouges pour les Femmes 
Pâles ét Faibles sont en vente chez tous 
les marchands de remèdes et sont sans 
contredit le remède le meilleur marché. 
N'acceptez jamais de substitution ; Voyez. 
à ce qu'on vaus donne lès véritables Pi. 
lules Rouges de la Compagnié Chimique 
Franco-Américaine. Si vous ne pouvez 
vous les procurer dans vôtre localité, 
écrivez-nous, nous vous les enverrons sur 
réception du prix, 50 sous la boîte. 


2 COMPAGNIE CHIMIQUE FRANCO-AMEHICAINE 
limitée, 274, vue St-Denis, Hontrél 


l'ourtant Pheure du Canada vien.| 
Î 


| DO. 


su fortune, quelle «ul- 


4 


LS 


LE PATRIO 


DE L'OUEST, Mercredi 14 janvier 1929 | ; nn . 


TE 


— re 


8 


Ce qui fera ia prospérité de 
| l'Ouest Le 


‘ 


Voici quciques aperçus de M. Léo 
Paul Desrosiers sur l'avenir écc 
nomique de POuest qui sont -irés 
encourageons: À | + 

Les Canadiens irouvent quelque- 
fois que la prospérité ne sourit pas 
vite à Jour pays. Taxes lourdes, 
esode de ia population, üdètle de 
guerre trop élevéc, chemins de for! 
en mauvaise posture financiére, t- 
districts fertiles en blé trop éloi-! 
gnés de four iwarehé, toutes ces cho- 
Ses entravent le développement ë- 
conomique et arrêtent l'élan des 
énergies tendues vers Une exp 
sion plus grande, Puis les diFfi- 
rentes régions-ont des intérêts dif- 
féreuts el le partieularisme fleurit 
vartout comme ntux plus mauvaises 
heures de notre histoire. 


COOLIDGE ET LE, CANADA 


dra. Tout véconméent le président 
des Etats-Unis, M. Coolidge, le pré. 
voyait dans un discours qui cut 
beañcoup de retentissement: 0 
temps.arrive à grands pas, disait | 
il, où la vépublique américaine. se- 
ra dans l'obligation d'importer des 
quantités énormes de produits 1- 
ericoles, Avant la guerre, ajoulait- 
il elle était sur le point de se stil- 


five à clleméème, comme l'Angle-f 


ferre, Mais durant le grand con- 
[it européen, le gouvernement a 
stimulé artificictlement et tempo- 
rairement Pagricullure, ct retardé, 
pour queloues annécs, l'avènement 
du nouvel état de choses. Mais bien- 


x plus assez de blé ni assez d'ali- 
ments, pour la nation, el alors ecl- 
lecci devra se tourner vers des pavs 
aericoles alin d'en obtenir la nour- 
viture dont elle aura besoin. 


STATISTIQUES PLEINES" | 
D'ESPOIR 


| 
| tôt le fermier amérieain ne prodni- 


Ces phrases contiennent pour le 
Canada des mots d'espérance, Car 
certaides statistiques indiquent 
bien que. le président des Ptats- 
Unis Lasail ses allégations sur des 
faits. ‘Ainsi, entre 1900 et 1920, at 
population urbaine s’est augmentée 
de 24,000,000 dames chez nos voi- 
sins, tuidis que la population ru- 
‘rale augmentait à peine de 6,000, 
En 1910, les fermiers for- 
waient 43 pour cent de ta popula- 
tion, et en 1920, cette proportion 
l Sétuit élevée jusqu'à 51. Ces chif- 
fres prouvent à eux seuls que lin- 
dusfialisation de la république 
voisine marche à pas de géants ct 
que daus un avenir assCZ prochair: 
pour que nous puissions y. comp 
ler, les agriculleurs seront incapt< 
bles de suffire aux besoins de fa 
povulation urbaine démesurèment 
augiuentée. 


NOTRE GROS CLIENT 


Si les Etats-Unis doivent un jour 
s'approvisionner ailleurs, quel pars 
sera aussi bien placé que le Canada 
pour subvenir à leur voisins? Nos 
exportations de produils agricoles 

ise chitfrent déjà pour les six pre- 
4iniers mois de l’année fiscale à 
#195,000,000. cette année, malgrè 
des désavantages évidents, ct nos 
exportalions d'animaux à #70,000,- 
D00, Mais ces stalistiques sont loin 
de donner une idée juste des capa- 
cités de notre pays, Lorsque nous 
citons ainsi ies chiffres de ses ex- 
portations, it faut soujours se sus 
enir que GUOHLIDE acres de îe. 

ses seulement sont cn culture loës 

ue nous avoas dabs uos frontiéres 

300,000,000 acres de terre arable. 
C'est à peine si nous avons ulilisé 
le cinquième de notre sol Dans 
l’ouest seulement. veste environ 
131,500,000 acres de terre excel- 
lente, qui attendent le colon assez 
hardi et assez entreprenant Des 
explorateurs, durant ces dernières 
nnnées, out étudié, par exemple, Le 
distriet de la rivière de la Paix qui 
Se trouve dans l'Alberta, et ils n'ont 
pas craint de dire, après des obser- 
‘ations minutieuses, que cette ré- 
gion produirail autant de blé, à 
olle geule, après la construction 
d’un chemin de fer, que les trois 
provinces.des Prairies en produi- 
sent aujourd’hui, 

La capacité du Canada à produi- 
re des aliments se développera à 
qnesure que la demande se fera sen- 
Ur. Aujourd'hui elle est moins ac- 
tive qu’en temps de guerre, ct lors- 
que notre pays met sur le marché 
international une de ses récoltes 
monstres, comme celle de lPannée 
passée, il fait tant fléchir les prix 
que Pagriculture west plus rému- 
uéralrice, Mais lindustrialisation 
de la république voisine nous don- 
nera les débouchés qui nous man- 
quent actuellement. Elle stimule- 
ra d'une manière indirecte te dé- 
veloppement du Canada, Elle lui 
fournira leg marchés rapprochés 
qui ne nous manquent pas entière- 
ment, c'est vrai, mais qui peuvent 
absorber tout ce que nous pour- 
rions. produire, ‘ 

Hi faut donc souligner ce messa- 
“e encourageant du “résident Coo- 
lidue et atigadre patiemment notre 
heure, 


D 


Le cartel poursuit l’un 


+ 


son contrat 


| Bégina.— Pour ‘la première fois, 
le cartel du blé intente nne nonr- 
suite on dommages de 83%. contre 
- [Léon Zurowski du district de Sou- 
they, pour avoir vendu un char de 
‘| blé en dehors du “pool”, à Ex com- 
paznié Pionéer Elevator, Zurowzkil|' 
È 


avait signé: le contrat ducartel le 
29 juin 1924, ét la transaction eut 


lieu le ‘12 novembre 


: L'accusé Allègue. pour défense que 
3 fait. un, commerre illégal 
nusquil d'a junais reçu de licence 


lé cartel 


: 


dé‘li commission des grains du Ca- 


nada: qu'on lui a fait signer 16 con- 


trait sons de fausses représéntations 


è 


| . LE 
|: : : CHEZ NOUS ET AILLEURS 


généraux aux bureaux de Hi compa 
gnie,.rue MeGill Î 


lu fin‘de janvier, il assiséora avec 


d'immigration et de colonisation que 


nisation, et les premiers mipisires 


grand nombre de iavailicurs, pos-E 


om 


de ses 
membres pour avoir brisé 


Done eme remet enr niente st mo end # 


privé- 


s $ 


AT l'E 


Grande conférence de coloni- 
sation à Winnipeg 


Montréal. Le Dr. W. J Black, 
Je nouveau directeur du hireau de 
colonisation des chemins de fer na 
tiopaux, vient d'établir ses quartiers 


e . 
M. Black, va prendre eh mans Eat 
direction de jout ce qui Se "apporte 
an développement de Ja colonisation 
sur Les Mérrains que Ja compagnie 
posséde Le long de sès lignes. À 
M. Robb à la gruule conférence 
tiendront à Winnipeg les  compa- 
gnies, de chunins de fer, le minis- 
te de l'immigration ct de la colo-l 


des trois provinces de F'Ouest. x 


. Le EN a décidé de $e livrorcà 1 
une campagne inténse, de colouisa-{t 


tion, et d'amener au pays le plus |! 


sible, 


La récolte de 1924 : | 
Winnipes — Le “Manitoba Érec 
Press” vient de, publier un a) 

f 
! 


donné 238,000. 1È 
le scigle 11,-'| 
276,544; le lin S.S90,622. I'É 


fin ‘de Fannée $384,018,138, 
de produits encure à écouler. 


ns | 


Le tabac est un germicide 
Berliti— Le Dr George Wolff, à lalk 
suite de diverses expériences an-if 
once ‘que x fumée du tabac dé- 
teuit les inicrobes où du moins, Îles 
empéche de se développer, et que 


ceux qui fument sont par consé-[f 


quent moins exposés aux maladies 
contagieuses. Vo K 


men © 
.: 


La Saskatchewan a le moins 


de mortalités et arrive en 


. second pour les naissances 


Régina. Si lon en juge d'aprés 
les chiffres, la Saskatchewan est lai} 
province 1 plus saine du Cunada, 

Le taux de la mortalité esi de 7.6 
pa 1000, et c’est Le taux Ie plus bas 
de tout le Canada. ‘ 


D'autre part la Saskatchewan oc- 


pe le second rang parmi les jrovin-!] 
ces pour da natalité qui est de 25.2 
par 100% , 

Fraprés Le bureau fédéral des sta- 
üstiques la population de la Saskat- 


ehewan est de 814,000 âmes, dont 


105,134 personnes dans les villes ré- 
parties conne suit: 
Moose Juw, 20,275: North PBattic- 


ford, 4,414; Prince-Vibert, 8,125; À 
Régina, 97,000; Saskatoon, 27,660; f 


Sie Current, 3,780; Weyburn, 3,- 
430. 
A y n eu 20,933 naissances au 

cours de J'année, 6,728 mortalités; 
5,053 nrariages. 
Là 1%: 


Une famille épouvée 


.# 

Ydmonton.— La famille Dexter 
À. Ross court vraiment de malhcur 
en imatheur, : L'incendie de Pimmeu- 
ble Syndicate vient de leur faire 
perdre vrésgue tout leur, mobilier 
et leurs effets personnels. La mè- 
re de Mme Ross s’est sauvée tout! 
juste avec les habits. qu'elle avait, 
sur le dos Dans FPincendie de la 
maison de rapport Montrose, il v a! 
15 mois, leurs deux jeunes fils, Ar-| 
thur et Neil, avaient péri dans Îles 
flamimes. L à 

LE 


’ la Vues s \ 
Qu'est-ce qu’un porc à ba-' 
con ? 


Lu porc. à. bacon est Le résultat 
des efforts que les éleveurs sc 
sont imposés pour produire un ani- 
mal dont la viande, après engrais- 
sement, puisse dépondre aux exi- 


uences du puÿlic consonnmaleur. | 


Les ménagéres anglaises, bientôt 
suivies en-cela par les ménagères 
canadicnnés, voulaient avoir ‘qu 
bacon plus maigre ét de bonne qua- 
lité. . Cette : demande cst aujour- 
d'hui généralé, et le bacon gros, 
lourd ou grossier n’est plus appré- 
cit. ! 

les salnisons cet lous ceux qui 
s'occupent dabattre des porcs et de 
distribuer deurs. produits, ont cons- 
daté que Panimal qui fournit les 
coupes demandées par le commer- 
ce de détail et qui permet ainsi de 
satisfaire aux exigences des ména- 
gères, aussi bien au 
l'étranger, est celui qui a Pépaule 
légère, le côté long, le dos bien 


garni de viaude, le rein.et la croupe || 


bombés, le jambon bien dévelop- 
né et qui est d’un fini moven uni- 
forme, Naturellement des £lc- 
veurs de progrès se sont elforcés 
de produire ce genre de pores èt 
ils ont si bien réussi que le porc 
à bacon anjourd’hui,. d'un  ivoe 
approuvé, fournit à peu près tout 
ce aue le. marché: désire ct, c’est 
aussi une machine à lard fort éco- 
nomique. , -. 7, 

1 est'essentiet que'les pores ca- 
nadiens soient du type voulu pour 
que leur viande puisse. 
avantageusement Ja concurrence 
qui Ani est faite sur les marcliés du 
monde, Heureusement ce -type 
fouruit aussi un nroduit idéol pour 
le commerce de détail'dans les vil. 
ec eanadicnnés, . Les “fèches” 
Wiüältshires, qüe l’on'trouve dans Îles 
nores À bacon, permettent de ven. 
| dre à Pétranger au plus haut prix 


Cf affirmant que les fermiers del du marché, tout le bacon ‘que nous 


Ù \ 


5.4 


6 ; 
ex 


* {fisante pour l’engruissement, 


précieus® de Faninia | 
que le pore à bacon ait une bonne 
Ù louguçur de coûté 
modele du WiHshire est de 36 pou- 
ces à partir de a voupe 
juéqu't 
doi 
me, une ligne -du dessous -droite 
et dégasée, 
sueur MOvenne! 
creuséc,' le front farge, les orciles: 
droites, assez peltiles, fermement 
atinehées et ciliées de, poils fins. 
Le cpu est bien musrelés sans 
dance à araucr sur Lo. desstiét@ar- 
dessous, près des bajobties, il doil 
ètre désagt, pos lourd: ni reltom-| 
bant: 
liel que les épaules 


peine à, t 
compare de pris de da 


cou jusqu'à la queue. à côtes bien: 
ressorbies. tombant droit, dennanti 
un côté lisse et 
dant bien dans 


dl, Comptes courants, 
{ 


auartiers de derrière, Le “Tin” k no ee L : 
‘oui mt 8 innertant as elairemont # Choix de terres en! prairies: etlfiE Soudage à l'électricité 4% 
révélé par lal igne de dessus! Les.) en culture dans le district de. |h|k : dJ'acétyle QE 
ores bien finis sont partout d'une KE Montmartie, AN etylène DE 
larweur movenne. indiquant ni joue RE te TT - | à 
rein profond ct plein et une crout- i MONTMARTRE, :- - SASK. li lE NOIBCRS D RULES LES 
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ge: Cémités, Commissions ou 
fés ences: avVanb:un caractère, in 
ntitional.…. Ce Taf n'a pas Leco 'à 
“conmentaires, n 


3 


Le milieu est Ja partie Ja plus 
Sil faut donc 


La longueur 


: du cor 
los tu jargel. L'animal 


avoir une profondeur unilor- 


lourquoi se faire opérer! 
1 Quand Hepatola enjève les LR 
buls"biliaires, guérit l'ep} * 


| 
Y 
Les thaux d'estoinae el 


Cr mess 


| 


es 
2 
ue 
ae 
= 
= 
es 
r2 


La tète est d'une lon- 
la face légérement 


SUUS danger pour votre 
sans. perle de tons 
üent'pas de poison, ; 
pair les droguistes, 

=) SOUS: en. plus pour 
ll. Péponse cn anolais. 


Le] 


{en- 


IL est, ésson- 
soient lisses, 
conipactes, cl on maura aucune 
a compecndre ceci, ;81, on 
vinide de 


ou grossier. 


Mrs. ‘ Geo. $, Almas 


à une famille qui s'est montrée HE 
4 Le.seul manufacturier 


"auHagcuse, D 


. | » 


, 4 : . : , 
épaule à celui des autres par. | _— eus 239-tème 
ies de Fanimal, ‘Le.des doit êti ‘ ème Avenue S 


SASKATOON _- -- . . 4h 


“du: 


égérement marqué, à partir 


"ARTHUR J. BOYER | 


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1l Gradué de l'Université. Laval 
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" #. … : par “The.Medical Council of, Canada” £ ï 
Ÿ.Traitémérits par 1e Radium. Laboratoire de Rayon 


$ 


EDMONTON 


#0 


ches de la Cathédrale éper- 
1rs derniers sons, 
hâtais, quand soudain je 
t prés, une nude de moi- 
péniaiont plus bruyam- 


Les clo 
lient Îet 
Je me 
vis Jà tout 
neaux qui 


nt que d'habitude. 
MAIS, me dis-je; il fait grand 
froid pour un marge... 3 
Non! ce n’étiient pas des cris 


veux : la‘bande ne-s'élevait pas, 
is au contraite, volfigeait en se 
nant vers le sol. Ma curiosité n°v 
tint plus, ie ne précipitai vers le 
point qui les uttirait tous, et jugez 
Je mon horreur, quand jy vis’ un 
Petit pierrot, tout ensänglanté, ex- 
pirant sous les cous de becs de ses 
fréres. 


It ét 
leur peut-être, D 
-omme eux... ' de quoi donc s’é- 
ait-il rendu coupable le vauvre 
malheureux? -Sa gourmandise. lui 
aurait-elle fait voler des miettes de 
Î Mais non, ce serait in- 


ait naurtant de 1nême cou- 


,| quois, venaient 


né pépiait-il pas 


pain... L k 
rraisemhlable de tuer pour si peu. . 
pui sait? Peut-être aussi, (puis- 


aur le sol L 
pait-il de loin. ennfiant an'en ce 
coin il iouirait d’une aussi sr'an- 
de liberté que sons d'autres cieux, 
auand cette bande haélile se run 
qu Lui, en criant: “Halte-lh, tu n'es 
nas des nôtres, à mort”! Et tous 
d'en faire leur proic. 
An! vonurquoi n’élaisie pas ar. 
rivée plutôt nour le saisir, l'isoler 
be coups et lui dire: “Courage pe- 
tit poursnis ton envalée. Un ne 
nlos loin tu trouveras les tiens, An- 
valie ta compagne an nid que vous 
batirez ensemble dés que .Pavril 
chantera.  Tmpläntelai en dénit 
as nerséeutions que te. feront si- 
hir des infatisables “chasseurs. car 
les aubes dorées naissent! nour fai 
comme pour env. Latin nt vint 
Hélas! cos vilaine niovmpole, si în. 
nerents, si innoffencifs. en nm 
rpnon, avaient CoMMIS UN HSFHSST 
nat ! . . ‘ 
Hv 
Ces INOÏNCAUX. 0... + 
ee “MADRINA. 


4 ‘ 


1%: 


La béatification des huit mar ! 


tyrs canadiens 


On a annoncé il y a quelque 
lemps, que la béatification des huit 
iésuites canadiens martyrisés au’ 
début de la colonie aura lieu cette 
année à Rome. . 

Cette année amène le 275ème, an- 
niversaire du martyre -des PP. de 


Bréboeuf, Lalemant, Garnier ct 
Chabanel. C’est en 1649 qu'ils 


versèrent leur sang pour Île “Régne 
du Christ”, dans Ia Nouvelle-Fran- 
ce. D'autres les avaient précédés 
dans cette voic royale: le F. Gou- 
nil en 1642, le P, Jogues et Jean de 
la Lande, en 1646, le LP. Daniel, en 
1648, C’est ce triomphe qu’ils t- 
à laient venus chercher sur notre sol. 
* En débarquant, n’avaicent-ils. pas 
offert leur vie âu Maitre de Ja 
Moisson’? Le P, de Bréboeuf fait 
méme voeu de ne jamais manquer à 
la grâce du martyre. Les huit. fu- 
lurs confesseurs de là foi manifes- 
tent, dans leurs écrits et leurs pa- 


roles, le mème  héroïqie désir. 
Leur espoir fut exaucé. Rarement 


la rage sataniqüe fut. plus inventi- 
ve de tourments ingénieux 
venger les défaites partielles des 
faux dieux, ridiculiser les dogmes 
et les prutiques de PEglise. Par 
la cruauté et l’originalité des tor- 
ures qu'ils subirent, nos huit hé- 
rauts du Christ ajoütèrent une pa- 


eil brille nouf tous) ve-| 


citer $, S, Pie XI de donner au pro- 
cés de nos martyrs canadiens la 
préséance sur d'autres causes? le 
3 octobre le. “Devoir”: annonçait 
que nos jésuites, Rrtsrs des Jro- 
d'être proclamés 
vénérables par les Pères Re Que 
grégation Romaine, qui a statué dé- 
finitivement sur l'héroicité de 
leurs vertus. fl reste le deuxième 
ste de Ja béatification qui préce-' 


"a 


NRIHEN 


Le chancelier Marx, abandon: 
ne la partie 


> A ° | 

Bertin.— Le chancelier Marx « 
nerdu la partie contre Streséman, 
le ministre des affaires étrangères. 
Abrès cinq semaines d'efforts sté- 
riles. devant lopposition des ‘na 
tionalistes et du parti du peunle al- 
lemand. il dut renoncër à former 
un gouvernement assez fort vour 
commander une majorité au Reichs- 
lus, 


LE LITE RIT TTL TUE meer semer eee eee ete 


LES' NOUVELLES 
* . CHEZ NOUS ET AILLEURS | 


IN 


de celui de la canonisation. Es- 
bérons que le Coeur de Jésus don- 
nera bientôt à l'Amérique Septen- 
Wionale comme aux autres peuples, 
des niodèles et des protecteurs, des 
saints qui s’intéresseront tout spé- 
cialement à nous. A Rome on hà- 
{e le procès afin de faire coincider: 
leur canonisation avec le 30 cente- 
naire de Parrivéc. des Jésuites at 
Canada lan prochain. 


ue Re en Deere 


+. 


%. 


FETE SET I 


Me 


Ld 

L'armée rouge mobilise 
! | Londres.— On ande dr Slock- 
hoini que les Soviets ant décrété 11 
mobilisation nartielle de l'armée 
ronge, Cette décision est due, pa- 
ait-il, aux inquiétudes que donne 
aux autorités soviétiques In situn- 
tion internationale actuelle, On au- 
rait, phrait-il, Ronné l'ordre aux 
industriels de commencer Ja fnbri- 
“alion du matériel de guerre et, en 
particulier, de gaz asphyxiants. 


nn ue co den 


jtait aventurée jusque là, 


A ne 
ST, Mes 


4 janvier 1925 


Une religieuse député au par. 
lement de Hongrie 


| 
l 
Ù 


t 

Washington. - Soeur Marguerite | 
Slatchu; des Socurs du Service Su-. 
cial du Budapest, Hongrie, est nc- 
tuellément à Washington, où elle 
est venue S'enquérir au suict d'une 
conférence inlerparlementaire, à 
hiquelle élle représenterait son par 
ti politique, le parti Social CGhré- 
tien. , 

Soeur Margmerite est la première 
religieuse catholique à occuper un 
siège à un parlement, Lors des 
élections, elle défit trois candidats 
masculins: Pun tail muinistre du 
gouvernetiont au pouvoir, es detix 
autres, des chefs poliliques, Hs 
rinient de sa candiditure: on était 
habituë à voir des prètres députés, 
mais jamais une religieuse ne s'é- 
Cepen- 
dant la population si catholique de 
la Hongrie ne s'en scandalisa point. 
. Au contraire elle rallin tous les 
suffrages, car Île programme du 
parti que fonda Socur Marguerite, 
pour combattre les Rouges, ctait de 
mettre du chrislianisme dans le 
gouvernement,  Ancionne  instifu- 
trice, orfunisatrice d'oeuvre socia- 
les, elle connaissait à fond la nsv- 
cholagie de son neuple; aussi bien 
sut-elle communiquer son enthou- 


} 
' 


y : : et siasme aux femmes de sun Days, À 

14: Les bol h Ju os qui elle s'adressuit avant tout. Les 

. ‘ e i ouges lt menacèrent de faire feit 

Propagande anslaise aux E. 5 Le C evistes font venir des) sir Fes assemblées qu'elle tenait: 
tats-Unis avions rien. ne Farrèla, 

à 1 ; 3 —— Le parti social chrétien, fondé 

Londres. On apprend ici, que) anrès la ‘guèrre, de comnosait 


Philadelphie. Sir G. Paishe vur- 
hliciste ct éminent financier anglais 
vient de parler d'une autre sucrre ! 
nrochaine, devant la Société Trans: 
Atlantique. I] nrétend que. si la 


le gouvernement des sovicts russes! d'hommes cet de femmes détermi- |] 


a commandé à la maison Fohker, nés, Ù dut se contenter de pour- 
cônstructeurs hollandais d'aérovla-| suivre son organisation dans l'om- 
nes, cent avions de -combat® dont! bre.et le servet sous le résime rou- 


PAngleterre fournira les moteurs.‘ ! se du président Karolvi, 


nasion des indemnités reste telle CH . 

Le st, ot si les Français n'é chevi 

vacucnt Das la Rhénanie, une antre Propagande bolchevique chez 
J'‘“‘uerre enronéenne est inévitable. les noirs 


a des.sens qui ressemblent à? 


À snuposer qu'on ne trouve pas au 
nintôt nne solntion inste ot raison- 
nable à ses difficultés financières, 
In France continuera Foccupntion. 
et l'Allemagne va essaver de la 
mettre à, la norte, Cette fois, À 
“An dire, PAllemagne s'alliers à 1 


Ce 


Parvis — Une délégation de noirs 
(français) « recu de Moscou 100.- 
000 roubles.or pour soutenir la lut- 
fe politique et économique contre 
les blancs, 


Russie, et les deux rénnies étahli- ' . ht 
ront le despotisme militaire en Eu- Une ligne aérienne de Paris à 
rope, fr ‘ Berlin | 


Ces déclarations et certains :an- 
nels' aux Etats-Unis, “la seule na- 
fon avec une politique de jnstice”, 
ont un relent un peu fort de pro- 
“nsande cn faveur de Ta Société des | 
Nations, _: 


Berlin.— On annonce qu'une cont- 
vagnie allemande de navigation né- 
tienne négocie actuellement à Pa- 
ris avec une compagnie 


, “ : & francaise en vue de la création d'un 
Il est certain que le rapport Da-! service direct entre Berlin et Paris. 


wes n’a pas tout réglé, 
: 


Mussolini revient à la maniè- | 


Les pourparlers scraient déjà sur 
le: point d'aboutir, et l'on compte à 
Berlin. sur l'ouverture prochaine de 
ectte ligne acrienne, 

#: 


i re forte A  , 
L | … Le dôme‘de la cathédrale St 
Rome, -—— Des troubles s'étant Paul menace ruine 


pour: 


produits ces derniers temns on di- 
«vers endroits de l'Italie. Mussolini 
a repris la manière forte en don- 
nant de striètes instructions À tous 
les préfets ‘de réprimer tous Jes 
excès de quelques quartiers qu'ils 
viennent, 

Quarante-huit heures après ces 
paroles que je dis, ie vous assure 
.aue le calme sera revenu et que 
l'air de Pltalie sera redevenu res- 
pirable”, 

Son ‘discours a élé haché d’ap- 
nlaudissements il 
paroles de nombreux 


fe démolir 


Londres.-- Le grand dôme de Ha 
cathédrale St-Paul menace ruine, 
Sa chute n’est pas imminente, croit- 
on; mais elle aura lieu d'ici quel- 
ques annges. si on ne le consolide- 
pas au plutôt. 

On ‘a déja dépensé des somme 
considérables t 
res des piliers qui se font de plus 
en plus nombreuses, On suggère de 
et d'en construire un 


ACrIONNCl rosdect, et nttention. 


$\Les orifices de Ja mine. d'où s'é- 
\ remplir les fissu-}€ 


neuf: ce serait un reméde radical, 


accentuait Ses] sculement il coûterait dans les 500.- 
coups. de | 000 livres, nécessiterait des travaux 


poing sur la tribune parleméntai-| d'une trentaine d’années, et l'on cst 


re di premier ministre, 


rs 3 . . » Ü 
Et Pen-| d'avis de laisser l’entreprise aux gt- 


thousiasme .a ëté porté à son pas! nérations futures. 
roxveme quand, en terminant | Les piliers vides ont suffi jusqu'i- 
il sléclara: “le gouvernement a ce) ei à supporter le poids immense du 


Les com- 
munistes occupèrent ensuite Le non- 
voir, ct pour survivre, les chefs du 
nouveau parti de mème que Socur 
Marguerite el les antres relisionses 
furent obligs de tronver de Pom 


ploi.snr les fermes, Alt restaure lfiipres poste seule à rapporté | “Le feuneais et oune fansue indis- 
tion. du gonvernement bougrois, le 07 181.78. !negenble. coneluent-ilé, cet maisons 
an che sine Dhs EE En D ina 
ant que ia: dt port ant Dar | MARIBNTUAT Sashe  List | pratitone jan sont Vu | 

RUE SOCUE MATEUCPC luteur, Leo Mavhood, a &té frappé Si des \nglo-eanadiens dant Ju 


ot fourpit le nrésidtnt di nouveau 
régime dans l'un de ses chofs Hus- 
ga. Tout le pays vénère l'habil 
sris de da relisionse el vent hom- 
waue À son génie d'organisation, 
à son courage, à son Glouneneg rf 
par-dessus tout à Ja rectitnde de 
son jngcment. 
À La chambre. on l'éraute avor 
Fe na dûiñ 
présenté plusieurs bills surtout 
pour Pamélinration de Es classe nn- 
vrière, et elle an réussi à Jos frire 


presser. Fe souleva une  véri 
table temmète en nronosant une 


mesure aui maioraif Va fase cn Les 
paris, aux conrsest elle Hint bon el 
rempora ln victoire, 

Soeur Marsurvile visiter quel. 
nes smgisans de son ordre  Aox 
Etets-Unis çl'au Canada, 


PRES EX SES 


Une mine en feu 


Rome.— Uh incendie s'est déclaré 
dans wie inine de souffre de Trabia 
happaient des icoulées “de flummes 
h'euâtres, ont dû ètre obstruéës pour 
étcindre lexfeu, 

Durant ce travail plusieurs ou- 
vriers ont säbi:un commencement 
d'asphyxie” et: ont dû être éloignés. 

ee it 
LES NOUVELLES EN 
QUELQUES LIGNES 


ASSINILOTA, Sask.—Hilaire ar- 


| . 
{ drier, Jack Bruce, à 98 pivds sortis 


“4e inédite et gloricuse au martyro- 


loge, ri faut pont détruire l'opposi-‘ 


dôme; mais les excavations des der-| monie, 25 ans, avait altelé quatre 
niéres années, le creusage des €-l’ehevaux sur une graincrie qu'il 


une chemise noire ot di papier 
d'emballage, L'enplové ramassa 
le paquet et, de vemis au préposé 
aux objets trouvés, qui l'ouvnt el 
en informa aussitôt la police, 


CALGARY. 2 HW, Wood, pré- 
sident, du cartel, dé l'Alberta, dit 
que des procédures seront prises 
contre Les fermiers qui ont brisé 
leur coritiat, To 


Swan Hiver, Man, 
Montgomery, âgée de i6 ans, a élé 
luée, alors que son cavalivi W, 
Wilson, lui expliquait le mécanis- 
me d'une carabine 22, Une enghète 
aura lieu pour découvrir bee a 
cu meurtre où simplement heci- 
dent, ane 


Dorothée 


: 


emma monpaiene 
0 


os, = He i 

SASKATOON, — Un ancien fer. 
micr du distriet Hanley, Gec Law 
son, 51 ans, « été blessé à mort 


par un taureau Holstein qu'ilfceon- 


4 


duisait hors de l'étable. : 

Winnipeg.—L'établissement Nor- 
thern Shirt Faclorv, situé dans le 
quartier résidentiel" de Gentrat 
Park a été détruit par le feu. Portes 
de 250,000, 


manne 


Le Pas, La mince Hex, l’une 
des plus importantes dans le cant- 
ton de mines d'or du tac aux her- 
bes, a pris leu, Le moulin et Ia 
bâtisse de pouvoir ont été détruits. 


DRCMHELLER, Alla, Vers les 
neuf heures Pin, on s'aperçeut que | 
MW Irvine, assis avec d'autres dns | 
grande salle de Phôtel White 
House, ne prenait point part à ln 
conversafions on s'approcha, il &- 
tait mort d'une svneope, On ne 
lui connait pus de parents, 


SASRATOON, Les recettes du 
bureau de poste de Saskatoon, du: 
vant le mois de décembre, ont été 
de tout près SA00, La vente des 


de léthargie dans uve  elhambre 
d'hôtel à Regina, pendant les va 
vances de Noël, Lorsqu'on le trou- 
“va, on,le crovail morts mais lrans- 
porté à l'hôpital, rest Incons- 
cient encore une couple de juurs 
A son révoil, il ne sut méme pus 
reconnaitre son pére, 


. REGINA. - Le systéme des trame 
wavs de Régina montre pont Pan- 
née écoulée un déficit de 523,000, 


Cest S3,000 de moins qu'en 192 


Du. 

SPALDING, Sask, Lu pâté de 
1iaisons, comprenant Un Magasin, 
un bôtel, un restaurant et des rési: 
dences, a été détruit par le feu le 
14 janvier au malin, 


LOREBURN. Sask, Le jeune 
Wallace Bender, qui s'était gelé 


si gravement dans uue partie de 
chasse aux beleltes, il va frois se 
maines, a dû être transporté à Phô- 
pital où on lui a. aumpulé les deux 
pieds, ün bras, et une partie de 
Pautre nain, 

Ottawa --.Le département des 
douanes «à revu S2H, denis dans une 
enveloppe avec indication que cel 
urgent fait une restitution pour 
fraudes cominises, 


VANCOUVER: 


Un seaphan- 


| 


Peau n été attaaué par un requin de 
6 pieds de Jongi 1 est parvenu à 
tuer le requin en le frappant avec 
une barre de fer. 


me es 


; Itatic. 


,coles secondaires el nine dus nos 


ll 
j 
} 
! 
Î 
| 
| 
Î 
| 
Î 
i 


[000 à 30,090, c'est-à-dire que pour 


Le saint évèque de Québec, Mgr 
Laval, écrivant au général de la 
Compagnie, dit d'eux: ‘J'ai vu. ici 
ct j'ai admiré lesttravaux de vos 
Pères. Par leurs exemples ct la 
sainteté de leur vie.... ils sônt la 
bonne odeur ge Jésus-Christ, par- 
tout où ils travaillent” : Son suc- 
cesseur, Mgr de St-Valier, renchè- 
rit encore: “Tl faut avouer que par- 
ini ces Pères de la Nouvelle-France, 
il y'a un certain air de sainteté si 
sensible et si éclatant que je ne sais 
s'il peut y avoir quelqué chose de 
plus en aucun autre endroit du 
monde où.la Compagnie de Jésus. 
est établie.” Et la vénérable Mère 
Marie de PIincarnation a laissé de 
nombreux témoignages sur le ‘zèle 
el les vertus de ces admirables ou: 
vriers de lEvanzile, Dès lors na- 
quit spontanément la. dévotion de 
nos martyrs canadiens. Après Îles 
demandes faites au Saint-Siège 
pour la glorification” de ces huit 
missionnaires martyrisés- en haine 
de Ja foi: demandes faites par les 
Pères du. 3e Concile piénièr dé Bnl- 
timorc; en 1884. mar de 7e Concile 
nrovincial de Quéher, la: Sarrée 
Congrégation des - Rites décrétait 
en 1916, l'introduction officielle de 
l'eause ‘de nos martyrs canadiens, 
Dans une lettre jécente! S: Em, le 
cardinal Bégin a bien:voulu:solli- 


‘ 


des portrai 
tites annonces. 
cessaire. ‘ c 
. Les annonces dans 
journal....Chaque courrie 
souverainement efficace. 


pète où aller pour se nourri 


RU 


le PATRIOTE, l'annonce est un revenu indisy 
le” coût de ‘composition. et d'impression , du jour al. 


, 4 h 
. Tous ne peuvent: annoncer dans no 


en encouragenñt nos annonceurs. E 
_-les honorer de votre: clientèle, c'est men 
annonceur. 11 est facile de dire: 


. anüoñcé.” : 


nalement le décidera. 
où cette mentalité sera cré 
pas ‘de’ l'avant.” 

_ Es 


| 
| 


| 


Dans les journaux, it y a une partie consacr 
consacrée à un autre genre. d'information non m 
journal qui est simplement .et avant, tout une ex- 
noie la direction, toujqurs nulle, et la nouvelle 
ge de clichés d'églises et de “scènes. du dernier 
ts de pieux et pacifiques abhés, le tou 
Dans le journal d'idées, lannon 


le PATRIOTE apportent. 
r nous apporte le témoi 
| -Nes annonceurs réguli 
mi-les nôtres une clientèle fidèle et aussi satisfa 
cieuse de -renscignernnts répondant à ses différe nts 
r, se vêtir, se faire so igner, 


Et si vatre fournisseur 

blement pourquei il n’annonce. pas. 
‘Encourager les annonceurs 
ée définitivement chez fous nos lecteurs, 


-praten” danois apprend que le mou- 


tion Aventine”. , 


Plusieurs associations qui étaient | goûts modernes, les vibrations cuu-| qésirait transporter ailleurs. 


bes 


des .fovers ‘d’asitation’ ont été jm-|sées par un trafic de plus en plus! chevaux prennent. peur, et la bà- 
considérable ont affaibli les bases| tisse en passant sur le dos d’'Har- 


pitovablement dissoutes. 

: a 
Les bolchevistes veulent dé- 
clancher le révolution géné 
rale au printemps 


Copenhague. — Le “Socialdemo- 


vément général soviétique pour la 
révolution mondiale s’est déclanché 
à la suite de la décision du gouver- 
nement de Moscou annoncée à la 
réunion de Ja 3ème Internationale 
de juillet 1924, d’'aurès laauelle, si 
la révolution n'avait pas éclaté au 
1er mars 1995, il supprinerait tous 
les fonds de propagande et repren-* 
drait les relations internationales 
d'avant ‘1914. 

Le mème journal apprend d'autre 
part que la corruption en Russie 
est telle’ que lorsque les commissai- 
res voulurent emprisonner ‘Radek, 
l'aceusant d'être un -agent anglais, 
celui-ci répondit que des «mis é 
trangers publieraient des révéla 
tions autrement sensationnelles sur 
le gouvernement soviétique, ct les 
Soviets ne Pinquiètèrent plus. 


CT 


ée à la direcl 
oïns nécessaire: 


ouvent fausse ou 


elle, » L 
“meurtre”, de gros 


ss nreà | 
des bénéfices à. 
gnäge que la publi 


ite, L 
besoins, 


dispen sable qui aide d 


tre journ al, 
Encourager nos annonceurs 
tionner Le nom, du jour 
“J'ai vu votreannonce dans 
n’annonce pas dans le 
… Cette. question plusieu 
en menti 


nal. 


. 
° 


k 


ve”, acausé une grande 


t encadré, enserré, 
ce a sa place raisonna 


ers de Prinee-Albert et d’ 
Pour le lecteur l’annonce es 
Chaque semai 
défendre ses intérêts, 
ans une bonne mesure à défrayer 


urs fois répétée 1 | 
onner le nom du PATRIOTE: le jour 


de l'édifice, et ont forcé les autori-! monie Jui brise les reins. 
le! vivent, son père, sa mère ut rois 


tés municipales à déclarer que 


Lui sur- 


dôme de la cathédrale St-Paul était! frères, 


une construction dangereuse. 
\ [ 


DE 
‘Un monstre 


\ 


‘ et 
Berlin.— On a trouvé de la vian- 
de humaine salée, et des membres 
humains, dans la demeure dé Den- 
ke, Passassin “en gros”, et la: poli- 
ve est convaincue que le misérable 
pratiquait Je cannibalisme depuis 
des années, avant de se suicider dans 
Sa prison, où 
gë  , 
. Gette affaire venant après celle 
d'Haarmann, surnommé le “vampi- 
É émotion 
dans PAllemagne tout.entière, On 
se plaint que la police Se mêle con- 
tinucllement des affaires privées dés 
sens, mais Jaisse des crimes mons- 
trucux de ce genre 5€ perpétrer 
pendant des années avant de mettre 
la main sur les coupables. 
On na trouvé sur -le misérable, a- 
près son suicide, une paire de bre- 


3 telles en, peau hunnine. 
- 4 ie, 


Pourquoi il y a des annonces 
ciion et à J'information et une partie 
ploitation financière, la réc 


ANNONCE. Dans le grand 
lame actapare fout et 
colorée. C’est un dévergènda- 
titres provocants à cheval sur: 
étouffé par de grosses et pe- 
blement limitée mais né- 


l'annonceur, au lecteur ét au. 
cité faite dans nos colonnes:est 
ailleurs se sont créé par- 
t une source pré- 
ne son journal lui ré- 
Pour votre journal, 


# 


mais tous sans exception peuvent nous aider 
c'est d'abord s'adresser à ebx et. 


quand vous achetez chez notre 


‘mon journal; j'ai. vu tel article 
“journal, demandez-lui done bién sim-. 


soie 


le fera réfléchir et fi- 


le journal aura fait un grand ï 


D 


Re 


il attendait d’être ju- 


SASKATOON. —— Un enfant nou- 
veau-né à été trouvé mort dans un 
damwav. était enveloppé dans 


penmnneseneanents 


qe er cmt aq 
ü 


e © Ë 


La dynastie la plus ancienne 
du monde 


Voici l'extrait d’uu bel article de 
M. Jules Porion dans TAction Ca- 
tholique qui met en vive lumicre le 
fait de Pimmortalité de PEgliseé à 
l’occasion de la réception officielle 
du corps diplomatique à Paris et a 
Berlin: DRE ‘ 

“C'est Mgr, Cerretti, nonce papal, 
qui, à.ditre de doyen, présenta les 
voeux.de ses collègues du corps di- 
plomatique au président Dotmer- 
gue....? | 
‘“lous les chefs où chefs intéri- 
maires des auissions diplomatiques 
étrangères ont présenté leurs res- 
pects au président (le président E- 


fbert, de Berlin) par Ja voix de Mgr 


Paccelli, nonce’ papal”: u 
Voici ee que disaient les dépê- 


ches, en parlant des souhaits -de 
bonne année en hauts lieux. Nous 


ne les avons pas toutes lues, mais 
il est propable qu’en en parcourant 
d'autres, nous aurions constaté que 
dans presque toutes les grandes cu- 
:pitales’ie nonce apostolique à par- 
lé à titre de doyen-du corps diplo- 
matique. . 

Et pourtant, dans, la grande n- 
jorilé des ens, le nonce, bien loin 
d'être le doyen d'âge, prend plutôt 
figure de Benjamin au milieu des 
têtes chenues qui lentourent. 

Mais si les nonces sont -relative- 
ment jeunes, ils représentent une 
“dynastie qui est la plus ancienne de 
PEurope ct du monde, , 
. Si, lorsque le nonce parie du rof 
son maître, il désigne le roi le plus 
pauvre qui soit, il-parle en même 
temps d'un roi dont les domaines 
sont les plus anciens te PEuronc, 
et dont le prestige efface celui des 
conquérants les plus. frmeux,. 

Quoiqu'il én soit, jé nonce de 
Pape, l'ambassadeur d'un roi qui 
n'est mème pis Pégal en. puiss 
d'un président \ 
Epubliques de StMartin où d'Andor- 
ve; Je représentant d'un Etat qui 


; 


m4 


Eu lisant les Journaux :-: 


A AR NEA 


annee co 
es, minuscules ré-! 


QUEBEC, —- La 2ème session du 
16ème parlement de Ouéhoe s'est 
ouverte Je lendemain de l'Epiplhit- 
uie. 


ROME, — 


ira emesgeme se 


La Chaivbre italienne 


S'est vuverte Inndi, Mussolini Aoit 
urésenter une loi de réforme élec 
orale qui suscite beaucoup. d'in- 
térèt. 


L 
n'existe plus qu'en droil, est encore 
le doyen du corps diplomatique à 
Paris. Lt c'est conune tel qu'il à 
adressé un discours officiel au 
chef d'un gouvernement 
profession de ne croire ni au 
Pape, ni à l'Église, encore mois at 
pouvoir temporel el aux veux de 
qui il n'est logiquement rien. 

E arrive de:ces, choses à un Her. 
riot où à un Doumergite, 

- Mais quoiqu'il arrive, il y aura 
encore des nonces dovens di corps 
diplomatique, à Paris où ailleurs, 
longtemps aprés que !les Herriot 
seront disparus et oubliés. 

Les ministères, même maçons sont 
caducs. 

L'Eglise 
éternelle. 


\ des prouesses dé vie 


Jules DORION, 
1/Action Catholique 


Le bilinguisme, richesse na- 
| tionale 


ù 


L'entrée du, Canada dans le con- 
cert des nations auf ou au moins 
un résultat pratique: celui d'ouvrir 
les veux. des Anglo-canadiens sur 
Pimportance qu'occupe Hi langue 
francaise dans Je monde. 

Avant les pourparlers de Ver- 
sailles et les assises d': la Société 
des Nations, Les représentants du 
Canada ne eongaissaicht d'autres 
réunions de peuples que celles des 
Conférences impériales, où: sen] 
l'anglais était officiel. + 

Depuis 1919, il ne s’est pas pas- 
sé une seule annéc'sans que le Ca- 
nada prenne part, à des conféren. 
ces internationales, dont 11 langue 
officielle est le franpais, langue de 
la diplomatie. - . 

Les représentants canadiens, qui 
ignoraient le français ont trouvé 
trés incormimodé: d'assister, pendant 
des semaines entières sans vien V 

mprendre, .k..des délibérations 
d'une supréme importance, + 
Pendant es longues” semaines 
À qui précédérent Ja signature." du 


À 


qui Faitil 


laité de Vérsailles, MM Foster :el 
Siflun profilent de leur séjour à 
Paris, pour apprendre, malgré leur 
age avancé, be langue de la diplo- 


C'est M, Grahuun, ministre des 
Chemins de ler, qui déclare au re: 
tour de l'assemblée de la. Société 
des Nations, au cours de Pantone 
de 1923, qu'un homme publie qui 
est appelé à siéger dans les assem- 
hlécs internationales, doit connai- 
tre La linguce française, 

HV a quelques mois seulement, 
Sie John Wülison, ancien  rédac- 
teur du News” ot du “Globe de 
Toronto, conmuniquait à la presse 
mnadienne ees réflexions que lui 
avait inspirées nn voyage anmtont 
du monde. “Vous ne pouvez voya- | 
ger à Lravers Le monde avec, une 
seude langue, et je ne puis penser 
à rien qui ferait davantuge, pour 
Punification du Canada ct qui lui 
donnerait davantage de Bi distine- 
tion parmi les nalions que de ren- 
dre obligntoire la Jangue francaise, 
Je rendrais l'enseignement "obligne 
toire, non seulement dns nos tuni- 
versilés, mais encore dns os 6- 


cvoles élémentaires." 

Enfin, M. 0, D, Skelton, ancien 
vrolesseur d'économie politique à 
l'Université Queen et actuellenient 
conseiller au bureau des affaires 
étrangores, qui arrive de Génève, 
un déclaré dans une eouseorie fuite 
en notre villes "Le lait quete Cu- 


id Î 
nada est un pays bilingue el que 


ces den laneues sont les dens lan 


unes officiolles du bi Socièté dus 
Nalions constitue vue magnifique 
richesse, Si nous mettons à plein 
vpotit cette CLRELTE FLE LCR ER Lo ‘te . 
dence nous & donnée, nous bénéfi- 
eisrons de plus en plus dans nos 
relations avec les pays étrangers” 

alle est lPopinion  d'Andui-esne 
nadions jntellivents, exempls de 
nréjugfs, celnirés por nn contaet 
de enelques vois ver trs persan 
medlités njlitiques du monde entier, 


Pinagnn matepoolfe st Panotaiss ons. 
nent M ooeg ci honte fn nonnais. 
darts de Ja loosaqe lonnenice, n'‘puf. 
il pas naturel que les Cnnnedione. 
frageais, dons nolare mare dit 
Panneau meule habiter" Hennent à 
'atre noprendre 7 lets enfants 
Bou ape csntonpells 9 La con- 
huve serait incompréhensible, 
Chartes GAUTIER, (le Droit) 


nm me anse M ones ee 


Que Québec nous aide! 

Les chiffres du dernier recense 
went de 1921 démontrent que fes 
Canadiens français du Manitoba 
sont passés de SOU à 40000 en 
dix ans, Le groupe francais le fa 
Saskutéhewan, dans le mme spa 
ce de temps, est passe de 23,000 à 
42,000 ot colui de l'Albertt de 19 


| 


les trois provinces Ja population 
cnnadicnne française a augmenté 
de 40,000 en dix ans, 

À ce propos, l'ictiot eaholique 
écrit nn bel article pour reconr 
imander que Je surplus de li po- 
ipulalion de La provinee de Québec 
soit divigé vers Dos Drovinees at 
heu d'aller se déverser cux Btals- 

Inis. 


4 
î 


te 

“Los CGanadieñs dans eus U'ois 
provinces, remarque ce journal, 
sont aujourd'hui beaucoup plus 
oinbreux que vous ne Pétions t- 
près lu conquête, el leur progres- 
sion est constante et norniale Dans 
une moyenne d'un peu plus de 20 
ans, par leurs propres forces, is 
doublent en nombre. S'ils savoul 
se tenir debout conne ils le Fou 
aelucllement avec vigueur el lack, 
S'ils savent meintenir et forifier 
selon Les besoins dt moment, Jours 
organisations roligiouses et naltio- 
nades, Pavenir pe leur donner pas 
F'Ouest, mais ou moins une place 
considérable ‘dans ces provinces, 

“be ce cotè-ft, ln Providence 
aidant comme elle Pa si géncrense- 
ment fait par le passé, Pavernb est 
done rassurant. ir 

“Seulement, nous pourrions faire 
notre part beatconp plus lg et 
assurer bien plus vapidement fous 
Suucés, Si, nous de PSE, notis étions 
nousnièmes orsoniéts pour Jonr 


Ü 


donner une partie du surplus que 
nous Htissoi 
por.” 


5 partis pour létran- 


û 


| 


| 
DE 
LE 
| 
Î 


| 


FERM 


Quand vous venez en vil- 
le avec vos chevaux, si 
| vous voulez trouver une |} 
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0 


Léopt à l'entendre. 


mm me com 


Léon Daudet orateur 
Des applantlissements 
l'orateur précédent, el 


suiies 
soudaie 


tout vol sacendé et bruvatit s'infer 


rompt, Les mains, conne des aile 
murtes, cessent de battre et retour 
bent le long des corps. Un gran 
silence succède au fricas de tout, 
l'heure. La foule, avide de imiett 
voir, de mieux enténdre, s'inmols 
lise. Daudet vient de partitée à 
tribune, | j' 
Sur celte tribune qui S'vanc: 
trèle jetée au-dessus dit Pot um 


les policiers du député rovaliste:f 


sont éeartés, pour Hi faire pari 

Quand Daudet parle, ir 14h faut ‘dl 

chap, . le 
Dans cette minute de silenc: 


pleine d'un voluptueux enerveme 
cette minute lourde de promesse 
qui précède chaque discouts Pa 


lcemblée ,contemple’"ectui qui va pat 


ler, Elle lui est d'ailleurs familigr 
cette Silhoniclle couîte, ramassée €. 
dont Le geste, en dépit de l'embotr 
voint a une promplitude fétine, Le, 
lustres échairent d'unc lumière ent 
le visage rude aux lignes essentie, | 
les: deux traits pour les veux Celi 
«ts sons Le poids d'un Front masst 
un nez puissant que deux sillon 
relient à da bouche cpaisse et ve 
luntnire, | oi 
Connne un marin sui Re passore 
e, de regard perdu bers d'invisibie 
horizons. Daudot se promène d 
long en large sur sa tribune, 1e 
eahne, parle posément ne fai 
pus une barangue de réunion publi ” 
que imhis une eouserie de sudlon 07 
le contact s'établit ainsi contre Tui ei 
ses auditeurs dont éhacun se cr 


+ 
n 


4 


4 
4 


s 


Majnlenant, son regard  plong 
dedans Passemblée, va d'un visag 
à l'autre et son geste s'adresse à 16, 
où tel qu'it ne distingue pourtar 
point, ‘ ou 

Son aelion s'est affemmie. HE fait 
purtager à da loule ses irouies se: 
inimiliès, D'un mot cruel, il stigméi, 
lise l'incapacité dé sus adversaire. 
politiques, it flétrit leurs opinions, 
leur visage, four nom, Hi ahat se 
etnonie quus de sainglintes dpithei 


se; : 


les et des jette à la meute peu’ 
qu'elle les dévores 
Lu meule réagibelle bon molle" 


ent à son gré, il Pexeile, la fou, 
aille, H prend une phense qui ps 
nait anodine au début, it la Hince, ji! 
ln développe ol elle se déploic dan 
Paie conne un jet de fouet pour ve 
lomber en claquant aux orollles, E 
il sc emnpe, In léte rejetée en arrit, 
re en attendant la riposte, L 
I s'est arrété, HN va donner sr 
effort. La agrippé à deux nmiains 1 
balusténde et sv anpuie de tout soi. 
corps. Sie voix se Fait vibrante, for 
imidable, Silôt sortie de sa bouche. 
chaque parole s'ehfle comme un 
voile où éclate aver uacbrnit de sa 
ve, Sans transition, il basse de 
doucour à Jo cojére et la foule qu 
d'abord avait peiur à le suivre, 
frciner eur sos sentiments pot al 
er de liudigualion à l'enthousias 
ue, de Ha haine à l'amour, vibr 
maintenant au méme vétinne qu 
Ini, lle est conauise, elle s'abatt 
donne, elle est prétu à toul.: : 
Alors H s'avrète un instant pou 
savourer son triomphe, pour fe ou 
suver, puis, d'un devnier coun d° 
gosier, à courbe Passemblée à sr 
pieds por teniours, EL quand ell 
ke redrese, éolalant on applandis 
Loments frénétiques, il a récont 


vense d'un sourire comme on tape. | 


le les naseau$ des fauves quand il 
out bien travaillé, ° 
Jiumes de COQUET. 


- : on 
mnnnemdennne À VÈ4 à eme von sun 


CE. . 0 
Une épitre à Herriot 
ren meer M 

Un écrivain qui n'est pas ci 
tholique, mais. qui veut être franc: 
ndresse au chef des persécuteur 
culte charmante cpilre,.,.. Ecou 
tez bien: s i 
“Ja daicité n'est 
prétendst une sort@ de neutralit 
du ponvoir civil à PFégurd de 
religions ‘Fa licité, c'est le dog 
ane de Plrréligion d'Etat. Ta bi, 
eité, c'est Rx haine non pas à tou) 
le religion tu lisses tranquille 
le protestantisme et Le judafsmie 
| parce qu'en France, ils ne sont qu. 
[deux petites minorités mais 
la religion catholique, ‘Ea laïfcit 
c'est Poxpolsion du Crucilix 4 
toutes les écoles, mème des école 
où toutes les funilles, tous les er 
fants, duus certaines régions de | 
France, étaient crovants et prati 
quants. C'est l'expulsion des ar 
môpiers des navires de guerre, mi 
ie quiutd des lrois-quarts de lé 
quipage ôtaidht composés de my. 
telots bretons pour qui la religio. 
détail une source, de moralité et un 
consolation dans les épreuves d 
letir dure vie d’hothimes de mer; t 
laicités c'est l'expulsion des Jésni 
les, sous prétexte qu'ils sont'ulli 
imoutains, alors que tu es. lallié -c 
le protégé d'un piuti socialiste in 
tepnational, ait twoins aussi intet : 
halional que l'Ordre des “Jésuites 
ti laïcité, c'est 16 choix entre ?. 
dispersion où l'exil laissé à de: 
Congrégalions de femmes et d'hon: 
iwes doit be seul crime est de prie 
et de se mortiflier pour coûx qu 
les perstegulent. du soigner grafui 
lement les maladies Les plus ve 
pugnantes, de donner l'exemple d : 
l'esprit de sacrifice à unc sociéi 
qui, sauf à quelques heures d’ht 
roïsne, verse dans le vlus immon 
de motérialisme; ta laïcité, c'es 
l'interdiction d'erseigneinent: infl. 
gée à toutes les-Congrépations ent 
scignantes v comoris Ces nâinir? 
bles Frères de Jn Doctrine chirétier 
ne connpe si Céinient autant d 
bandes de malfñiteurs; tn lafoite 
c'est ton Choutonps expufsant le 
Clurisses d'Aleneoñi ce sont les ho 
auuts hnti-catholiouces du petit Ha 
maie qho tons plaré à la tête « 
l'Université.” | ‘ 


mers natemennane ? PV ? 


en 


‘Combien coûte la Légion 
d'honneur 


Paris. Les membres de la Li 
pion d'honneur, naminés où. proTnu 
dans l'Ordte, auront désormais, 
verser pour prix de leurs dégér 
Hious avec cérin ".S R € 
nrès: chevalier, 44 frs; 
frs: . commandeur, S 
grand-officier, 730 frs; grandiernis 
958 rs, cime | 

n . y : 


CRT 


as ce que tit 


: 


(ses et les écoles "chrétiennes, 
portionnellement ‘4 nombre 


SEE 


nos douleurs actuelles, la ersécu- 
tion qui s'annonce, Îés inquietudes ! 
qui nous tourmentents it dit Ja tier- 
té ct In sérénité de nos aies 18SQ1f- , 
fées du Christ et qui viennent lui |le bolchevisme 
demander Ja vertu de farce pour ki même cHUsé; LI Le 
des Juites qui s'ébaucueni; prou-}ses au mieux, JOUS DC réussirions 
pant les espérances de nos VOoCa- | ME reculer l'échéance de quelques 
tions,_les besoins deïnotre jeties- :annecs., Si au contraire, on donné | 
se ardente, les ‘nécessiés de nos sous de contiôte dit Douvoir civil." 
familles, de la société" de la patrie, guand notre République aura enfin 
il fit à Dicu Floifrande {otiue que une, tête les moyens aux écoles 
tous” souscrivaient de nos persun- | chrétiennes de lutter à: armes 6ga- 
nes el de nos vies. ° iles, à movens finaneiers CHAUX, = 
É ivec les écoles libres pensenises Vous 


Les transe 


le était jolie comme un coeur, 
ir.là, Elle portait }a vaporcu- 
iette de tulle brodé que Lucien 


pro- 
de 


u l'honneur est grand car Madame F. lun sanglot® Odette était-clle donc TT 
1 évolue dans un cercle très distingué st mondaine qu'une invitaiion Com- CAN 
L KL C 

et fort. exclusif, Cest une belle me celle-là lui fasse perdre MR tète? 
aubatne pour Lucien qui pourrait] “Non, non. ce n'est pas cela; é- 
ise créer des relations précicuses coute!” Ht-la tète sur Fépaule de” 
dans ce salon fréquenté par une son aimé, la jeune désolée fui ra- 
société choisie, bien que riche, C'est conte ce qui s’est passé, la. visite. 
donc tentant, mais si: inattendu,” : | de Berthe, la perfide interpréta- 

Lucien explique. : L'autre ‘jour, {tion Quelle à opnÉe A elle 
Madame est s ifance si naturelle, les doutes qu'elle 
|Madame est venne au bureau dc; , rt il en 

OR si . ; « ia semés, ct—hèlas! 1 faut Hien tout 
soh mari, le prendre pour aller ‘3 VE en tou 
he s ee : : dire, — Je trouble et les inquiétudes 
chez des amis. * Monsieur venait de; qiné lesquels cctte histoire Pavait 
constater qu'il ne pourrait s’absen- | hic eile, Odette ‘ ‘ 
er à ce moment à cause d'affaires | pu , . 


BUREAU D'EMPLOI DU 
à a ' 


Vial 


rien pour arréter te socialisme et 
ce sera cxaciement 
en imetcanc ies cho- 


inc tant; dans ses cheveux un ban- 
denu d'argent; an corsage un frais 
bouquet de myosotis. | 
elic 


, 1 Ainsi vêtue, 
avait l'air d’une-ondine et ses i 


évidemment très riche, . 


Pauvre petite Odette! La nouvelle 


Pavait fort tourmentéc, Etait-ce 


possible? Lucien la trahissait déji! 
Oht.mais c'est qu'elle ne se laisse- 


sait pas voler son bonheur; elle 


futtorait ferme et vaincrait sûre- 


ment. Qui pouvait aimer Lucien 


comme elle? Quelle femme sacrifice 


rait ses goûts, ses rêves, Ses ambi- 
tlons comme .clle J'avait fait avec 
fant de joic... Au reste, les appae 


rences sont souvent trompeuses, el 


. Lucien, lui. m'avait jamais menti, 
D'un mot, il expliquérait l'énigme 
et l'incident serait clos par un bai: 
ser tendre. Qui, il en serait ainsi 
et elle était bien folle, Odeite, de 
se préoccuper des histoires de cette 
Berthe qui l'avait toujours enviéc 
et qui jalousait sôn bonheur. 

Pourtant, comment Lucien 
grouvait-il dans ecte voiture? Qui 
était sa compagne? Où allaient-its? 
‘Les doutes revenaicnt, les inquiéiu- 
des. renaissaiert, des pleurs ern- 


| brumaient le clair azur des Yeux 


doux. Que ferait Ja jeune femme? 
Quelle atitude serait {a sienhe, au 
retour, de son . mari? Saurait-elle 
céler ses angoisses? bouderait-elle? 
irait-elle droit au but en demandant 


sention" : vue au Seigneur dont. les | toujours conduite par le même Pi- ROOn À < à N UE 
cer explication? Oh! non, non, pas SSLQUS Dropagent l'amour. Puis il lote— quelle que-soit la personne du. a nus da gidii Sur cel piere et al ans de 6300 à 5400. de profit.par mille.” Là aussi it ny a que la 
cela. ‘ Si Lucien n'était pas en fau- l'a désirée en hommage ñ PEglise, maine. qui le représente, — Jésus- li a donné une publicics qui met. font été trop Jonglembps les victimes. vaieur cash Qui SOIR Fixe, , Les pi ofits, CUX aussi peuvent varivé, 

ais ibcest possible de prévoir ec Hs pot | 

; | 


te, il croirait que sa petite Odette 
marpas confiance en lui, et ça le 

ginerait. Si, uu contraire, l'af- 
- freuse nouvelle était vraie, en hom- 
me qu'il est, son mari toruverait 
un moyen de dérouter ses soupçons 
et de se montrer à elle blañe com- 
me neige. -Berthe d'a bien dit... 


voir! I lui semble qu'un seul re- 
gard sur le, visage adoré ealmera 
ses craintes où ‘confirinera son 


» * tolic tite ariée: c'est EL: : sai : : s . 
ppalions. jolie petite ae et di 15 à qui Phonneur et la joie.sont dus {lu doctrine de l'Eglise, c’est Ia pra! rare nn Ù . 1 . 5 gi l | 4 € \ 

seure d’être raisonnable et diplo- lon ce. moment, Voyant cette syn-!tiquer, Cest.Ju défendre. secress, Le directeur du journal dé- La F . _ Uilututions les plus solides que nous avions au Gartada. 
mate pri ja fétiche conjugale est lihèse de leur. tâche, les missiannai- |. pe %e non CNIEUr a été arreié par les Or- ‘a France reste toujours la - a ti 
plus difficile à défendre QU'A CON !res seront consolés de leurs Jabeurs- , dres dû gouvernement et on Pac- Lee » a 

uérir: et c’est à vous qu'il appar- | passés el ils seront encouragés Montmartre, c'est le coeur de} eusc d'avoir publié un daeument nation missionnaire = Bantiste. NN ais ci «leulant i 
tent de dissiper ce premier nuage |fevmider ce qui leur reste à aceome | Ja France de nature à nuire à fa sécurilé de Jcan-Bapiiste. Non, ais en le galculant il ne fault pus per- 
et de faire qu'il ne s’en forme plus. | plir, 1 a désiré que: lexposition PEtat. ‘La-dessus.. des quotidiens |, pre de vue, Et protection accordée "par 4 coniagnie, 

PE: ; à : . A . + A : ‘ on ii ne h sp pré mani « a aus * CUS cols + LonrTais , s s in 
Cest. égal, Pheuré est bien lente À ait des sections scientifiques set lit- Paris, — La basilique du Sacré français sont à pou prés unanimes | Et le Jescph. Lun de ces soirs quand j'aurais Le Lemps, je fon 
à passer, cle à tant de hâte de site [iéraires non seulement parce que la | Coeur de Montmartre élevée au len- | dénoncér Hérriot commis un a! que des religieux franenis (ou ca: terni cel | ve 

Fu ferais bien de ne pas v passer rop de 


malheur. Une demic heure encore | que les missions rapportent fous l'éc" rééonnaissante, -es . 
dédie re ES GE e SE ! US k AUS ; -est devenne nn : +. CIRE sue nee el , ON CS À À 
à douter, à souffrir, hélas! Et Dieu] les frrits oui doivent en résulter. l'es. Heux de lord les. -p % de Ja mesure d'amnislir promise 4 nuissionnaires de Ja Société, ; altentait, Ecris donc aux agcots de La Suivesarde et n attends as 
sait s'il en passe des chimères en] Le Ssint Pére aanssi voukr celle! fréquentés, Paris, la provinrs jus. Cailaux. Les embarras financiers | /Aiavement les resultats oblenus plus longlenDer € est un risque que tu fais courir à tt famille, et 

Î À ce n'est ni prudoul ni courageux. ° . 


si petit intervalle, dans Vimagina- 
tion d’une feppme inquiète! 4 
Enfin, le-ronilement Ge, l'auto an- 
nonce Parrivée du bich-aimé, OGdet- 
&e s'examine une dernière fois dans 
fa longue glace; il nv a pas à dire, 
alle. est jolie à souhait. L'autre ne 
reut pas être micux car, enfin, elle 
m'aime pas. Lucien. aufant que Ca. 


“Et puis, ce soir, la fièvre de son 


‘fourment intime mét,des roses nou- 


Lelles aux joues de. la petite amou- Pere a terminé en bénissant l'expo- perpétuelle a SES dévots et,schaquel les groupes d'extrène gauche, Te pour J'Éstréme-Orient. Hi pour- 
reuse et fait briller'ses veux avec sition et tous Ceux qui y ont par- jo pPius où Moins NOMECUX, MON- fiasco du rapprochement uvee les lunut. des diffic Hés” Gnl DS uk 
ASE CL Ê ‘ S es he le tent vers le sanctuaire. de Montmar- |! sovicis russes : unpet +: aout, des difficuites M'ONT DHS HE 
plüs d'éclats. ticipe à un titre quelconque. tre des hommes, des ieunes dens soviets russes qui n'a SCT QU'A | que: la Ghiné est bouleversée par : 
La porte s'ouvre et deux bras ca- Aceempagpé de tous les meme ts a pics, es Jeures gens Lactver a propagande" communis- {fi guerre civile et Je brigandage: ‘ ce, +7 | 1. 
‘ ‘ ‘ k bres du Sacrée Collège et du corps l cvant le saint sacrement pas- [te en France. . À'au Japon et uu Thiber, les: Len LE , 
ben, Lex À 


gessants enfarept La jeune, ferme 
pendant que les baisers pleuvent 
sur sou visage, SUI SUN COU, SUP SCS 
cheveux. De petit noms tendres, 
tons.plus fous les uns que les autres, 
charment son oreille où lon a'versé 
‘tout à Pheure, la perfidie du conte 
insensé. Traitee, lui, Lucien? mais 


. æ'est impossible. Comment avail-clie 


» croire t-il à àâche iculière important avec ses 

pu le croire® Peul-it ètre Biche et | Uculiérement ant tv sp unns ape} £ LoicE de #i n he - ue 

Menteur avec des veux larges et | reproductions Qi “miniature des s'ouvre derrière le maitre-autel, des | Sisnificatits I totalité des *départs? de Ja gran- | Envoyez mandait-poste, nous n'expédions pas €.O.D. 
ceux? Peut-it } principaux monuments, Un auire isénérations sont déi& venues prier. “jt Dieu! il faul que des é'ius de Société de lu rue du Bac. Gel _ 


francs comme 
£somper quand.toute sa personne 


ad 


set 


urgentes. De plus, il s’apercevait 
qu'il avait oublié à la maison des 
Papiers très importants, Lucien 
s'offrit à aller les quérir; Madame 
sourit, proposa de l’amener dans 
sa voiture afin de gagner du temps. 
Le chauffeur passerait la déposer! 
chez les amis qui lattendaient, con- 
duirait Lucien à la maison de K... 
et le raménerait auprès de son pu- 
troh, (C'était si simple que lPidée 
ne pourrait venir de refuser, 

Au cours du traget, Paimable fen- 
me fit causer son Compagnon, äp- 
prit son récent mariage. ct fit pro- 
mettre au jeune imari-tout heureux, 
de.lui présenter sa chérie dont elle 
veut gagner lamitié L’invitation 
était Ja conséquence de cette for- 
iuite cotrevue, Lucien n'avait.rien 
raconté à Odette afin de jouir de sa 
surprise, Est-elle contente? Gela lui 
plait-il? 

Mais... pourquoi ces Huwmes” 
Que signifient ces inpétueuses cit- 
resses ct ces pardons bégavés dans 


PR 


Fa 


_Le Pape visite l'Exposition 
"Rome. —- En réponse au cardinal 
Van Hossum, à l'inauguration de 
lPexposition des missions, le Suint- 
Dérer dit les raisons pour lesgucl 
Les if avait voulu cette exposition, 

La dit qu’elle a été faite d'abord 


dont les inissions Ini permettent 
d'être présente chez tous des peu- 
ples, iLFa désirée pour Phonneur 
dela propagation de la foi qui est 
les yeux, l'esprit et le coeur de VE- 
lise dans son travail de-mission. 
Sa Sainteté a voulu cetle exposition 


pour jes missionnaires cux-mêmes 


fatigue et, le sacrifice sont neces- 
suites, mais “aussi parce que Ta 
seienrs estin fispensable si on veul 


exposition pour que les catholiques 
qui siennent à Rome pendant PAn- 
née Sasnle-puissent voir en tn jas- 
fant ve aue sont les missions, qu'is 
4 intéressent et leur aident 
Sa Sninteté-vout d'abord que Tex- 
position soil une SOU cE dc nrières | 
pour les missions parce qu elles 
sont une oeuvre divine el que les 
moyens humains ne sônt pas suffi- 
sants pour les soutenir. Le Saint 


distomatiaue, le pape à visité les 
salles de l'exposition. Tous oût Cx- 
primé leur admiration, parec quel 
le dénasse tout ce à quoi on s'at- 
tendnit. | 

ontes is scctious. sont splendi- 
des. Au point de vus religieux, le 
pavilion de la Terre Sainte est par- 


endroit imporlant est lacsalle des 


nartvrs avec 50s nombreux mémoi- 


pour de 


[hôr 
amour. 


, Jucien se lève, end d 
mains tremblantes Je joli visage de 


sa femme et Jui dit grave | 
chétie, je taime ct naimerai que 


prend dans ses | 


avement "Ma 


toi: Le monde est bien méchant 


petite femme, et le 


très offnsque son égoisme 


s colombes come toi, mu 
bonheur des au 
. Je l'en 


prie, crois ton mari, d’abord; raie 


iconfiance ç 


n lui et que rien du de- 
s ne vienne entamer notre cher 
Tu as ma parole d’honnè- 


le homme que tu es mon unique 
tendresse, le seul but de mon tra- 


vail et que:rien ne? 
que a confiance, - 
me crois-tu 


D 


Un long baiser 


n'est précicux 


M'añmes-tu, ct 


plus passionné 


| LES NOUVELLES 
 CHEZ NOUS ET AILLEURS 


Dom org mn mm 
cms 


LD 


LISTE, 


mg QE 


que tous ceux qu’ils avaient -échan- 
vés jusqu'alors est.la réponse d’O- 
dette qui retrouve son joyeux sau- 
rire. . ; 

Et depms ce temps, toutes Jes 
Berthes de la terre n'ont pu faire 
lever en elle un seul doute sur la 
fidélité ot l'amour de son mari. 


disions, durant Pété dernier, à en- 
viron güuinée cents marins anglais, 
réunis en cù méme lieu, en Natre 
Tournez-les veux: voyez, 
ja-haut, ecite, fresque qui représen- 


présence. 


Couur Sacré “c 
hommes”, | 
Et dans la basilique les théories 


.Christ -Notre-Seigneur, Ie tout-pu 
sant Verbe de. Dieu.” 
Etre catholique, c'est s 
vers-Rome, entendre la voix du Pa- 
pr, at: lui obéir. 


te la tempête en fuveur et les flots 
qui menacent de submerger une bar- 
j que Mais celle-ci ne s'enfonce. pus; 
tcile résisle toujours ct elle est tou- 
jours -victorieuse,; parce qu'elle et 


is- 


Al tourner 


Etre: catholique, 


évèques et s’y-conformer. 
fholiques, c'est enfin sinspirer de 


c'est aussi écouter les directives des 


Etre ca- 


demain de la guerre de 1870 par 11 
France pénitente, achevée après la 
grande guarrc récente par là Fran- 


ranger, vicnnent sur. cette colline 
de Montmartre implorer laide du 
qui a tant aime des 


d'hommes: de fenumes défilent cha- 


{ que juur, à chaque fête solennelle, 
pieuse procession d’'ûmes lidèles,4 


Mais la nuit .qui tombe n'arrèle pas 


le Alot des pèlerins. 


L’adoration 


sent en prières Ja nuit toute entiè- 


re 


- Les paroisses de Paris, les ocu- 


vres d'honnnes, les ceuvres de jeu- 

nes gens on! leur tour chacun et 

aiusi touté l’année une garde fran- 
La 


“aise veille 


cache, 


le Dieu adorable "ct 


Dans celle crvple del Montinurtre, 
duns li chapelle de Ja Vierge qui 


Et dans le grand mouvement qui 
vers 1910 ,ct depuis ectte date ra 


Et dans la basilique où jes cicr-! 
ges irouaient de lumière 16 voit- 
es envaties par Bi nuit, la lente 
procession se déroula de tous ces 
jeunes gens au-dessus des têtes dose 
quels flotiaient les couleurs vives. 
des drapeaux de leurs fédérations 
lct de leurs cercles. Puis le salut 

du Saint Sacrement fut donné, le 
Cardinal Archevèque de Paris tra 
ea sur cotte foule pieuse d'adoles- 
cents le signe deJa bénédiction, Le 
flat des dévots pélerins Fécoula, 
tandis. que quelques-uns, délégués 
de, leurs ecreles, demouraient jus- 
qu'au matin en adoration, portant 
au pied-de la croix les prières et les 
offrandes: de toute une généreuse 
icunesse, Fi 


TS men 


Ce qui se passe en France 


Le chef du gouvernement fran- 
eais, M. Herriot, sort à peine d’une 
grave maladie diplomatique pour 
tomber ‘dans une crise pofilique 
dont les conséquences peuvent être 
désasireuses, pour ‘lui, Son minis- 
tre de la guerre, le général Nollet, 
est un ahcien commandant de Pür- 
mée d'occupation des rives du 
Rhin. Or, dans un rapport écrit 
à la veille de son entrée dans le ca- 
binet du Bloc de Ganehe, le géné- 
‘ral avertissait officiclienent le mu- 
réchal Foch dés agissements smili 
taires allemands. ncousant le 4ou- 
vernement de Berlin de tobirer, 
sino> d'encourager les afmements 
défendus/par le traité de Versailles. 
Un [tel document signé d'un tel 
nom est qu Lémoigmage “cfatani ae 
la justesse des vies hr etbinet 
Poineura ot Ja fistifieation de Poc- 


Un journal parisien, Eclair”, 


Herriot et Nollet durs une triste 
posture. En cffet, le cabinet He 
riol ant répudié Ja politique ux- 
térieure de Poinenré, on Hit dernan- 
de coment il peut aujourd'hui 
! concilier. ec Hichage après avoir 
lui-méme avisé foen de 11 fourbhe- 
rie bouche ct du danger qué cowpor- 
faicnt pour la paix Jours armements 


gresseur de En Tiborté de la presse, 

Cet incident  coïnciüe avec Je 
craquement sionifientif de Lente Ïa 
politique radicale: le demi-tchec 


du gouvernement devaft les créar- 
ciers de li France, découverte 
des préparatifs de. PAllemagne en 
vue d'une agression nouvelle, le 
retour du gouvernement anglais à 
une atiilude.plus Fferrae à l'égard 
d'un cnneimi déloval, 13 puissante 
organisation des’ catlioliques fran- 
eais contre une segte ‘persécutrice, 
une rupture du plus en plus mar- 
quée entre de bloc ministériel ct 


ER 
eme à ee LEÉS lon nn 


Gustave Hervé demande jus- 
tice paur l’école catholique 


Paris,— M Gustave Hervé, l'an- 
cien révolulionnajre. se vapproehe 
de plus eu plus des rathotiaues. 
Voici de sa plume un article bien 


aicnt l'intelligence de comprendre 
et le courage de proclamer que Îles 


cupation dekrRuhr. | 


| 
| 


li 


sociale dévastatriee où Ia bienfai- 
sante et salutdre réaction, qui ren- 
dva à la religion pourchassée ct per- 
sécutée sa buwge 
publique. 


leurs élèves, tout ce qu'on fera à 
} 
| 
| 
Î 


ive 
ide refaire l'esprit et Pâme de” la 
France nouvelle. on: 
“IL faut être réactionnaire jusque- 
à, en France, où périr. ° 


rrez comme elles auront vite fait 


a 


"Gens mariés 


Célibataires 


Demandez hr main‘d'oeuvre désirée, mentionnant le salaire 
Faites application 


due d'aprés vous mérite le travail, 
à ci , : sale Ja. plus proche 
“J1 fant choisir: ou, la révolution ale ap Û 


place dans la Ré- “EDIFICE DU PARLEMENT, 


ide 


Le P.: Déncoeur parle à Lydn Se 


bondée, 2,500 auditeurs sont venus 
entendre le P, Doncocur. 
1,000 personnes restées dans la rue, ! 
* désiraient voir le.P. 
apparut-cpfin à da fenêtie ot fut: 
chalonrensement acclamé C 
mu, le Pére Doncocur lança quel- 
ques 
“Nous voulons I Hiberté par la 


le droit commun”? Î 
. La conférence fut un tiomphal | 
succés, L'orateur fut présenté par: 


jugérent bon de manifester leur op-; 
position en csquissant une conire-: 
inanifestalion. * ‘ 


ti 


M, Jacquier, bâtonnicr de l'Ordre 
des avocats: “Ce qie nous voulons, 
dit-il, c'est fe seul droit à la liberté 
pôÿr Îles Français” 
jour suivant efui voté: 
mes, après avoir entendu le-P. Don- 
coeur proclamer le seul droit à In 
liberté pour ‘tous les Français, les 
sathotiques et jes religicux.… 
me les autres renouvellent leur ré-' 
solution de défendre jusqu'au bout : 
ecttie'Hberté qu'ils 
de la nature et 
tolérer qu’on Y porte la moindre ai- 
teiute, ct sont décidès 4 réchuner ! 
avec la derntére énergie que soient 


La scrtic de Ja, salle se fit dans un! 
ordre parfail. É 
aux cris de: “Vive Doncocur!” dans 
Fenthousiasme., | 


nadions ou suisses romands), vienit 


€ 


sès ‘daus son “poiple rendu” 


n 


ph les iiésionvaires francais-onl 
été aussi satisfaisants, eu égard à 
jeur'insuflisance en ressources ol 
en personnel 7 7 


population chrétienne qu'ils grou- 


p 


inissions, s'est accrue de 
100: Je clergé indigène a gagné 49 


u 
“€ 


blenents de Lerre ont causé des dé- 


Si 


partout, c'est Hi crise du personnel 
européen { 
chère, conire des conditions éro-l 


n 


contre Je fatigue ef Tes vides du peret 
sonnel. 


n 


Tvon— Dans ja salle Rinen, | 


Plus de 


ncocur, qui | 


È 
; 


Trés €! 
Î 


paroles, vibrantes A dit: 
) Ja Hi jus-: 
cé, Ge quejnous voulons, c'est i 


, Jeuën-Baplisie, 


infaumations demandées que pour ni 
, lu dans une conférence 
L'ordré du 
“2,590 hom- 
qu'elles ne recevaient, 
: Puy a ccpendant que 

CON" 
diminution où une 
; “Lac T5 4150, assure le con 
tiennent'de Dieu, : AN 50. assure le cet 
e loi; de ne plus! : À 
nt- | vingt'ans qui catle 
! l pius considécables. 
peut étre 

solies les lois d'exception dant, ils | 
LR 


sant sur ce qu'ils onl cité par je ‘passé. si 


retirit ju 1! 16 pass 
Joseph. .Mais Pargent est-il sûr? 


Ea foule” se , 
| j 

- ‘ ! 
Comnté à Quimper, les sectaires 


tées en fogee sans que Les 
iaty a vien à ernindre pt tes 


| 


... Jean-Baptiste. 
Lumps, parce que tu st 
assurance, C'est ln 
suraure, on ust toujours disposé 


e publièr des statistiques curieu- 
ni. ! LL 
uel adressé ax évéques ct aux 


Al, BONS AGENTS LOCUA 


t 


Au cours @u dernier exereicv, fn 


de‘ leiirs evnires des, 


ené autour 
, y 


pOur VONDA: SASE. 


nilés et 24 jeunes missionnaires 
sont embarqués, en deux départs | 


Paris, — La Société des Missions ( 
rängbres de Paris, qui né groupe ; 
s 


du Bureau d'Emploi owéerivez 


UX. DEMANDES" 
| | : LA SAUVEGARDE 

Pour infermations “adresser à | 
._ Raymond Denis, agent général pour 'lOuest, 


à 


ront-être en se bi- 


Love 


à la succur- 


| Bureau d'empioi du Canada 


REGINA, SASK 


n d'ouvre Com- 


La seule Compagnie Canedienne-Française faisant de 
| lassurance-vie au Canada 
Bureäu chef, MONTREAL  : 

Buieau provincial pour PQuest, VONDA, Sask. 


Tu ine demandais l'autre jour quels étaient les 
profits payés aux assurés par les Compagnies d'assurances sur la 
vie, ctje me suis procuré les chilfres, autant pour te donner {es 

prôpre ‘satisfaction, J'ai 
faite en 1915 à PÜniversité Laval que dans 
le. système connu sous le nom d'assurance à vingt ans ofdinaire, 
les comupagules donnaient ordinairement autour de $150, de plus 


la valeur de réserve qui-soit fixe, les 
profits peuvent varier, avec par exemple, une- diminution où une 
augmentation des mortnités qui onirainent pir le fait mème une 
augmentalion, des profits. : Mais ec chiffre de 
férencier peut Gtre-pris pour tune moyenne, 
Maintenant Las en déhors de cela Passuranre dotation “à 
te plus cher, mais dans Jaquéllé-les- profils sont 
. C'est ainsi que déenszcé dernier système Pon 
raisonnablement certain de recevoir au boul de vingt 


FA 
| 


dassuraueevie qui cut déjà Fail perüre- Pargent des .assures”? 

Jéan-Baptiste, Aucune dont jaie cnicnqn parler. Jen est 
qui sont dispiuies, qui sont tombées, mais leurs affaires ont tir 
Lransférécs dans d'autres compagnies. el les” assurances sont res 
assurés n'aient rien perdu. À ce sujel 


tit des He 
assurances vie SON parmi ls ins- 


rriveras à disparalre avant d'avoir pris ton 
avande prüudic des gens par rapport à Pas 


Joseph. As-tu calculé quel tiux d'intérèt ce rois où quatre 
cents piastres de profils par année peut-hien représenter? 

b- 

à allendre conune si la tort ellr 


& 


ù 


istres indeseriptibles: aifleurs 01° 


en “utte conkre la vie, 


FOISSON BLANC 
BROCHET: .:.. 


omiques paralvsanies, 61 Surtout i | 
Cest La Fravce qui four: 
il à l'heure actuelle, à elle seule, | 


‘est pus à dire que cés chiffres) 


POISSON - POISSU 


: JOSEPH PIROT 


N 


... -,.... BC 
En boîtes, F.0.B. Station de-Méota. 


Ge 


Domestiques | 


CI 


légage une telle impression de vec ROMOPS pos ere À : soient suffisants. pour toys les be. 

droiture et de loyauté? Peut-il son | TES de iso TEE, ses reliques, j tie na l ëlile de Ja jeunesse de EF rab- [âmes des enfants à l'âge.de leur for- soins et surtout pour vetkper tou- 

get à une autre femme ce. mari | el jcs LL ELU, Les UE oi catholique, tes guits dl o- | nation, ne peuvent pas plus se pas-| Les les places où les missionnaires COCHIN en fon, . SASK. 

cui. dit de si jolis mots d'amour à u pommt de nent » OS UOFAIION 4 ALOREMAPITE GAL JOUE UR | ser de Ix nourtiture spirituelle quel étrangers se présentent aujour- GFPÉY' A, IT EU 

son Odette? Elle était folle. vrai- | rollections _etnnologiques sont tes role important. Quelle émotion ne! sont pour celles les Lelisions que hni en gros bataillons. En TT AE ns 
intéressantes. Elles conticpnent des | nous saisit pus alors quand, pour [leur corps ne peut sc passer mm mme ; ee ne _ en 


l'igute: 


“peu mystéricus, qué .queique 


ament, d'avoir tant souffert: et coi- 
.me- elle va le chérir pour expier 
ses mauvaises pensées de Paprès- 
midi!.. 


documents qui retracent it 
ge dés diverses races humaines, 
puis da barbarie 
des 


de- 


livres rares Cl 


zaine 


rent prendre une nail 


la 


le passa! ja première fois, i} Y a une quin- 
| Jin tie d'années une vinglaine de 
à a période eivi ! polytechniciens en uniforme vin- 


garde 


soin maternel où du 


dait 
remplace. ET la 


tuelle. c'est à Fécole, plus encore 


‘Cependant, Berthe était bien sût- sé. IT ès Missions, Au pointt sainte, Leur geste simple, geste RTE que les enfants la ve. PT TT US 
ves-de ‘ce qu'elle disait... Et le 1° SOS on ie von Je eu-t A BRESIL SIMPIC, SESTE ent CH n'y à pas d'école neu-|À, . ‘ - cs 
ete ‘ec qu'elle disait Et le de vue médica., Le V4 les doeu-" naturel ‘de croyants. avait une haw Lire, va l'école libre Venseuse ‘où ‘ L ‘ | 


“ cruel revient dans Pesprit 
dé la ‘jeune femme, pendant que 


sbn mari est allé s'habiller pour le 


diner: Maintenant, que la ‘magic 
de'ses caresses s'est un peu dissi- 
pèe, il semble, qu'il avait Pair un 
cho: 
au fond 


#e d’inaccoutuimé Juisait 


ments démontrant les nrocédés mé- 
dicaux pour soinner les maladiés 
tropientes et les épidémies. ? 

Les Etats-Unis sont représentés 
dans plusieurs 


missions. Elies Cx- 
posent une reproduction de ‘la: sta- 
lue du père Marquette. à Washing- 


te signification dont 


révélée féconde. 


Defnièrement, fa basilique 


a portéc s'est 


ou- 


vrait toutes grandes ses porles ct 


laissait envalire sa grande nef par 
plus ‘de douze cents jeunes gens, 
étudiants français, étudiants eatho- 


il v a L'école chrétienne.. La. pre- 
ivre, quelle que soit fa valeur mo: 


tres, fait des aigris, des révollés on 
des jouisseurs, La seconde, méme 
si tous Ceux qui en sortent ne sont 
pas des prix de verlus, est seule ca- 


"qu 
qui ete 
pourriture  spiri- 


rale et professionnelle de ses mai- | 


TE 
| , DU | 
{ PRODUCTEUR 


Lo De 


Poisson 


! DÉS LACS DU NORD 
Loi A 


onx brons ; nt : issi s (hi "epro- | ;: : 2 [bable de maintenir dans ce pars u- 

des veux bruns. Mon Dieu! si c'é- lton., Une mission de Chine FeprO-L oues étrangers, "membres de R , Hi gir dans ce pays u 

sait era ï un 6 it © ste complet. ° ATSEES), res QE OS he certaine Lenue + ini ‘ 

tit vrai... Var bonlieur, cette | duit un temple boudhiste ni ‘patronages qui répondaient à l’'ap- ASTTEN TART TNT NE ale, un mini- [pi È 
à + 


fois, la pauvretie Jia pas le temps 
‘de ressasser ses idées troublantes, 
Son mari a fait diligence; il est là, 


‘JPous les visiteurs sont .enthou- 
siustes de ec que l'exposition dcur 
révèle, El reste’cncore 600 caisses 


pel que leur avait adréssé la Direc- 
Lion des oeuvres du. diocèse de Pa- 
ris el Ja Fédération des Etudiants 


de sociale ct un 
certain niveau de natalité. 


“see TE . 
Si les élites sociales me s'orga- 


pas du poisson qui a été gardé en entrepôt. 


949 6 8€ 
bu cc AU: ? ! 
{ CONSOMMATE) 


PR SR LS 


ÜR 


Notre poisson ést gaïanii frais et de prise récente. Ce n'esl 
Nous l'expédions 


“si beau!--qui Jui prend le bras | contenant! différentes collections | itholiques. i \hisent pus sur le ferraih politique . . 
‘avec une folle affectation de eérè- | qui ne sont pas encore arrivées, “il fique A . pour. oblenir que les “eutholiques . par boites de | 00 Ibs ou 50 Is. 
monic. Il la conduit conduit à sa | Plusieurs viennent du Japon ct die Le préditateur de circoustanee, | soient traités. cn matière scalaire. . ns crie | . Lt OUX . 
“place auprés de la table gentiment l'Océanie. DES xt Beaupin, dans une méditation {au moins sur le même pied aue les : Toutes les variétés et tous les-assortimerits.  : 
servie où ils dineront seuls comme %: éloguute, prenne bralonde, pré | ets DensEUSs cl nué le budget N _ dB pi . Mot d 100 lbs 
e vrais tourterenaux pour qui l’uni- . . HE âmes à I veillée d'adora- de Pinstruction publinue soit ré- TI 56 o River par ot . 
vers ne compte n Us. ‘ C'est vrai Le Pape et la Jeunesse catho:| ion. 11 présenta au Sacré-Goeur parti enire Les écoles fibres CDS $ . Pres sont marques de 78 iver par 10 t 6 ne Se 
gue Lucien a l'air drôle et quan lique _—_—— Poisson blanc nettoyé, (la 1b...:.,.....::.:.. 106 


ù 


mem nes 
‘ 


ES D 
S, S. Pie XI à reçu les congres- 


EXPEDITEURS DE CREME 


::: 10 


Brochet nettoyé, la Ib:......::............:. °6c,. 
Gros dorés ::......-......:...:... REA 


Le 


Si Mais il a Pair. bien: bon et sa | sistes de la jeunesse catholique dr 17. 

gaieté a l'air hien franche. talie en audience privée et les & 167 ite saun s ée, le lb... roc t 440. 

Ca ne doit pas ètre vrai.:... licités de leur bel esprit htholi: Truite saumonée nettoyée, ia 1. rrrrrnrrnttte “14c. 
5 ie bravement sa servie 5: . : 0 no iÊ ee ... AC: 
Œlle déplie bravement sa serviet- | ques Nous prenons de nouveau Ja Hberté de vous rappeler que fe Mulets ronds, la 1b..........,....,...,,.....0 Ac: 


Avec l'Eglise! Nous savons que. 
du fond'du coeur, avec l'impétuosi- 
té de votre enthousiasme, vous. à 


le coût d'opération ét les prix que peut parer cette compa- 1 
guie aux fermiers sont basés directement sur le volume laf- 


L 
s 


Faites une commande s’élevant à 100 livres ou. 50" livres de 
poisson comme vous le désirez. Mettez assez d'argent pour pa” 


le sourire s'acceniue Sur le visage joutez: et avec le Pape, avec le Vi es tranktné D CR CE | 1. 2. E 
su jeune mari, Qu'est-ce cel? Une l'euire, le représentant de Jésus-l aires transigces, ounez votre 4ppui À votre propre compa- Î er aux pri arqués. ‘Un'va ’acent à votre Station. mel- 
carte élégante s'échappe de lenve-| Christ, avec lg continuateur de son "nt | de plu " Ve asser d'argent ( + Sue paye € ur d see 

| ë $ à 


oeuvre, à laquelle il a promis son 
indéfcctible assurance... . 

Avec l'Eglise! Vous voyez comr- 
me on marche bien, quand on LUETS 


sTucien G.... de leur faire lhon-”’! che de confert avec. l'Eglise. Vous: 


“du soir” ‘ 


Odette, surprise, regarde sun .ma- menagauts. Et pour- _ ri RAGE Lee 
ri qui, cette fois, rit sans rontrain:} tnt. nil e..chemin Vous CREAMERIES Le ET | BIG RIVER, SASK. L Den . 
le, Mais elle ne comprend pas en- j'avez.. parcourn{, Et" pour tant ce ns … * <, Référence:--La Batique Royale, PrineiAlbert, { a 


care, 
nes mariés ne comraissent pas. 


, L 


4 Lot me 


L'invitation vient de la fem- 
ue du directeur de.G, que les jen 
+ 


leux ou trois 
jent si troublés 
"si 


ts 


Avest-pas la tempête qui vous à vain 
aus, cust vous qui vez : VAIRCU Ja 
dempêtes nn so 


+ 


a 


(Al guic. Nous garantissons pleinement un niarehé 
an tugeux. oo ‘ 
Hpédicz rolre erême à Unis de nox 27 crémeries el vos 
,veufs, volailles cf beurre de ferme à’ notre.cntrepôt 

frigorifique le plus rapproché. : 


‘al 


. À 


f 


# 


ER 


letire a 


‘tez assez d'argent en plus pour payer le transport d'avance. : 


Ecrivez votre nom et adressé bien lisiblement.et adressez votre 


es Ltd 


4 


ACC cc. 
: Centres Franco-Canadiens 
SERVICE SPECIAL DU “PATRIOTE DE L'OUEST _ 
roi Te es 
: Al Le  VERWOOP, ask 


Soirée” ‘ 
"LE 98 décembre all soir, 
teurs de: hist 5ç 


4e Dos dues institütri: | - “) 
A, Bauire Gagné, he 


\rtle Jedie 
le de Féeale du village 


Le renpiaee les a- 


réunissiie nt it 


Bic print Le «rt M Gage, a él ja safe de Lourite Aicause de 
ARR inspeociour par le; la grosse iempôte, Passislanes n'é- 
î er ne d'étucation. 4 til” pass Lrès. hômbreuse, Cepen- 
AH ne ovide Hésautets sont} dant où s'amuse ferme et chacun 
El Le el Ni ee dns fi Province! travailla de son mieux pour décro. 
IPTC AT HN serons. sie, retour! Cher un prix 
El de oué UE du mois de nk 1FS, à , 1er rix des Dames donné par 
Es all» r ne Georges” Tarcotte, | ARE. Surrazin, fut High par Me 
du. et Ter les têtes chez léur$! Geraine, :Douillard; 2e prix, .don- 
ART Te el “Peterson. | hé par AL Le € Curé, décerné & Mlle 
parts il Ve Dents, de Krvdor; Annelle Gagné; 3e prix, gagnant, 
1. Li Lienribours, Mile An al lé Laurence Douillurd:  Lrix 
ue Prei il istitutriee #7 Aibeëts | encolragenent, pair Mile. Blanche 
Getie Hole bare Houle, cectésiasti- Pelletier: “ler DEix des MESSÈCUTS, 
ville. et M eue des Jésuites d'Ed- donné par M, J. Braccy, décerné à 
qe au el en visile chez Mes-| Med. Collins: 2e Prix, donné par 
monton. Ne labonté et Adélard Hou- M le Curé sagné par Herbert 
ion des Foles, Krinkie; 3e prix, fagrant, M, Lo- 
Re, à Dove ue Adrien Bremier, de. ber! Dupuis; prix d' CHEOUTARE- 
A Mie Maria Ménage, de ment, Vicior Sanders, 
: Leckfort élnient en visite” chez 1 v-eul eéhant cl ninsique. Les re. 
St rie celles de cette: polite soirée furent 
qe PTS les parties de. Eoc- | de 28,30. 


Nous 0 ; 
x les diuinehes, entré deux SONDE UUX, paniers, l* 


ours Jocaüx. Ce sport Li souper aux paniers, annuct at- 
, populaire dans no-°ra lieu celle année, le janvier, 
. edit salle de Lourdes. Ty aura 


NU tot 
quhs d'anttl 
A ever ré 


ire locale. 


LE rer , . 


TT 


2e Pour les longues L 
ER Soirées # 
| de l'hiver 


.Des ‘livres qu'il faut lire. 


4 
À LR 


« 


-u ni : € A x VAR 


ous sommes. heureux d'offrir ‘aux lecteurs du 
*ariols plu sieurs livres et brochures de grand intérêt 
à prix réduits. ‘Profitez de cette aubaine. Fous ces 
livres : on expédiés franco...‘ 


, 


L'Appel de la Race, par. Aloñie de Lesires 


: 


, 92 sous ; 


Pélerins de Rome, par Ernest Bilodeau 
75 sous. 


Le langue et les na 


tioralités : au Canada, | par un. Sauvage 

20 saus | à 
Brochures à 10 sous; 3 pour 25 sous à: 
la etc, R PL . Lalande, S. JL l 
En face de la persécution scolaire au ManitobeLes L 
pure Le l'Eglise et l'état dans leurs rapports avec l'é 
cokr,--Crs doux brochures. p5r M. l'abbé J. Ad. Sabour ï 
nm, D. D. . | _ É ik 
; Chansons canadiennes \ 
Refraius.de chez nous, 10 sous 
Rofrains can nadiens, FO sous 
COMMANDE TOTALE POUR TOUS CES LIVRES 
° E T BROCHURES, 8225 + 
/ } 
Adresser toute command de à à * | 
L'A DMINISTRATION DU PATRIOTE, il 
Prince-Albert, __… 
- mu Lu TL annee 2 cet me ne ne mms men cnne cf }} 

jme AA EAN TT QE AOL EEE PT: ÉTÉ RPRRET EE ne 


Aux hommes qui sentent leurs forces 
frent de maux de 


décroîfre È sou 
” reins sont récomme anclée es les - 


“Je souffrais de: maux de 

reius depuis une eonpled'an- | 
-ucesi j'avais aussi des dom 
leurs de côtés, ua. digestion 
-11 incommodäit et j jcmesen- 
ais. fatigué tout ke jour; le 
soir surtout j'étais. harassé. 

Les Pilulés Moro me furent. 
alors récommandées -par un 
compagnon de trav ail et je 
suis heureux de les avoir 
employées, parce quelles 
nront fait vigoureux, iort et 
dispos cémime aux meilleurs 
jours”. M. Pierre Moisan, 
62, Front, Sherbrooke, P. Q. 


di 
| : “Les reins eñ bon état doi- 
| vent clarifier le sang et lui. 
.. Péruettrede porter dans tout. 
Porganismsg ses: principes vi- 
ES Gants: mais Jorsqu'ils sont 
- faibles ot malades Jeur rôle. 
est renversé; alorsiles dé- . 
Justion ue sont plus rejetés s par. les urines 
du sang (envalissent 168 tissus et font par- 
Lt eus rava ges. Les n at ‘dé reins, de côtés, les dou- 
leurs daus les £ rtienlagions, d ans: les épaules, les bras, les 
Muscies iront. souvent pas d'autre. : Qrigine. . Les Pilules 
Moro, qui font dit: £atig Houveati} préserve ent les: hotes. 

de toutes ces: souffrances. ñ : 
Les Pilules Moro sont ei ñte chez i tous es m réhañids ‘de rém des. 


" ENVoyong aussi par, la ‘pgste, au Canada etaux Etats:Uais, eur réception ‘du prix 
#1 sous la boite. ‘ 2 ; 


Ése 


3; 


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#5 


ET 


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or, 
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LE 


PIERRE MDISAN, © 


re Sierbrooke, P P. &. 


chois de 14 coms 
et Li: "5 EL ” OS 


5: 


Non 8. 


{ 


Sk-Dénid, Montréal. 


| 


j 


/ 


partie de caries et Programme mue 
| vées porte l'achat d'un orgue pour 
| notre église paroissinle, Tous nos 
“unis soi cordialement inviiés, Un 
ragnilique prix sera dounë au plus, 
Pur enchérisseur de fa veilléc.. 
; 
lg La évérende Soeur. Vidlérié : St. 
Jean supérioure provinciale des 
tilles de la Croix. était de passage 
au presb\iére-n semaine “dcr nière,. 
M G. Thughian est: alé, vuir sa 
Foy paré pour un voviage 
d ‘ffaire à Monture à ol Maple 
Creek: : 
AT. el Yiue Léonard Johnson sont 
allés passer les fêtes de Noël aux 
N\ aisance, 
M. et Mie Je D, Q. (uyer, une 
Fille baptisée Gus les noms de Mn- 
ric-Yveite Parrain et marraine, 
M. ot Mme Ludger Douillard. 
En janvier, niésse à Verw ‘ood, 
‘Lous les dimanches à à 10,30 hrs Le 
5 janvier, fête de PÉpiphanie, la 
messe 4 élè dite à Quantock à 9 
hrs ot à Jocville. à 11.30 hrs. 
mariage — à là chapelle de Jocville 
de M, J Lalonde et de Mlle 
Berthe brérontaiis ‘ # 
nn fe 
PRUD'HOMME, Sask. 
Assuréne nt, 
s'tinuse fernie, Dimanche 4 janv. 
nous assisiions à une séance vé- 
créative donnée pr les amateurs 
du villge, Le programme suivant 
ut exteuté, avec entrain: 
par Mie A. Préfontaine; Pierrot je 
avandréeilalion par M. De Marge- 
rie; Le bonnet de colon, récitation, 
par Mile Unitiy Baril: L'été de In 
St-Mariin, comélie en 1 acte: AM 
Noël, Emile Préfontaine: Madame 
Noël, Mad, KE, Préfontainc: Mme 
EL “breton, servante, Mile Emitin LE \- 
rils Les Sabots du Diable, en° 1} 
croistdes, Le diable, Mie Ban ( 
che: Masson: Agnelette, Germaipe 
Budoux: le petit Jésus; Mlle Loise 
Lafrenière:  Diunés Herman. 
Mie Bernadette © Bari: Catuche, 


| sien Les recettes scront cmplo- 
"Éebrs. - 
mère dangereusement malade: 
Etats-Unis, 
Messe,‘ 
1.0 7 janvier, à 8.30 hrs, mosse de 
à Prud'hommé l'on 
Les caprices de mon petit frère, 
Brigneville, Armand Hoscheits M, 
acte. Far scène se passe après les 
Mie Augustine Maheux; Pagnerine, 


| 
Mile Lvène Baïils Magüclone, aille | 9, 
Evelige Mahoix: Lucinelie, Mile | 
Eva Painchaud: Quatre petits anges ji 
FMIleS Marguerite et Géneviève Nor- |. 
nfand, Marguerite Lecor, ot Rose- 
Anna StPicrre, 
* Grand'maman Fanchon -- chant 
par Mlle Anteinette Blain. , 
(e) Canada { 
té + 4 + nee — , 
MARCELIN,.Sask. 


Te jo wi 


ouf avions le jour des Rois au 


CES 


SRE ET 


Une page 


_Missidns des Prêtres de Ste-Marie dans. l'Alberta 


(1904-1921) 
SORSORT reflète Halkirk et Caslôr. Acecrois- 
Le Père Leconte coustratgil sement continu du notifire des ea 
lruisième église à onsort, pes tholiques: désir d’ avoit son église, 
\iflage situé à environ soixante! Mais où attend que soil fixé le site 
juillés Est.de ( Castor, dans un dis- Pins de In vilr. Conso su 
licl très favorable à la culture du Ccnstuil à & milles Est. de Hfinai- 
Di. . Oétait au iuois d'avril 1909: sau Connor. ‘Centre’: ‘conmnerciul, 
die D. . Leconte alors résidant à Siet- il devient du ième cou éentre re. 
ler avait appris de MM doséph livieux Commerce 0! religion, qui. 


ot Donald eclie. nouvétlement ê- 
bis dans ee district, qu'il v avai 
Lt deux où trois fanglles “atho- 
liques &t que Pendroil èfait pro- 
piece au groupement des colons, 
C tait à ceut-dix milles de Stet- 
Lkller, cl cinquante milles de Linas- 
“ville, le point exlréme de nos. mis- 
sions d'alors, 


Üue canmtpague d'exploration 
cl 


Ÿ Mais pour un Mmissionpaire dans 
LR Ame conne Pébit le Père Lecon- 
4 


le, la distance compte peu. Muni 
de aus les rénseignement HÉOoptit- 
phiques ei cthnologiques, que pu- 
rent fui procurer 
Be, le D Laonie commenvait 
éunpagne doxploralion, 

Pasti de grand malin de chez 
M. Jos, O' Lara à Lindsville, il ê tait 
à uidi ju bureau de poste de Cas- 
levville, Au- delà, les maisons étaient 

rares, cspaucées {ous les six où litil 
milles. De ef de à, des 
campés sous la tente, A a tombée 
le Ja nuit. if arrivait chez M Con- 
aor, une bonne famille catholique. 
réccHnent rencontrée à  Stettior: 
H'ävait irouvé Four inaiso1) SATIS dif- 
Heulté, attendu quau-delà, n'y 
avait plus ni colons ni iuaisons, 

A, Connor Gtait justement parti 
faire sés provi sions à la ville voi- 
sine, e.-h-4, à pontdis milles. Par 
.conire, “plusieurs dtrangers en quê- 
te de terres avaient pris, gîte dans 
celle maison ponr fa puit, Le fon! 
demain, de Don Malin, “ils s'en- 
foncaient dans I prairie inhabitée 
à la recherche du “homesicud” de 
leur rêve, pendant que fo Pére se: 
prépa irait à célébrer Fa messe, Un 
jeune alholique du voisinage. Pat, 

Lee, composait loute Passistanee 
‘avec Madame Connor: Le fendu | 
main, guidé par un aulre colon, 
A Gnilfoyle, le Père visita ce dise 
triel vers lequel par fa suite dE. 
riyon ses colons, , 
: Secontle visite en inars 1910, Get: 
je 1OiS, 
de poste du nom de Valljosun ma- 
gusin ct une dizuine de nouvelles 
familles, Les Leslie. Bibby. 0'Bon 
nel, Dear Piece, MeDougal, Caro- 
Jan. ele, ous Pexcellents rhrétiers 
ut désireux de recevoir de tenips 
en temps in visite du missionnaire, 
1 fut cénven. que Hi: messe sernil 
dite tous les deux pois, chez M. 
Connor, place centrtle, 


; Comment e.el religion 

Un ‘an plus fard, fa inaison était, 
devenue insuffisante et on passa au! 
| « “Sanderville. Hall”. nouvellement 
{|construit à deux imillés: sud ? de 
{ Pemplacément ‘actaul "de Consort, 
[Cependant LE 
1 doux jours, de. voiture à Paller ‘et 
autint. au ‘rélour: ayec le temps, 
puesé Sur place ft fAtait compter 
une semiAine € Pabsence.  ., 

De même que:les netites villes 
de l'Ouest se ressetblent : toutes. 
“de inême aussi nos missions ont" 


sa | 


| 
| 


| d'une mission dans PEst 


colons ! Président de 


Je'Père Dronvail un bureau” 


Lournée supnosaÿt | 


‘ 


VX n LES DOULEU à 
quis ! Eo JUULEL Ë £ 
chine" off, Feb de ‘ NRA FT nn > 5% 7 | A 
De ne DDS F' E COFES | “| 
Ua ET UE GUi Lo ; # >; 

. = œ 8 

|. y Cssent en pre enant Ë 6 jours pour l'Angletereo via à 

. 8 ÿ £ Fmeuth ‘ & 

! e Composé Végél al de S ‘Si vous allez en Fr: ance, pre- 2 

Dore Lydia Ë. ! Pialhen E NCz un bateau qui vous y: Ë. 

& débarquera directement de È 
5 to Fe "* 

Pusilier, Saxk, —“Souvent, durant | Ë la passerelles vu NT qual È 

deux où trois jours, j'avais tant de SE Lun uvre, À 3 hou. € 

| douleurs dans le dos et les côtés ES seulement de Pas, | ‘5 
a Que je -ne pouvais rien ‘faire—même . E Vrance, 4 fév, 28 fév. 11: È 

. … D. E620P pas Me reposer paisiblement, et j'a. { =. Ut MT É 

. u y NS à | vais aussi.mal À la tête, Cela que LE, Ds : og ‘os à 

Pêr, frais ef: -Satistaisanct be € Vén des ER paquets a environ trois ans, mais ce fut | £ Pari 28 fun, 28 murs, 25 ET 
pire après mon Mariage. Etant syr | £ Ë 

9 si ; 6 sta ] LA = 
d'aluminte in—Essayezele, e une ferme à 5 milles de la maison-kK = .Paqueboté à une classe Ë 
ES . [ES plus proche, et personne pour me, | Sup, New-York—Havre-Paris à 
ss useilers Mes garents vivant au LE La Savoie, 24 jan, : 25 fév. È 

. , avt SEE : +. Ma bhella-soeur Œ* : oise 

soir une partie de cartes tu profit instructive conférence sur “L'en-| du Composé Végétal de Tade T "5 HS. mit” IR fév 46 ni is, . È 
de notre Association sportive, Ce séigtement Classique et la Supé- Pinkham et me dit de lesaref. i E° R y9- “ v. à 
fui QU sUCCÈS come t toujours, StG0, ! riorité de lu Catture Latine”. J'ai: suivi son conseil et depuis, | Ë Suffrens 22 avril, "27 Qu à 
pour nos ports ! LE iveutt Les Chevaliers de Colomb ‘del lui eu: “suis + reconnaissante, Après - 1 5 Rochamhenu, 17 juin,.16 juil. E 
M. le qusique rot Se du ne DT | Gravelbourg ont offert ‘au. Collège avoir Fe le, remède trois mois, je. | = New-Y ork — Vigo, (Esp). à 
lropolit: nes du ai u par le Na le don de 875.00 pour Pachat def puis dire qu'il m'a beaucoup soula- | À Bordeaux, Ë 
York, oh! non nolehient Le SUN deux “Anges Adorateurs” pour la] gée, et je suis bien: Je suis fière | © La Rourdonnais, 9: fév, 23 É 
clin. elle SO eve l'enth ut seat nouvelle chapelle de l'institution, le recommander le Composé Végé- Ë 2 MATS È 
couitie d'habitude Mo ra tiasine LesAutorités nu Collège ont re- | tal aux autres, ef vous pouvez pue. | à Roussillon, 2 mars, 13 avril: Ë 
une sf'habit de, D 1 eur node Len de M, l'abbé A. Murray, chan. | plier‘ mon témoignage, Mme He-"| 5 Chic si 17 re 
lait, "Mon ieur D An us on eelier de larehevèché. de :Régina, | Jen Balanor, Fusilier, Saxk, Ë ienxo, nil" 17 soût ‘ Ë 
de sa belle Vois Un muvou, Le don d'une magnifique collection |, Souvent une légère: indisposition |, = gi Ten Hieñ. “à 
chant, ef Thérése MeLeod ne pe “le Cartes Murales et Tableaux LL | dérange tout le.système. Les sympe |! à d'E rie à fatifas È 
tie de 8 ous déchnae De [lustrés des scènes les plus impor. | 06 tels que Ia nervosité, périp | Scrrone à Malfax Ë 
Me à Ans. ROUS del RE | La ltuntes ct des lails- d'armes les plus | S douloureuses, irrégularité, maux | E Agents lneaux à P-Albert, È 
I tre Quel naturel ? avec | héréiqnes de l'histoire du Canad de dos et de tête, sont l'indice de | & Gérant à 
une distineli te te "ot d'ar | $ san, | È E 
M eue CE larti- particulièrement de l'époque tran: { faiblesse féminine, . Ë W. A. FOURNIER £ 
culation parfaite, © Une scène co- aise, i Les femnies ainsi atteintes de- | Ë A8 rue Main : : Winuniper © 
mique. donnée: Dar M, Adrien Ane- AUX uénéreux bienfaiteurs men. vrajent -essayver le: omposé Végétal Ê ‘ tenu RIDER & 
til el accompagnée par Moutsientr tionnés” dans” celle chronique, le | 4e Tdia E "Piukham, qui en à &ou- En NE 


Carson amusa tout le monde. C'é. 
il de Pimprovisation. Done ne 
‘demandez pas an clroniqueurs 4e 
vous analyser le sujet, : 

À a fin Monsieur le Maire re. 
Merci tout fe monde pour le dé- 
Vouement et la générosité montrés 
en celle cirronitance, il n ‘oublia 
qu'un keul dévoüement, le sion, 
heureusement qu'il fut releve par 


notre Curé, Monsieur, Colleayx 
fut l'encantenr comme toujours, 
C'est ant professionnel. Midanre 


Collcaux donna un superbe chan. 
dail. qui fut gagné par Monsienr 
Napoléon Be; iine, le chancogx tit 
Baptème: Jean” Joseph Leur. 
rent fils de. Be uiamiir Chénier, jr., 
à de BlanchesAlice Éhartrand, 
Pans les honneurs! les orand’ pa 
ent malernelst LAS Chartranel 
Aléxin Legault, 


eee Ed DER 


GRAVELBOURG, Sask. 
CHRONIQUE DU 


ef 


DU COLLEGE 


À Poceasion de ET Visite au Col. 
le, So (Gi Monseigneur LIL Peur 
dhonune ñ donné aux élôves, en 
présenr e de Tours professerrs, une 


. 


D names ee me me pe Lt 


d'Histoire 


on LU ps normal ont-Pun pour Pau- 
ire peu affinité, semblent s'être 
rapprachés à Consort,: approrhe- 
ent heureusement el uniquement 
extéricur, Au roz-(le-r Paussée, © est 
ke négoce. et de te vre à Lerpe des ini 
térèts te mporelss à Pétage sn périeur 
c'est le spirituel et ses envolées su- 
blinies: religion el commerce  a- 
brités sous" le même fôit se pré. 
tant pour une lois un gracieux eon- 
cours, 1 


mme 


L'éalise St André 


! 
| 


Donc, la question d'une. | éutise 
devenait de plus ‘en plus urgente. 


les Messieurs Loes- Monseigneur achels bien six Jols de 


terrain, Hier les gens oùt gti éprot- 
vês var bi sécheresse “el li gelée. 
Que faire ? Par bonheuf, en jan- 
viev-19{4, Le {Leconte est'chargé | 
Lei pro- 
fite pour visiler, à son passage à 
Pore Burke, alors 
Fa “Church Esten- 
sion”, le bicfaiteur de son église 
, falkirk. Saas doute le’ mission- 
Luuire était doublé d'un excellent di- 
vlom: fe, et d'un avocat persuusif, 

car, “quelques sumaints Après s0n 
rütour dass l'Ouest, Le RP. Burke | 
lui transmetait tn chèque de KA. | 
pour l'érection dé Péglise, de Con. 
sort, qui devait porter {e-hom du 
St André, On devine que le P, 

Leconte ñe perdit pas de’ temps.’ 1! 
Visite chaque famille catholique et 
| bientôt I a ep main une somme de 
1S1100,00, suffisante pour la cons. 

truction de l'exléricur de église, 

Les  senmuilles “achevée, 
vinrent-creuser fa cave Maire les 
fondalions, M. dos. L eslie fut Pen- 
trepreñour, el, ou mois betobre, 


Toronto, le Rev, 


l 


A 


les gens | 


lagé des milliers d'autres Vaus. 


personnel du Collège présente ses 
Douvez donc compter qu'il vous sou 


sincèr es lemercicments. 


. v , Tott Û 
Comme‘par les années passées, nt De rome Votre Pharmacien 
les professeurs du collège ont tous ! 
té aider les  Curés des pa | eee 
roisses avoisinantes dans les trie En bo 
Vaux (ministère à l'époque de nne santé et fort main 
Noël et des. fûtes, tenant 


Depuis le rècout agr uni ssement 
au Collège, des chatibres spaciotr- 
ses ét confortables sont à fa dis 


PT y a six aps mar sanlé était us 
un tel état qu' n'était imposible 


position dés Membres du Clopué del du travailler", écrit M, Kit Klatt 
passage, ayelbours ÉHTTN que Se. de Strasbourg, Sask. “J'avais . 
lomais, les directeurs der Coltège dépensé bonncoup d’ argent en doc: 


teurs mais its ne savaient pas quel, 
était: mon mal. de me se ntais lati 
:aué et faible el min force avait dise 
paru. Je" me, suis procuré une 
bouteille de Novoro du Dr: Pivrre 
et continuni l'emploi de ce remé: 
de, “fe suis maintenant Un autre 
homme, en boutic gninté ot fort.” 
Chaque bouteille de ectte médecine 
végétale bien connue contient dé a 
santé et de In force Ce n'ést pas 
un article de commeree, il'est di. 
reetement lourni pur fe faboratoire 
du De Peter Fahenex : and Suns Co 
Chicago, VIE 

Livré to exe pl de don 


eur souhaitent à tous lt plus cor- 
didle bienveruu, 


LC: een 


LAFLECHE, Sask. 


1.” Assemblée annuel des QUE 
Wihuables du Pécole séparée “Mure 
thien” à eu Heu le F de ce mois. 
Les religiouses qui dirigent cet 
école ant été vivement féticitées 
vour le bon enseignement qu'uttes 
donnent aus enfants, 

M Henri Regimbal sèté din com 
uissaire en renphaceent do M, 
X. Boilenu, démissionnaire et M 

au} Bourx en place de M, Alph, 
Beautien sortant de charge, Avec 
M, ont la commission sco- 
aire de Lafléche sera encore cel. 
le année composée de bons ot dé 
vaucs" patrioles @t nul doute qu'ils 
sauront faire du bon travail. 
L'élection des marguilliers de la 
paroisse a eu lieu le jour des Rois 
et MAL T0, Neil et Ernest Cotpron 
sortant de eharge ont êlé réèlus par 
acelamalion. 


LION Cnnacta, | 


COLLEGE D'EDMONTON 


dirigé per V8 
Pères Jésuites 
et agrégé'& l'Université Laval 


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“grés de bachelier et donnant ec. 


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M.T.C. Davis, avocat 
de ‘Prince-Albert, 


annoncer qu'il a ouvert 


cours Classique et Commercial, 
Adrosse: Rév. Père RECTEUR 
Collèes des Jésuites, 


Edmonton a Alta. 


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une. succursale de son 
étude légale dans le villa- 


ge de Duck Lake, dans 


l'ancien bureau de Hill. 
yard Mitchell. M. Davis 


sera à Duck Lake tous les 


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samedis. 


SE TTETEEETETTOUTT 


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Méfiez-vous des contre fa- 
cons!" 


les 


sans Ja visite constante du. 


L 


‘ à l'automne. . 


l'église actuelle bien située &ur les 

flincs de A) colline vi proche. de [A j À pioins que Vous He VON iez le vez? 

station dminail le. jet Xilage ne de Bayer on croix sur le je l 

CS huñes CAT 72 uPCR Ext cl ( les Jastilles vous n'obte- |! : 
sion” voulurent bien celle fois en lier pas les véritables ; uspirines fin-4 rendons aux laitiers, 
core pourvoir. aux nécessités, du! ver reeonpues sûres par des quil! 

Lutte. L'église fut bénite c de lions et prescriles-pas Jes médecins || 

confirmation administrée par, Sal Gepuis plus de vingt-trois ans con- 

Grandeur Mgr Legal. acompagné tre || o 
| du Rév. Père Leduc. Ce: Put la . 1] 

dernière tournée du vénérabie Rhuunes Maux de CCORRE E 

‘uiésiohnaire, qui M ay Etat fait | Moux de dents': -Lanbrage ji 

ur mat ls eng ate ans de son Nepbrite ‘ lhumatisme |} 

apostolat dans ucét, ‘Gt qui et aa lurt “” pre 

rappelait, ce’ jour-là, avec tant de Névrulgie Douleurs | 

charme, certaines aventures pi- Macceptez.que les “Pastilles d’As- |! 


quantes,'. Les jalirmnités : le eon- 
Jaaninaient dés Jurs 4 ‘une eruelle 
itiaction, et un an plus ‘tà d,. au inè- 
five date, sil allait recevoir fa récom- 
pense de son zèle, Ftaicnt gas lement 
présents le Hév. Pére Vbisin, su- 
périeur du’ district, Les. PP, Lecan- 
te, Morireux. et Robveille de .Cas- 
don. . 

Au mois de: hov embr be suivant, 
Pintérieur de l’éolise était aéhevé, 
tribune agrandie, et atioulhui? 
L'église. St André ‘de. Consort est 
ane -des plus belles ‘de Ja. résion. 
P'assistnneé-anx offices est édifian- 
te." Bientôt le jour viefñdra: of ‘la 
mission augmentée un, brespvté- 


‘suivignns leur mode dé développe: re HUE “AXOÏT som. prêtre rési- 
anti 


ment des. ét: ‘pes analogies, Coñsor 


Chaque paquet = 


piviue de Baser”, 
un mode 


HOÿ) - décacheté contient 


| 

Pemploi éprouvé. Les boîtes facile | ee SEEN ENTER, na 
d'emploi èp &, Le + facile. ? 
mont mmanabtes de, douze pastilles | T A Ur ne DT " DE D AS ‘ 
ue coûtent ‘que quelques cents." Les se ef , 1 A 
pharmaciens on sendent aussi des ! LA MAISON AVEC $ PRVIGE POSTAT, DE LA SASKATCHEWAN ;Ê 
bouteilles de et der ° Quartiers-généraux des robes de l'Ouest . le 
Aspirine cst la uarque de fbri-: TANCŒUR. ET MANUPFACTURIER. GENERAL LT " 
que (enregisirée au Canada) de Li ë 


À manufactur e de Monu-accticacidese 
ter de ‘salicacide de Bayer, Quoi- 
-qu'il soit bien reconnu que le mot | 
Aspirine signifie produit de Bayer, 
afin de protëger le public contre les 
contrefaçons, Nous : Étaniperons sur 
les tableites de. fx dompagnie Bugey 
ri marque générale de fabrique, le 

ju de Bayer. en: croix, =, 


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il vous arrive régulièrement, une semäine après l'autre, 
aidant à payer les comptes, à couvrir Îes frais des dé: 
penses extraordinaires, et cela quand Jes emplètes ordi- :|| 
naires ont déjà employé tout l' argent de la vente du blé. |} 


L'industrie laitière met le cultivateur sur le che- 
min de la prospérité. Est-ce ce chemin-là que voûs sui-' 
Si oui, envoyez-nous vos bidons de crème, et’ap-. 
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Sacré-Coeur, Prud'hômme, 
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Désirez VOUS donner À vos enfants 
ine éducation soignée, uu cours d'é- 
' tiler tel que deniandé par la ro- 
vince de ln Saskutchewan?. Adtes- 
iSC4-VOUS aux religicuses ce Ia Pro- 
‘vidence, 
Outre le frauçars qui reçoit une 


atfention foute particulière. dans 
les classes, on enseigne 1r' musique, 
le dessin.et les travanx à : Y'aigulle 
de tous kenres,! 

Les jeunes fillen désireuses de. ñe 
livrer ‘4 la carrière de, l'enscigne- 
‘ment rouveront dans cette institi- 
tion éntière fheilité nonr ,sg prépe- 
‘rer aux différents diplômes requis. 


if n 


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"À fout âge; les fnrcons #ônt acceptés 
usqu'à lei trtfzième année: : 
Pour plus #mpler renéelgnements, 


A.cct cffet; elles sont done.edmises | 


er 
CE] 


i adresser à” Révérende Mère Süpé- | 


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chèque de ctême”? 


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pin nt . ss RE: us Ÿ : de e Es RÉvIITe 


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&tou is les étouflements, 
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MONTMARTRE, Sacs. 


— La journée du “Patriote” à 
Montmartre eut lieu le 4 janvier: 
elle a remporté un: vif succés ct se 
termina par uhe belle -soirée de 
cartes au soubissement de Péglise, 
La fête éluit organisée par Îc co- 
niité de LA C, É. GC sous la direc- 
Hon de M..labbe Arès. ; 

Un magnifique programme, de 
chant et musique a aussi éfé exé- 
cutë avec SuCeLs: et vers la fin de 
la soirée, M. l'abbé Arès'en des 
phrases -souvent couvertes d’an- 
plaudissements, parla à“Pauditoi. 
re de l'oeuvre de la Bonne Presse, 
Les prix pour les cartes furent 
donnés par Mlle Mix Goupat. Mme 
Jos, Charretier, M, Lud. Lévesque, 
Rév. A. Thériault, et A. T. Breton, 
Les tirages des divers objets étaient 
en charge du Comité avec laide 
de MBes Ecarnot, L, Faubert, 1. La- 
voie, 
Le prix d’uñ abonnement à vie au 
“Patrioté” a été gagné par M. Em, 
Breton. M. AT. Breton qui diri- 
gea cette soirée avec tout le tact 
qu'on lui connait remercia: l'audi- 
toire et termina par Île chant de. 
#0 Canada” cette belle soirée dont 
les recettes dépassent de beaucoup 
$200, et démontre que Montmartre | & 
figurera avec honneur dans l’oeu- 
vre de la Bonne Presse, 


M. P, Sauvé a été élu à l’unan- 


| 
| 


nimité syndie de Ia, paroisse en 


remplacement de M E.. Coupal sor- 
tant de charge. 

De passage: 
M. Jules 
Man, en. voyage d'affaires chez M. 

AT, Breton 
Mr. Potvin de Ponteix chez 
son frère, M, P. Potvin. 


—-Le train du Can, Nat, allant à 
Pouest passe maintenant à 8hrs du 
matin au lieu de 9 hrs, 

—À l'assemblée annuelle des con- 
tribuables de. PEcole, M.-J, Bte Fer- 

raton a été élu Commissaire d'Eco- 
ie pour lc district de Montmartre 
‘en remplacement de M. Wii, Cou- 
pal dont le terme était expiré, 

À la mème assemblée les contri- 
buables passèrent une résolution 
nommant le Rév. A. Thériault, A- 
T. Breton et A. J. Boyer, comme 
comité de vigilance pour voir à 
l’enscignement du français à Pé- 
cole. L'assemblée a aussi APprou- 
vé. l'envoi d'un délégué à Ja con- 
vention, 

— Un joli mariage a été célébré 
le 7 courant: M. Thomas Rivard 
conduisait à lautel Mlle Yvonne 
Beaulieu, fille de M, Ernest'Beau- 
lieu, La bénédiction nuptiale a été 
donnée pas M. le Curé Thériault 
en présence d” une foule de parents 
et amis, Le choeur de chant a aus- 
si exécuté avec succès des canti- 
ques appropriés, Mile L. Baudin 
avait charge de la partie musicale. 
M. Ernest Beaulieu et Jos. Duhamel 
agissaient_comine fémoins, Après 
un déjeuner servi chez de pére de 
la mariée et le souper chez M. Jos. ! 
Duhamel, les heureux époux sont 
partis pour un voyage avec sont | 
moilleurs vocux de bonheur, A! 
leur retour, ils résideront à Mont- | 
“marire. 


d 


BB ———— 


ST-VICTOR, Sask. | 
La belle fête de Noël a été cèlé- | 


brée avec une grande solennité à 
Saint-Victor, Les paroissiens sé-: 
taient donné la main pour décorer 
l'église avec goût, T1 y a eu plus de 
cent vingt cinq comimunions, Voi- } 
à un beau geste qui réjouit Île 
coeur de Dieu et honore les parois- 
siens. Les Dames de Ste-Anne et 
la Ligue du Sacré-Coeur ont donné 
un bel exemple d'unité. 

Nos beaux cantiques tradition-} 
nels furent très bien chantés, par 


le choeur de chant: M. Ile direc-! 
teur, M. Beauvilliers et tous les 
membres méritent des remcreic- 


ments et des félicitations. 

—Nous sommes heureux d’ageueil- |‘ 
he parmi nous, M. Liguori Pépin, 
qui vient ‘de prendre dir ection de | 
lPécolc Montagne Lake, “M. Pépin 
est originaire de St-Wenceslas (Ni- 
colet)}; il a fait ses études classi:! 
ques au Séminaire de Nicolct et 
ses études pédagogiques à l'Ecole 
normale de Montréal, De plus, 
nous venons d'apprendre que le 
Département d'Education va lui ac- 
corder: incessamment son diplome 
permanent, Nos plus sincères fèti.| 
citations et nos meilleurs voeux de 
succès à ce jeune instituteur _dé-} 
voué. 

Naissanece:— Le 30 novembre ce, xl 
et Mme Paul Campagne, une fille! 
baptisée sous les prenoms de Ma- 
rié Viola: Le parrain et là mar- 
raine ont été M, Pierre Campagne 
et Mie Bart de France, représen- 
tés par M, Lionel et Mlle Béatrice 
Bélisle, de Saint-Victor. 

- Mariage:— Mercrédi dernier, le! 

janvier, \L Dosithée Lalonde, N. 
P. conduisait à l'autel Mie Bertha 


Préfontaine, de Jocville. Nous of- 
frons, aux uouvenux époux nos 
| voéux de bonheur, 

COURVAi, Sask. 


; 


Depuis les premiers jours de cé- | 
cembre Îes tempêtes se succédent ! 
ici, Le froid ele vent sont inten- 
ses. Les cérémonies de Noël à 


4St-Charles n’ont pas. été cette. an- 


uée aussi solennelles que pur le 
passé vu que Péglise n'est pas ter- 
minée, mais il n'en n’est pas moins 
vrai qu'elles avaient pour tous les 
assistants un câchet particulier de 
piété et de recucillement, M. Pab- 
bé Thibeault officia. 

-M, Gérard Béauregard, étèr à du 
collège de Gravethourg et M. kuu- 
de Pépin, de Moose. Jaw ont DE | 
les vacances dans Jeurs familles, 
leur famille pour la vacance, 

Mile À, Bélanger, notre ins- 
titutrice est partie pour. Lévis où! 
elle Li jSCrA Ses vacances, - 

M, Alfred Ke Hilaire est à Vic- 
.Qué.. depuis. ‘quelques 
jours, en visite chez sa mère, 

— M Wilbrod  TFremblav 


‘ou- 


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Les Centr tres Franco Canadier ens 


SERVICE Soecrat: pu PAÏRIOTE DE L'OUEST 


K Frass et Louis Duhamel. | 


Deschène, de Dunrea,| 


| triste occasion, 


ichez leur père M. Emile Richard. 


RS 


FE. 


WILLOW BUNCH à. Bret, 


Mariayès : k 

Le 30- déc. sunissaient dans les 
iéns sacrés du mariage, ‘M. Wilfrid 
Audeite d’Assiniboin-avec Mlle Al- 
bertine Roy de Willow Bünch et 
M. Albert Desautels avec Mlle Ber- 
tha-Ayotte, tous ‘doux de” celte pa- 
roisse, 
Naissances 


3 janvier, M et Me J, Duper- 
reauit, un fils, leur 1%émc enfant, 


“baptisé s sous Jes noms de Joseph- 
Maurice, Maveel. Parrain et mar- 
raine: M. et Mme E. Boucher. 


G janvier. Soirée du ‘“Patrivte” 

M le Curé de Willow Bunch, sa- 
tisfait du résultat déjà obtenu le 
8 déc. mais désirant faire encore 
plus pour aider le “Patriote” or- 
ganisa une autre soiréc Île jour des 
Rois. Malgré l’inglémence de la 
tempéri iture, la salle était pleine. 
Les paroissiens de ‘Willow Bunch 
par leur assistance et leur généreu- 
se contribution ont montré encore 
une fois de plus qu'ils avaient ‘à 
coeur de soutenir cette oeuvre Da- 
tionale et réellement vitale qu'est 
le “Patriote de l'Ouest”. 


TE le Curé de Willow : Bunch ; 


allé assister aux funérailles de 


Mur Gaire, P.D, curé de Wauchope, | 5 


M, l'abbé A. Ouellette, profes- 
seur au collège Mathieu de Gravel- 


bourg, est venu passer ses vacan-|f 


ces au presbytère , de Willow 
Bunch, 


“8: 


RICHARD, Sask. 


__Nous sommes au regret an- 
noncer la mort de Mme Honoré Bi- 
cotte survenuc le 27 décembre «- 
près une maladie de quelques mois. 
Son service et sa sé ulture eurent 
lieu le 30 au milieu d’un bon nom- 


ee È 


bre de parents et d'amis, M. l'abbé |$ 
Belleau officiait. Outre son époux} 
elle laisse neuf enfants de san pre-|f 


mier mariage avec feu Thomas 
Bérubé, Ce sont Wictor, de St- 
Pamphile, Qué, Mde P. Labrecque 
(Henriette) de Richard, Sas, Mme 
À. Sévigny (Marie) de New-Bed- 
ford, Mass, Mme Arthur Taillefer, 


(Victoria) de Domrémy, Sask., Sr. ik 


St. Thomas de Villeneuve (Mavie- 
Anne) des Srs Ste-Croix, Montréal, 
Joseph cet Antoinette de New-Bed- 
ford, Mass, Thomas, de Bangor, 
Maine; Adélard, de Domrémy. Ua 
frère, Joseph Bélanger de la rivié- 
re Ouclle, Qué. Une soeur religicu- 
se du Bon Pasteur, Montréal, ain- 
si que plusieurs beaux-frères et 
belles-soeurs, La famille rémer- 
cie tous ceux qui leur ont témoi- 
gné quelques 


Naissance: ‘ 
À M, et Mine P, Labrecque est 
né un fils le 28 déc. Baptisé par 
M. l'abbé Belleau sous les noms de 
Joseph Alphonse. Parrain, Adé- 
lard Bérubé; marraine, Mme Ar- 
thur Tailleter, oncle et tante de 
l'enfant. : 
V'isiles: - 
Mlles Bibiane ét Yvette Richard 
n visile pour les vacances de 1 oël 


4 


e 


Mine Grosjean, de Delmas, chez 
ses nombreuses amies de Richard, 

Mme Arthur Taillefer de Domré- 
y passe une quinzaine chez sa 
soeur Mde Labrecque, 

--- Gérard Labrecque, étudiant ati 
Collège de Gravelbourg est retour- 
né après, les vaances. tandis que 
Ernest Beaulne, Sfétudiant au mème 
Collèse.'est retenu chez lui par Ja 
maladie, 

AIR Sylvestre Cyr et son frère 
en visite ‘chez M. Philippe Cyr, 
leur frère, pour Noël, 


————— , se: — 
ALBERTVILLE, Sask. 


—La messe de Minuit fut célé- 
: brée avec beaucoup déc at. Pres- 
que, toute la paroisse s’approchu de 

l'able Sainte, 

4, ce dimanche précédent les ac- 
teurs de White Star venaient nous 
répéter leur séance qu'ils avaient 
jouée ehéz eux precédemment, La 
Salle était remplie pour les applau- 
dir. hs surent nous atiendrir par 
leur pièce tragique et nous faire 
beaucoup rire par leurs comédies. 
Ïs mér itent des félicitations et pour 
leur succès et leur courage à Dra- 
ver Ja distance et le froid à pareil 
temps de FPannée. A, eux donc un 
merci sincère. . 

—L'année qui s'ouvre icliu dans 
le deuil nos familles Pellerin par 
Ja mort subite de leur frère bien- 
ajué ‘Stanislas, ‘Vendredi le 2? 


a- 
près-midi 3 alla se reposer vers les 
trois heures ct comme on alla pour 
le réveiller une heure ou deux après 


on constata sa mort, AM. Pellerin 
avait estime’ de tous.  Pavlait 
chrétien, ligueur modèle, sans bruit, 
toujours souriant, ct sans, déranger 
hersonne, on peut dire qu'il est par- 
ti de la même façon, Ses funérail- 
les eurent. lieu le Inndi suivant, 
Toutes nos ‘sympathies et condolé- 
ances À ses. vieux parents qui vi- 
vent encore dans Québec et à tous 
les membresgde da famille, 

-\M, Babineau, de Duck Lake, est 


un visite chez ses nurents accompa- 


sné de ses trois filles Miles Aurore, fi 


Blanche et-Trène. Mme Pfeiffer et sa 
socur sont. allées passer Ie temps des 
fêtes à PBelleviie chez leurs parents, 
6 L 
jor unissait'sa destinée à Mie Rose 
Gilaghan. M le curé officiait. Les 
témoins, étaient Mme LL. Lavoic ut 
M, 1. Türcotte, beau-frère du inarié 
chez qui ils étaicht en visite. 
tt Mme, 


Baptèmes :—M. Arthur 


Maver, un fils, baptisé sous le nom }} 
ide “Jaseph Clovis.Louis. | 


Parrain et 
murale M. ct t. Mine Ls. Chapdelai- 
ne, 


M et Mme Arthur Quésnel, un fils, l 
Joseph Ge- {| 


sous le-nom de Pierre : 
vard, Parrain et-marraine, 
Leblanc et Claudia: Leblanc. 

Met Miné Carrier, 


le non de’ Toseph Henri 


3 st" 
n . 


NS in 


sympathies à cettc{[i 


25. décembre, M. Anatole Ma- || 


Pierre 8 


un fils, sôus|£ 
Albert, | ï 
| Parraih et marraine, .] M. et Mme A! 
P'vrira sous peu -un étal de boucher, "E, Chapdelaine, Se 


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. l'abbé: Morneau, Shell River: 


T r'Oix + autres" Bienfaiteurs 


; Mont. 
urira. Ù 


2% 


Pénible: métier que celui du 
journaliste 


paux franchement eutholiques et 
indépendants, ont une mission bien 
difficile à rémplir, . 

Au service.de Ht-vérité et'de a 
patrie seules, sans atlache à aucune 
coterie, à aucun clan, ‘aucun indi- 
vidu, ils doivent quand mème ess 
ver de plaire à tontes les classes de 
a population, à tous les partis. 

Plus est étendu le pays que ce 
journal dessert} plus grandes aussi 
sont Îles difficultés; elles croissent 
en mesure même des distances, des 
cunditions de vie, de «l'atmosphère 
régionale. | 


Les Bienfaiteurs, du “‘Patrio- 


Pr ud'homme 


savaient que la vérité el ta jus 


h récuinpenser léurs cfforts. 


plus qu'ils n ‘aiment 


1 

| te” lie sont imiortelles, et s'ils n'ai- 

PR tuaicnt le bic 

| Au livre do où le “Palriote"” ius-| leur repos, leur intérêt, leur popu- 
crit ses abonnés à vie, figurent les larité, plus qu'ils -ne 


s'aiment eux- 
ménies, , 


| Hs. batailitnt dur pour loutes les 
«uses bonnes; ils donnent le coup 


d'épaule à toutes les initiatives Jou- 


«bles; ils poussent vers le succès 


Mgr Brodeur, P.A. V.G. loutes- les” entr cpriscé généreuses, 
M, l'abbé M: Desmarais: | mais rarement, un merci qui vien- 
M, l'abbé ‘Carpentier, St- Luis; 

" IL" .Coutu,, Gr avelbourg; STS ne tombent pas à bras rac- 


courcis sur Îles libéraux, les con- 


servateurs murmurent:s s'ils ne brû- 
" P, Langlois, Tecumseh, Ont; lent.pas assez d' ° sis ne brû 
k ent-pas assez d'encens à l'autel des 
\. Philippe. Mondor, Willow rouges, Ceux-ci les traitent le bleus. 
xunch: ° Si, ne jugeant les partis politiques 
. l'abbé l'ortivr, Willow Bunch: qu'au mérite, ils ne prennent ni 
Achille Chabot, Lac Pelletier; {pour les uns ni pour, les autres, Les 
À Alphonse, Chabot, Luc Pelle” partisans de toutes couleurs iéur 
lier: . font la guerre, à 
M. Osiais Drctes, Vallée, Ste-Clai-|; 
re: , : Leur journal se prononec-tit con- 
a“ k 
h . re "ce : 
Quatre amis du “Patriote” Lac tre fa brohibition, on le censure; 
Pelletier; . parie-t-it en sa faveur, on r'accabte 
M. le ss Pr ul homme, Sl-Boni- de, critiques. Ms en a un, peu 
lièe. Fo s , partout, qui, parce qu'ils s ‘abonnent 
rt. à un journal, le cons , . 
M. En iuCLE Breton, Mont- l S ee Klérent comme 
marre: Le organe salarié de leurs rancunes, 
ot le, venge igé du 
M. Phitippe. Pérrèn;; Mont: ñr- ur obligé des Lorts que 
re: is autres peuvent avoir à leur égard. 


" Pénible métier souvent que celui 
du journaliste con$ciencieux, 
relâche à rendre service à ceux-iñ 
même ‘qui apprécient le moins ses 
sacrilices. ‘ 


Notre journal est l'ame de notre 


Les rédacteurs ‘du “Palriote”,{survivance, fait un bien dont on. 
comme d'ailleurs de tous les jour-, ne ‘hiesurema peut-dtre jamais, lé 


tendue; il exerce une influence su- 
périeure à celle qu'on veut bien lui 
reconnaitre, C'en est assez pour 


qu'il se tienne debout dans Ja lut-' 


te, et qu'il allume une flamme inex- 
Uinguible uu cocur de ses rédac- 
leurs. 
a 
C1 : 
L'oeuvre fondamentale 


—“.. Eh! bien, c'est un fait qu'au- 
“jourd'hui, le peuple chrétien est 
“trompé, empoisonné, perdu par 
“les. journaux  impies, En vain 
“vous bâtiriez des églises, vous pré- 


Sans: 


f 


Au 


un aspect Lout particulier. 


hâte que ‘ça commence. 


‘ Jennité dans la ‘voix: 
qui s'ouvre soit meilleure. 


+ 


“Patriote” 


lent. : dé 
‘ sù 
© Dans le “Patriote”, 


OPTION LULU Haut DUREE 


NOTRE MOT 


Le “PATRIOTE” a aux mains de 
nos enfants 


lendemain des vâcances de Noël, le pays presente 
Les wagons de chemins de fer 
regorgent d'étudiants; traîneaux et automobiles chargés d'en- 
fants nombreux se pressent à la porte des écoles Le 
petits ! même, gavés de sucreries, de gâteaux et de loisirs avaient 


SORA TOMATE, CERTES L RTE EURE EL EU 


D'ORDRE 


s plus 


C'est une grande chose, un véritable événement, dans la 
famille et la paroisse, qué la reprise des classes. Lo 

Aux plus âgés, les parents disent avec une certaine so- 
“Mes enfants, il faut 


que d'année 


Profitez bien de l’enseignement 
de vos maîtres, surtout de leurs sages conseils, afin d'être plus 
tard des hommes et des femmes dont nous serons fiers." 
aux bambins qui quittent pour la première fois’ le toit pater- 
nel, la maman, avec une larme au coin de l'oeil, 
déchirement au coeur, ajoute: 
être instruits, à votre tour.” 

D'ores et déjà l’institutrice dépose en ces âmes ardentes, 
toutes neuves, la moisson de demain. 

5" il y a, Dieu merci, un certain nombre de nos écoles où 
l'on s'occupe de former en nos enfants des intelligences et 
des volontés bien catholiques et bien françaises, il en est par 
malheur beaucoup trop, où l'on ne leur parlera jamais de leur 
langue qu'il faut aimer, de la foi des anciens, de la dignité de 
nos pères, de Dieu qui nous donna tout cela, afin que nous 
bâtissions par toute l'Amérique, une cité de civilisation chré: 
tienne, d'ordre, de fécondité, de paix. ’ 

Pourquoi, à leurs heures de loisir au pensionnat ou Îe 
soir au foyer, ne pas leur mettre entre les mains les pages du 
Tous les enfants peuvent y lire sans se cacher de 
Ja surveillance des maîtres ou des parents. 
le sérieux des responsabilités de la vie se développent très vi 
te, plus vite que l'on ne croit, au moment où les âmes s'éveil- 


Et 


et comme ul: 
“Allons, mes petits; il. faut 


Le sens national, 


Jes petits et les grands n ‘apprendront 
jamais que les belles lecons: le respect de soi-même, la chari- 
té fraternelle, les splendeurs de l'apostolat, la gloire du passé, 
les raisons de nos éspérances, l'histoire merveilleuse de notre 
race, les grands modèles, les grands devoirs, les grandes ver- 


“chez 


“détruits, si vous ne saviez pas 
“manior en piété tonps l'ame .dé: 
“fensive el offensive de la presse, 
“catholique, Tovale et sincère" 


NS. S. PRG audience partioulitre 
at Directeur de “Aa Croid de Li: 
mouvs”, 1907, 

nu suves conan PP Poisson ce sup 


Le journal qü'il vous. faut 


Si du journal, est la grande coule 
où le peuple arhôéve son éducation, 
on comprend que l'Eglise S'alnene 
et qu'elle cherche à suseiler des or- 
sunes plus Fermes au point de vue 
des principes, d'une tenue plus di- 


ane el plus franchement chrétien 
be, Avec utic insistance ol une 6: 


nergie qui ne l'ont que grandir, elle 
reconinande conie reméde In fon- 
dution et legtretien de fournaux 
nellumenl catholiques, 
Son d'ordre n 

Aujourd'hui 
est jétonné de journaux enfholi 
ques, depuis Les côtes de FAeadie 
jusqu'aus plaines de FAlberla, Mais 
nelre  pouple n'a pas encore saisi 
le dôle de Br presse: catholique et 
SON fmportuines capitale, C'est ue 
ne lacune regrettable dans su for. 
mation cl qu'il s'agit de combler, 
Ca le jour où il aura compris la 
nécessité, au point de vue religious 
cl national d'une presse propre, 
honnéles et erânenient chrétienne: 
du jour où il cessera de regarder 
le journal conune un simple res 
cueil d'annonces el de potins, a 
lors, ce peuple qui ouvre si {neilee 
tent st bourse aux ovuvres de cute 
Le, d'édueation et de charité, n'hé 
Silera pas à remplir envers la prese 
se catholique uu-devoir qui vst con- 
sidéré conne de plus grave de 
l'heure tetuelle, 


cie 
Le 


.mot 
nous, 


entendu 
Canada 


+ mn 2 es 


DR - 
Vous avez l'âme que vous fai 
votre journal 


La génération actuelle 4 un vor-i 
veau de papier: elle ne prend ni la 
veine ui le temps de réfléchie pur 
ctle-méme, elle pense et pagle come 
me le journal |. 

sus 
de senti el mème d'aimer, Hi vien 


manières de voir, de juger i 


paré, tout assaisonné au goût du 
jour, facile à s'assimiter, et que lon 
vapérienee, 
Mithri- 


longue 
he 


absorbe, après 
inpuñément, conne 


date | 


let 


L 

Pour comble de séduetion, on le 
lui sèrt, non COIRC UN, pal oblinn- 
Loire, ti dis eomme noms délicieux 
qui se nisse avaler fout seul si on 
veut bien ui faire cel honneur, 
Pour les moins, affamés, on se con- 
lente d'en réjouir Pocil par une dis- 
position savante des eounlenrs, des 
mots el des titres affriolanis. 


Lofsque le papier 
maius propres, à lt 


a passé par'des 
bonne honte! 
Mais quad ion été tripoté par 

des mains saules, quel corruplenr 
subit, d'autant plus adroit qu'il pa- 
eait plus inoffensif. Cur le journal, 
ne fait que suggérer il ne s'impose 
junais, 

journal se 

tout savoirs 


Bons on nintvuis, le 
joue de notre avidité de 
de out interpréter, de tout juger 
Cest lui, aujourd'hui, plus qu'mr- 
lrefois Be erainte des Hicleurs où le 
louct des janissaires, qui gagne Les 
faveurs des foules diles d'hontmes 
libres, : 

C'est que, dans ve tôleaitète le 
plus intime de lous, Le lectéur, lui 
ivre sans méfiance son intelligen- 
ce, son cocur, sa volonté, 


Le journal est un pétrisseur d'a- 
mess dé matitre prentiège varic so- 
lon a valeur morale de ses prinei 
pes, de ses idéalé. 


le bon journal De 
ste et aite pour sauver l'intolli- 
sunce française des ravages de In 
mauvaise press Mais s'inquiète. 
où de lul assurer son avenir? Que 
failcon pour soutenir ses chefs, ses 
ateliers, pour alimenter ses sour- 
ces de survie Nous savons udini: 
rablement Br charité des eorps el 
hos oeuvres indigènes en 6e poil 
alirent l'admiration de l'étranger 
mais, quand niis quaud apprene 
drons-nous 4 sauvegarder, par les 
Secrets de Bi eharité intellectuelle 
nos plis riches qualités nationales, 
lomesure dans He poûl, fu droijure 
du En pensée, el fx hauteur de line 


EL ecpendant, 


22 


fl û 


“L'avez-v0uns cru que. celle vie fut 
lu-vie ?”’ 
LACORDAIRE, 


Muis devant elle, 
ni gène, ni cnbarras: 


ic ‘n’éprouvais 
‘Au contrai- 
cafnic el si pur 
répandait ‘dans môn coeur je ne 
sais quelle délicicuse sérénité, 

Qui, je suis beurcuse d'avoir “été 
li. J'en ai emorté “une force, une 
lumière, un parfum, j'espère Y tt 
voir compris le büt dé la vie.’ Dans 
cette chère église, “dev ant la croix 
sanglante qui domine le tabernacle, 
pal accepté ma vice: telle qu'elle ést, 
jai promis d’accoinplir . le grand 
vonmmandement ‘de Pamour: 0 
eber asile de, la prière ‘et della paix! 


ocuvre, et l'on sent Ja téistesse par- 
tout. 
fonde s’y. mêle. | 

Et pourquoi, duns mon caline fu- 
nèbre, n'aurais-jc pas aussi de la 
sérénité, ‘ 

Je me disais cela, ct, la tête ca- 
chée dans mes mains, je pensais 
à cet adieu qu’il faut finir par dire 
à tout—à ce grand . et languissant : 
adieu comme parle saint François 


de Sales.  -" — 


-Puisqu’il faut 


re, son regard si 


mourir, -ce sont; 
les heureux qu ‘il faut plaindre, 


(laurice Darville à Angéline de 


Cest avec regret que j'ai. quit- . Montbrun) 
lôvma chambre où d’ autres s: âmes n 
faibles sont venues chercher la for-: 
ce—où la Fleur ‘du carmel à pas- 
“&—Là, je n’entendais rien que ‘le 
murmure de lYamaska coulant 
tout auprès. Ce bruit: mélancoli- | 
que me fournissait- aille. pensées 
lrisles et doucès, 7. 


‘ Ainsi'vous persislez à vous te- 
nir renfermée, à refuser de me re 
cevoir, et pour vous, je ne suis plus; 
qu'un él'anger, qu'un imporlun. 

Angéline, cela se peut-il ‘ 

O ma toujours aimée, j'aurais dü : 
‘êci arter-vos, domestiques ct entrer 
chez vous malgré vos ordres, Mais 
je ne viens pas vous faire des re- 
proches. Je viens, vous suppliér 
d’avoir pitié de moi. Si vous si- 
viez conune, il est amer” de se mé- 
priser soi- même Lo 

.0. ma. pauvre enfant, votre ima: 
ge “vicht ie ressaisir partout, vo- 
tre vie si triste nvest un remords 
continuël, . : 

Et. «pourtant suis-je ° coupable 


Les vagues de 11 mér s'éloignent 
pour revaiir ‘bientôt, mais les 
eaux d’une rivière ‘sont comme le 
temps qui passe ct ne revient: ja- 
mais, 


| ‘ ‘ 


6 oveinbre. 


“Malheur à qui Hisse son. amour 
S ‘égarer el croupir. dans * ‘ce. monde 
qui passe; éar lors kC tout à l'heu- 
re il sera passé, :qué restera-t-il ‘à 
cette âme niisérable, qu'un vide in- 
fini, et. dans- une. “éternelle sépa- 


té mon coeur au visage ? à 5 


< “ 2 
éternel rates "ee Impuissance .quer à .ma parole. Oui, vous ma- 
a. u LE “Re vez. réduit à cetle abjeétion: Mais 
at , 7. sidvéinbre. sur” -1hon honneur,’ je. n'aurai de 
Le [mais d'autre ‘femme :que, vous. 


: 


l'ai passé l'après-midi 


entrée *Ah! soyez en sûre, oh ne se don- 

. du bois. . Le. -oleil-, dor ait ne pas deux fois’ avec. ce qu'il Y a 
* champs dépouillés, - ire  aritions. |. -de plus. tendre’ et dé plus profond 
chantaient dans: ‘herbe: Alétrie | ‘dans mion âme, QOtt plutôt, quand. on 
loutefois Path À bien. fait: ‘son ü. ré re prend | 


s’est donié ainsi, où nike 


Il à Mina, 


\! confiance, 


Mais quelle sérénité pro- | 


‘ 


9 


est-ce ma faute. si vous m° avez je” prouve votre résolution ?. 


‘Angéline, ‘vous m'avez fait Tuant- 


Les. rédactéurs, soucieux avant) “cherñicz des missions, vous fonde- Ë lus: 
, tout du bien général, trouveraient |“ricz des écoles: toutes vos bonnes Ë . 
vite leur besog she surhumaine, s'ils “oeuvres, tous vos efforts seraient ann, 
[° . A ‘ s° 


= plus jamais. 
su refroidir, 
au fond du 
jy a bien des 


Si Mon COCUT à parti 
Ma pauvre enfant, 
cocur de l'homme il 
imisères, nHtis par- 


DE dun, pardon pour l'amour de Jui 


qui m’aimail, qui n'avait choisi, 
Î Quoi !ue sauriez-vous pardon- 
Doer un tort involontaire ? Ah! vous 
lavez bien oublié la promesse faite 
cette solennelle promesse 
ide m'aimer toujours: ct de me ren- 
dre heurcux, h 

Si vous saviez ce que” j" ai soul- 
fert depuis le soir terrible de no- 


ditre séparation ! Oh !'eumment a 
Avez-vous pu  n'humilier ainsi ? 


Suis-je donc si viléà vos yeux ? 
Mon Dieu ! qui nous rendra a 
ce bien unique en sa 
| douceur ? + Vdus dites que vous 
wacceplerez javais un sacrifice. 
Jn sacrifice... ! 
Angéline, il est une chose que je 
| voudrais taire à jaunuis. Mais puis- 
| que vous me forcez d'en parler, je 
I vais le faire, Tôl où lard, vous 
le savez, on ne jouit plus que des 
âmes, ‘Et d'ailleurs, les traces de 
ce mal cruel vont s'effaçant cha- 
que jour, Tout le monde le dit 
FE cit pouvéz-vous lignorer ? , 
Î Mon amie, c’est moi qui vous 
? conjure.: d’avoir pilié de ma vie si 
triste, de mon avenir désolé. Que 
deviendrai-je si vous m’abandon- 
1 ? Us 
| seul je suis cet seul je. surui: 
vous Pavoue, je suis au 
times forces. La tristesse est une 
mauvaise conseillère, et j'entrevois 
des abîmes. Angéline, votre coeut 
est-il donc tout entier dans son cer- 
cucil ? … Li 
Non, ma chère orpheline, je ne 
vous reproche. ni l'excès, ni la du- 
ré de vos regrels. Sait-on com- 
bien dé temps une grande douleur 
doit durer ? Mais “votre douleur, 
jé la comprends, je la partage. 
Vous le savez, el vous ren pouvez 
1 douter. 
| Mon Dieu, que n ai-je pensé à 
‘| vous faire ordonner de ne pas dif- 
l'férer notre mariage ! Le malheur a 
voulu que'’ni lui ni moi n’y ayons 
songé, Mais croyez-Vous qu’il ap- 


l 
î 


je 


Angéline, c'est moi qui vous em- 


son corps, © Dieu | de quel amour 
je vous ‘aimais, ‘et: ‘combien - ja 
souffert de cdte horrible inpuis- 
sance à vous consoler. 

Mais aujourd’hui, ne puis- je : rien?| 
Jesxvous'asure que je ne voûs: 


vous arracha. i à la môrt;. et je! vous 
en. supplie, par Ja fraternité: de n6ô$ 


oi 


bout de! 


portai comme niorte d'auprès @e- 


mais ‘pas plus quand:mon amour 


AU EE RARE ERA 


4 
0 


krines, ; par célle divine espérance 


que nous avons de Je revoir, con- 
sentez à mentengre. Oh ! ais. 
Sez-moi vous Voir | laisser-moi vous 
parler ! Pourriez-vous refuser toit 
jours de nradimeltre chez vous, 
dans sa maison à lui, qui te non. 
mail sou Jils ? 


suis 
lcrimur 


La nuit dernière, je 


longlenps appuyé sur du 


jardin. Je vous avoue que je finis 
par m'v glisser, 
Une fois entré, d'en is le tour, 


La, froide clarté, du ciel nv mon 
uit tout hier Uriste, bien désolé. 
Un vent glacé chassuit fes feuilles 
flétries. Mais de passé était à, el 
qui pourrait dire Ja Aristesse et Bt 
douceur de nes pPÉnSÉCS ! 

D'abord, li'maison m'avail ph- 
ru dans une obsceurité complète, 
mais en approchint je vis qu'une 
faible luniére passait entre les vo- 


lets de votre chambre O0 chère 
lumière ! longtemps je restai à la 


À regarder. 

Angéline, ki vie ne doit pas ètre 
une veille troublée. Non, vous ne 
sauunricz persévérer dans une EONTE 
füution pareille, et bic ntÔE, comme 
Mina disait: Le su du Christ nous 
uniru. 
pris la force et Ja süavité ‘de cette 
union ? Doulez-vous"que dans son 
sang nous ne trouvions avec 
mortalité de Pamour, les joies pro- 
fondes du mutuel pardon. 

Non, vous n'aurez pas ee triste 
courage de me renvoyer dése spéré, 
Pai foi en volre coeur si tendre, si 
profond. . ; 

Vôtre, à jamais, 

L - Mauriee, 
CAngéline de Moutbrun & Maurice 
Dar ville). $ 


Maui ice, pardonnez-moi. 

- Cette résolution de ne-pas vous 
recevoir, Vous pouvez ie da J'en- 
dre: encore plus .difficile, encore 
pius douloureuse à tenir, mais VOUS 
ne la changer pas, L : 

.Et-faut-il vous, dire. .que de res- 
sentiment n'y est pour rien, 

Cher ami, je n’en cus jumuis cop | 
tre vous. Non, vous : n'avez Das 
trompé sa noble éonfiance, non, 
"vous avez pas manqué à 
parole, et moi’ aussi je Hendrai Bi 


mienne. 
: Mais croyez-moi, ce n est pas a- 


déjà éprouvé le: néant, que “vous 
* l'remplirièz le vide de votre coeur et 
‘de vos jours. E 

Je le dis sans: “reproche. O mon 
Joyal, je n'ai rien, absolument ; rien 


te 


‘à vous. pardonner." v 


4 


rest | 


pas voulu qu'elle fut sans conso: 


[ieis el une forec range He repor- 
Chrétienne, AVEZ-VOUS COM {Le à ce moment 6Ù mon père mou- 


Pine répétailil, 


votre 


vec un sentiment dont vous avez 


Elle y 


A Tan GT EE 


Pourquoi HUAVEZ- VOUS aimée 
Pourquoi ai-je lanl'assombri votre 
jeunesse 9 EL pourtant, notts avons 
été heureux ensemble, Vous rap 
pelez-vous comme ba vie nous ap: 
paraissait beile 9 Mais il n'est pits 
de uin qui prenne l'ombre, nr qui 
garde l'onde, 
Mon cher ni, nous lavions bien 
oublié. Dites-imoi, si cel enchante 
ment de l'amour et du houber se 
I continué, que surions-nous de. 


venus ? Gomment aurions-Hous pH 
"nous 


résigner à mourir ? Mais le 
prestige est vitgdissipé cl nous sit- 
vons nurintenemt que la vie est une 
douleur, 

Sans doule, Ja bonté divine n'a 
falions, el nos pauvres tundresses 
restent le meilleur adoucissement 
à nos peines. Mais nuË ne choisi 
Sa voie"el les adoucissenients ne 
sont pas pour moi, 


Non, si le Dieu de toute bonté 
nova fait passer par de si cruetles 
douleurs, ce n'est pas pour que ju 
me reprenne aux affections CE RUx 
joies de ée monde, Je le vois 
clairement depuis que je vous suis 


Sant in attira à Jui, après sa commu 
nion supréme: “AMOUrS sauveur, 


serrant faiblement ma 
tête contre st poitrine, Amour 
Sauveur, je vous la donne, O Sei- 
gnour Jésus, prenez-la, O Seigneur 
Jésus, consolez-la, fortificz-H Et 
à cette heure d'agonie, une foree, 
uns douceur surnaturelte se répan- 
dit en ‘mon fme, Toutes mes ré. 
volles se fondirent en adoralions. 
Pacceptai Ja séparation, Je me 
prosternai devant la croix el, je 


la reeus comme des mains du 
Christ lui-même, Et aujourdhui 
encore, il me la présente Je vois Ft 


ebje sens qu'il me demande ke re 
noncement complet, que fé dois 
être à Qui seul . To. 

Maurice, c’est Lui, qui a lout 
conduit, c'est sa volonté qui nous 
sépare. Cette parole, mon père 
me Pa dilé à Pheure du son ungois” 
se, el je vous la répète. Ah ! j'ai 
bien senti ma faiblesse. , ' 

Etre désillusionnée ce n'est pus 
ëbre détachée. Mon ami, vous le 
savez, Parbre -dépouillé tient {ou- 
jours à la terre, | 

‘Oh ! comme, nous sommes faits ! 
mais Ja volonté divine donne la 
force des sacrifices qu'elle com- 
mande. Je vous prie, ne vous met- 
tez pas en'‘peinc de mon avenir 
«C'est à Dieu d’en disposer: : le bon-| 


Jeu. et HT, tristesse m'ont bic dé- 


dl 


| 
nent tout droit ses périodiques, 


re nee 


Louve un aliment tout pré 


bilitée; iais Si je suis eptir seine 
si je suis fidèle, avant qu'il soit 
‘longtemps, j'aurai Ja 


pur. À 

EE vous aussi vous SUrUZ bientél 
consolt, | 
l'ourquoi pleurer ? de bone 
de di ferre, d'en connaissous-nous 
pas de panvrelé, mènte quand nous! 
pourrions l'avoir dans sa rielessst 
ce qui d'est pas Non, le rève 
enchanté ne saurait se reprendre 
fl ,pouetnnt que Be vie avec vors 
Me sers dotice encore ! Malyré 
le Lrouble de ‘non covur, ce m'est 
une joie profonde que vous soxez | 
venu, Le sentinent que vous me 
conserver, por moi, e’eslune fleur 


: , | 

sur des ruines, c'est un celhio at-| 
n , , È 
tendrissant du passé, Le passé D] 
Vous rappelez-vous cette roman. LS 
ce que vous chantiez sur Le sou | 


venir, qui West rien et qui est tout? 
Ah ft quoi qu'il arrive, n'oubliez 
pas. Et sovez béni de ve que vous 
avez fait pour ui. Jan 1is je nou. 
blierai avec quel respect VOUS AWC4. 
porté son deuil, ni vos regrets Si 
vifs, si sincères, ON, eornme ous 
&liez bon ! eomme vous étiez ton 
dre Je le sais, vous Je seriez etre 


tetisenee 
I À 


Notre prochain 


Un. 


Feuilleton 


Les lecteurs o6t foctrices qi ont 
suivi de puésent feuilleton de cet 
abnable ceriviain qu'est Lars C0 
nan, auront souvent fé Hppression 
nés el édifiés par Les nobles sen 
linients chrétiens des différents 
Dersonnages, 


Noits titons à croire que cette 
lecture for aita Fait du bien. 

Pour notre prochain feuilleton 
qui eonuneteera au prochaitr nt 
HÔPO, NOUS PÉSOPVONS À Dos lee 
lcurs duslenre chose 4e imieus en: 


core, ’est Phistoire de Paseo: 
sion d’ nn fine vers Dieu écrite 
par oleaème, d'une cñme que PE. 


glise proc le ie bicnheureuse et qui 
set canonisée cette année méme 
Vous nos léctoits connaissent déji 
sans doute eelle petite, sudnte, evtte 
pelile “four de Jésus", Tous n'ont 
pas du Phistoire de su vie et nous 
pensons leur Taire plaisir en La pure 
bliantier Ce sera clique : SOIALHC 
une loeture qu'il sernil trés ubilr 
de Faire en famille et qui intéres. 
sey'i tout Le monde, les enfants as 

si bien que Hs urinntes Personnes, 
un DIGtne Lenips qu'elle portera les 
dnies à jus de gonfiunce on Bien 
et à plus d'aour. 


éore. Mais il en est qui n'arrivent On voudra lire chaque sauuine 
du ciel qu'eusanglantés, et ceux Sins X EE ce récit tout mile 

eo intéressent pt exfrémenen 
n'ont pas droit-de se plaire, Glort ere , 


Je vous donne 4 FGsus- 
Christ qui seul nous aile comme 
nous avons besoin d'être  imés, 

arfout 61 Sins cesse, je Le privrai 
pour vous, 

Et puisqu'il faut le dire, adieu, 
mon cher, on intimement cher, 
adieu ! 

Quand j'étais enfant, 
pour encourager oux ‘renonce 
iwenis de chaque jour, me 
que pour Dieu, if n'est pus de sal 
crifice trop petits et aujourdhui, 
je le sens, il me dit que pour Dieu, 
il nest pas de sacrifice Lrojr pri and, 

Après ‘tout, mibn ami, en sucri- 
fiant tout, on sacrifice bien peu de 
“hose. Ai-je besoin de vous dire 
que rien sur Bi terre, ne nous si- 
tisfera junais ? Ali !sovez-en sûr, 
en consacrant. Puñion des, époux. 
lë sang du Christ ne Jeur assure 
pas Piminortalité : de Paniour, ct 
quoi qu'on fasse, fa résignation res- 
te toujours la grande difficulté, 
conune ele est le grand devoir. 

Sans doute, tout” cel est tristé, 
ét la tristesse a Ses dangers Qui le 
“sait micux que-mof ? Mais, Maurice, 
pas de läches faiblesses. Epargnés- 
moi cette suprême douleur; que je 
ne rOUISSE jamais de, vous avoir 
can Lo 7 oui 


Maurice, 


ion pére 


«disait 


nreien 
rer 
orme 


Le bonheur 


-"Aht je bonheur, on le cherelie 
parfois bien loin, «lors qu on la 
sous le main: nan vas le bonheur 
chimérique et vague, tel qu'on be 
rencontre dans Jesronmnuis, uns le 
bonheur humaih, le vêai, celui qui 
fleurit.sous les Jarmes el s'épanoutt 
dans l'espoir d'une éternité bien. 
heureuse et dans ke confiance eu 
Dieu,” Audré BESSON, 


D ete me donneurs 


. Ce que vaut ia fémme 

Un suvaut s'est livré récemment 
a une piquante statistique: il a vou. 
lu savais à combien était évaluée 
une femme par les divers peuples 
de lunivers. Son enquète, bicu 
qu'incomplèle, lui à donné de ent- 
bicux résultats, 

Ainsi, uné fiancée tartare coûte 
dix kilos de beurre; les Cafres sont 
plus exigeants, un jeune hônime qui 
veut se marier doit livrer à sa 
cée. huit vaches, Dans le Kurdis- 
tan, il faut donner deux. marsouins 
pour avoir une épouse} et aux Tes 
Fidii, une dent de. baleine. Les in- 
digënés de lOuganda, à la veille de 
se marier, doivent posséder, ati 
moins un paquet daiguilles à cou- 
dre, vingt cartouches et trois tau- 
reaux, le tout pour judemniser la 
Hs belle-mère de la perte de sa 

e 
‘Le. christianisme donne la meil- 
leure réponse. 
La femme vaut l'homme ct quel: 
- que. fois, ! un. peu Plus. 


fian- 


t 


ni em 


€: 1 & Nr d'Es LA ES + 

Ib ert Vigr Prud'homme . 
LL UE & 

Au moment d'aller sous presse, 
les journaux de Montréal nous ap- 
portent les premiers échos du pas: 
sage de Sa Grandeur Monseigneur 
Prid'homme dans Ta, métropole 
Canadienne, 


10CE- 


h 


voire concitoyen bien connu, 
1, Louis E. Valade, est 'allé passer 
ie veste de l'hiver à Los Angeles, ! 
dialifornic, A son départ, ses nont- 
béeux amis ont voulu lui faire une 


petite foie, ot Lui vont présenté en! Sous la signature de M, Omer, | ( 
cadeau un magnifique sac de-voya-| léroux, le benoir rend un hom- 


mage éneu au zèle et au dévouvment 
‘? de Pévèque de Prinee-Albert qui à 
—Un accident pénible à leur jeu-: bien voulu se rendre dans la pro: 
» 


se. 


ue bébé va retarder encare quelqués vinee de Québec pour se faire lui- | 


jours Le départ pour Montréal d'u! péme solliciteur d'abonnements en 
ne de nos excellentes famitles ca faveur du Patriote de FOuest, Ce 
nadiennes, M. et Mme KR, de la Gor-l geste à inspiré à M. Omer Héronf 
gendière, Tout. Prince-Albert regret-| l'un de ses beaut artisles qui jail- 
ie ce daéps art, Les ecreles: music: aux de, hissent tout natur clement de sou 
, Ja ville perdent en Mme de la Gor-! grand coeur de “atholique et de 
seondière une artiste de grand t- patriote, 7, 

ent. Son nom au progrannne di Nous serons heureux de repro- 
, ne soirée quelconque suffisait à at-; lire cet article au prochain numé- 
tirer Jes amateurs, de bonne et belle! jro et tous prions M. Néronx due. 
musiques sa’ jolie ‘ voix de sopi 400! ecpter l'expression de notre bien 
au registre si égal et très étendu, AU Live gratitude. : 
timbre si pur, « Le don de péaire! 

sans juuais fatiguer. Notre peus - 
lation gardera de sonvenir de M. r, . 

Mme de la Gorgendière, et tout en Les j juges du prochain festival 

leur souhaitant succès et prospéri-; L 

6 Lbus, ne manquera point de fai-; de musique 

re des voeux pour leur rvlour par | Ë 


+: 


Bésina. 


ini nous. : Le Dr James. Lyon, 
NT Angleterre, le Dr cdward Brome, 
"MF, Lacroix a été none pré- ide “or onto, et M. Frank $S. Wels- 


‘sident du bureau des commissaires | nn, ont été choisis comme fuges 


du Collegiate. «du prochain concours de, musique 
- De PASSAGE AUX burce aux dufoui a lieu cette année à North Bat- 
“Patriote”. M, et Mme Brisebois def tleford. 
Zénon Parks I y avait quinze ans De 
i que Mine Brisebois n'était pas ve 


Le tirage pour l'oeuvre des 


Soutds-Muets 


Montréal Le grand tirage potn 
Le changenient d'horaire sur Lest Foeuvre des Sourüs-Muets a rai- 
lignes du CN, surtout celle de uorté da sonne nette de K28,0Ù. 
PEst soulève passablement de cri] E£s directeurs de lPoutvre reiner 
liques chez nos hommes d'affaires] Cieht corilialement tous vettx qui 
La chambre de commerce a pris, la! vont pris part, 
chose en mains et doit porter des! Les berles tausées bar l'inceh- 
plaintes aux nutôrités compétentes.| ie ais nouveatix iteljers ne don 


pas tussi considérablés que 
- Notre Société d'Agriculture s disait 4Pabord, Elles sol d'envi. 


nue à Prinec-Albert: elle trouva les 
chéses joliment changées, et toits 
les deux: prirent plaisir à visiter 
Pinslallation de notre journal au 
quel ils s'intéressent beneoup, 


‘oc 


cupe déjà de Fexposition" de Pétél son Sat 

| prochain, Les, comités ont êté for-[e : sn. ! 
imés À une réunion récente des di-  ——— 
vecteurs. a dé décidé d'envoser Dpt ne Shei 
à Edmonton deux, délégués, le se. Une fondation pour les étu 
erétaire et M. Gambles pour vret- diants éanaëieïis en France 


dre part à la convention qui fixer 
la date des différentes e<positions 


DE] ? 
2,3 


aris— Le tinistre de llnstrite- 


dans FOuest, Prince-Albert veut k 
une date oui convienne à out lé tion publique, eñ France, autorise 
distriel et lui assure a présence de|le recteur de L'Académie, à degree 
nombreux exposants. L'expositiont ter tue -Hotabion de 2,600, UUU 
durera quatre jours. _… ffranes, de la part de l'hoor able sé 
… US huleur LM Wilson et de quclütes| 4 
RS ns auirés bhilinthtüpes canddiens. 


mis de à France. en vüe He ln fon- 
dation d'un hôtel dus étudiants cit- 
natlivtis en Fiince, 


ne D Qi ————— 


Une lesée dé:tinuit 4 inau 
güté l'anfée à Paris 


M. Turgeon rédigera la nou- 
velle loi des grains 


Winnipog. L ‘“hon. juge lurscon 
aui x présidé lt connnission rovale 
d'enquéte sur Le commerce des 

arains a acecpté de rédiger ki nou- 
Vélle lui des grains qui sera présen- 

. dée à fa session fédérale 

Le rapport de Li conumission d'en- | 


Paris. Pentaudt que les élran. 
uers eélébraient le fibuvèel an dune 
lôs tombreus” € “abaretss un. grand 
Sombre dé Pirisions assistaient à 
lt biesse de minuit ‘hu Sacré-Covur 
CA Notré-Däne-des-Victoires, un: 
tit. ivation ectte. année, 


. quète vient d'être terminé, est 
trés volumineux et couvre 50 pa- 
ses, 


ei 


M. Préfontaine devient minis- 
tre de Agriculture | 


an 


Man. - a 
divers changements luite duns le ci il 


Winnipeg. n vertu 


Montréal. 


éclipse eomruen- 
binet Braeken à latsuile de la dé. cern 4 8 heures du matin, le 21 
mission tu trésorier provincial {janvier moment où a’ une com- 
, Phons ECUM, Black, l'hon. Albert lirencera à passer entre le soleil e! 
Préfentaine qui représentait lélé-|la terre. - Elle atteint sa plénitude 
ment canadien, dans le cabinet en à Oh, JÙ du matin, alors que le! 
qualité de sec rétaire provineial, de. l'soleil aura une altitude de 12 de- 
vient ministre de l'agéiculture, : "lvrés au-dessus de Phorizon. À c+ 
LL Lu moment, 4 pour cent de Ja surs 


face du soleil sera obseureje par 
la lune, L'ombre de La lune pro- 


Le cartel fera un second paie- 
jetée sur fu terre se déplacer à 


L’ éclipse solaire du 24; janvier 


Un journal centenaire 
Chroni- 


“Morning 
de 84!) 


Halifax Le j 
cle”,a publié un numéro 
pages rempli d'artices  d'intérèt 
historique pour le Canada, à, loc- 
casion du centième anniver saire de 
sa fondation, Sa publication à été 
continuellé pendant ce siéclé.  C: 
ntunèro contient atuissi un Jac- simité 
du premier numéro de Bi Gazette 
dllatifax, le pr entier, journal publié 
au Canada, 


seems CH nn 


La terre tremble en Nouvelle 
Angleterre 


Des secousses de 
tremblement de terre ont été res-| 
senties à Gloucester, Marbleherd, : 
Salem et autres endroits du litto- 
tal 
» 30 secondes, 


| 
Boston. 


| tion 


Washington. Le divorce aux 
Etats-Unis est une plaie qui 
save toujours. On.se marie et on 
divorce comine on change de che- 


mise, ct'eela tient surtout à ce qu il} 


"VOA plus de religion, 

Comme réforme, Le Dr Brouks, 
président d'université 4 Waco. 
Fexas, propose que personne ne 
puisse se marier avant que le nia- 
riage ait été publié un an d'avance. 
1] De “plus il obligerait Je jeune hoim- 
Loc à attendre Fâge de 22 ans ct 
la ivune fille l'âge de 19 ans, 

lRéfornie qui ne réformer: 


———""$ 


rive 


t 


". 


Les secousses ont duré de 20, nu 


Encore une lubie de réforma-| |} 


s' U L 
CHELLES LD 


Marché aux grains de Prince. 


Les sülaites sotit réduits dans 


lés Filatures de Fall River 

pau iv Ude rcdueiton de 
sülaire di là -pbu vont affectant 
entre 20.000 et 25,000 vuvricrs se- 
Pa mise cft viguulir ans Les l'abwi- 
uties de eulotin: tes de eétte vif 
le lundi 19 fanvier Catte nüwnivel- 
le à été annoncée à l'issue d'une 
longue votlèrence ehtre de coinité 
eséculit de L'association des fabri- 
vunts de cotonnades de Fall River 
el une délégation du conseil tvxtile. 

Î 


sé: 


TT TT : 
. Plus d'ébeés âux dents 


Foronte.s - Un dentiste de To- 
boto vient de découvrir qu'en se 
gbbvant dub ainaldinie de cuivre 
Huur bomplit les “dents il ne se 
soduit plus inmuis d'ibeès à ln 
Fine des denis. cel amalginie a 
vante prenritié d'être un désin- 
fechinl parlait. 


a ne - 
| ent bersonnes Helées à mort 
À 
Fiis Coovgie— Ute ceuttine de 


personnes 01 des milliers d'ontattx| 


ant été vitlimes du: froid dahs de 
Caurase. Où 'avail pas vu 
setfblable depuis plus d'un sivele. 
et l'on er tint que les dominäges cau- 
sés aux récilles  Hsmènent une 
grande famine, 


ET 


Lines atlévations, publiées, dans son 
journal “Dearborn  Indepe ndent* 
sur Le compte des Juils.” Dans 

série d'artieles ineriminés otr, 
rail le nom de Saniru, il était ques- 
on d'une “conspiration juive pour 
contrôler PFagriculture de PAméri- 
que, ou organiser les fermiers d’A- 
mérique dns les intér èts du Coin 


in 


ment raison de 1,500 milles à Pheure,, 


me 


Réuine, Le président du ear- 

tel de a Saskatehewan A. À. Mc- 

* Phail, annonce qu'un second paie- 

. ment sera fai aux Ccuitivateurs du 

teartel pour leur Dié vers Le ter 
CRHITS, 


Des tempêtes 


Les dlénents paraissent liltéra 


mn 


ropéen, à l'aurore de cette unnéci 
nouvelle: sur les côtes d'Angleterr: 
comme sur celles de France, 
niutfrages sont nombreux et les dé 
sastres dnealendables La ville so. 
victique de Leningrad est ellemêè 
Londres On est à prendre des) me lavée par Pinondation. Leon 
HICSUrCS pour amener 200 familles! veuu des eaux sv ss élevé à huit 
du Royanne-Uni en Canada, dit le! pieds au-dessus de ln normale. 

. Dax Telegraph”. Ces gens s'êtu- 
blirent sur des fermes qui leur se- 
ront fournies par l'action concertée 

- des gouvernements anglais et eana- 

diem. Parmi ces 200 familles il en 
viendra du nord de l'Ecosse, du sud 

, des Gallès et dedl'ouest et du sud de! 

! F Angleterre. 

Le gouvernement anglais prètera 
trois cents livres sterling pour l'é- 

. duiperuent de chaque ferme de ces 

HonvVeaux colons. 
Mille autres émisrants nm 


ee eme ee ME EREESS 


: ZCC familles anglaises pour le 


Canada 


ER 


Ju 


M. Edouard Montpetit à la‘ 
Sorbonne de Paris 


%. 


LE Canada est défi- 
nitivement entré à la Sorbonne 
conne matière régulière de eouré 
et à partir de mars nrochain, M. 
Edouard Moutpetil, Secrétaire dé. 
ntrul de: PUniversilé -de. Montréal, 
donnera une série d'environ . dix 
cours qui porteront sur la terre ot 
le peuple canadien: sujet un pou 
aride peut-être, quais que M. Mont- 
petit saura rendre des plus inté- 


Mentréal.-- Le 


plus tard pour Le Canada. 
en 


: Le sanatorium sera orêt le 15 | 


ressants à son. auditoire francs Lx 

mars LTACC AUX APCTÇUS NOUVCAUX “qu'il 

E RC INUNqUCrA pus d'v apporter ci A 

Saskatoon. Un certain nombre fa” perfection du stxle qui a tou: 


de luberculeux attendent déjà l'ou- jours caractérisé notre éminent 
verlure tu nouvean sanatôriun, Sel conférencier ef écrivain canadien 
. ion M, B. Cook. président de laf françcais. 
ligue Contre la tuberculose. 61 _W; Le cours de 1926 sera donné par 
Sharon, architecte provincial, Pé fu tea Désv et celui de-1927 par 
 difice sera prèt à ètre oceuné Tef le Chanoine Finile Chartier vi- 
45 iars. On mettra à fa tôte de 
Pinstitulion des spécialistes qui oni 
fait leurs preuves; muis les autres 
. employés seront pris dans HE ville | 
.méme, 

Les sutorités munjeipales ne son- 
gent pas à consiruire une ligne de 
iramweanvs - jusqu EUUE Sunatori im: est 
dépenses seraient rop' fortes pour 
“les revenus. Libre au #uuverne- 

. ent provincial de ha faire, ‘ 


tré. , 


ee 
Le travail de nos commissa 
. 0 " “ 
riats canadiens à Londres 
et à Paris: 
u mener 1 st 

Québée.— M. Lucien Pacaud, ‘Se 
Sisinnt du hit commissaire du Cu- 
mada à Londres, est len visite à 
(Québec. après deux aus, absence, 
: “Je m'avais, dit-il, à mon arrivée 
à Londres iteune idée du. forida- 
he travail: de: nos aa bussules def 
Londres et "de Pagis, Qu'il 
fise de: vous diréque le chiffre des 
lettres. que nous: expédions je ‘in 


cie 


‘373 entrées à l'école normale 
de Saskatoon. 


Saskatoon. L'école normale rr- 
2orue d'étudiants! une entrée de 
sa ent. lieu à la reprise des cours 


Ve 5 janvier. 150 vont faire leurs née est passé de 17 000 en 1924 
18 semaines pour lobtention d’un! 00 cette anñée, Dans le doniine s0- 
diplôme de seconde . classe, L'ou L cial, nous nous occupons des Cana- 


diens-de passage, Dans les six der- 

niers mois 7,000 canadiens -ont vi 

sité Londres et° personne/lement j'ai, 

serré bi ain à . 4,600) ‘d' entre eux." 
i \ Los Î 


verturé du voûrs de 13 semaines 
dannant droit à un. certificat. inté- 
“rimaire a ficu aujourd'hui ‘même, 
F{.janvier, ee ne ou 


lerent déchainés sur le monde our | 


eu-recteur de P'Université de Mon: Ÿ 


inc sHl-} 


à 70.-| 


münisnie," 

Sapiro prétend que cvs articles 
sont de nadure à nuire sa parties 
nation ti mouvemon vo-dpéraif, ot 
il va poursuivre M. Ford en Hibetle 


froit! 


a fn 
Marché aux grains de 
Winnipeg 

ht - + . 

ble, Nos ÿ nord, 4.92 8: No. 

2, 1,85 1-85 Nos 4 LS0 1-8: No. 

50 1-81 No. 5, 164 3-8: No. 0. 

1.54 1-4; fourrage, 131 1-81 voie, 
1.88 1-8, ' 

Avoine.- No, » CM. 92 1-5 No, 

4 CM et extra f fourraue. Bi 7-$; 

! No. 1 fourrage, 59 7-8: No, 2 lour- 


| ago, 


1 


a 


peur S1.00D.000, si celui-ci ne se re) 


uw tete pts dei 0 jours, 


DE 


Un raszsare du roi d'Angl: . 
terre au cardinal Gasquet 


Londres. Dans un 
cardinal Gasquet, à 
son jubilé sacerdotal, 
#es exprime Pespoir que la vie du 
cardinal se nrolongera pour’ rem 
polir les devoirs de sa situation vt 
achever les ocuvres qui l'ont rendu 
célèbre, Le message fut transmis 
pur Sir Oo Russel, tmuinistre de Ia 
‘Grande Pretagne au Vatican, 

ST 


+ Li Li 
La grippe en Belgique 

Bruxelles Une épidémie assez 
grave de grippe sèvit. en Belgique, 
ét au nombre.des viclimes.on nen- 
Hionne N° M, la reine Elisabeth, ain- 
si que te Premier ministre, M, 
nis, 


1% 


Caillaux en liberté 


HCSSARC El 
l'oceasion de 


le roi Geor- 


Paris Le Dit  d'amnistie voté] 
pau” le parlement vient de rendre ù 
iberté à 504:000 personnes, Pa LA 
te comprend outre Pex-premior mi- 
nistre Cnillaux, des désertours, des! 


leurs, cote, : è 


Lg 


î 
| tine 

Buenos-Aires, -- Le Vatican ayant 
nonuné- Mgr Boncto’- administre 
apostolique de Buenos. Aires ‘sans 
consulter le gouvernement, fe con- 
fit entre l Argentine et le Saint-Sié- 
ge Sest agrave, . es te 


: ta 


’ L'emprunt domestique en 
u France a été un ‘fiasco . 
| 


; 


h—— 
Paris — Lo ministre des Finaners, 


ivement pi fe Sénat, devant qui ii 
confesse que Pemprunt domestique 
est un fiasco, ct ne rapporte. qu'un. 


milliard, au lieu de cing, qu'on es-{à 


comptait, ‘Les sénateurs ‘défetdent! 


3 


| Difficulté religieuse en Acte | 


1È 
ateur À 
FR 


au ‘üinistre de toucher aux ressour-t 


ces de Femprunt étranger. (Morgan): 
Dour équilibr er son burgot, 


Ko. 


Vents 


Nous avons g 


ment firal à 


des prix vraiement avantageux. 
rable de complets pour hommes, tweeds et serges, modèles pour jeunes gens æ 


d'écoulement de 
notre rayon des véteme nts . |l 


roupé notre assortiment de complets en quatre lots pour écotilee 
Nous avons un choix très conside- 


pour personnes d'âge. 


Lot No 1—Twecds et ponte 
+. 19.95 


à 


Lot No 2—Tweeds et worsteds 


= 
9 


CCC 


eme se 


ES RARES 


1. SI.G8: 


ÂAtbert 


Kl,07; No, 4, S1.41, 


67 JS. 

Orge. No, 4 CAVE 92 1-1: No. 
4 CNW 86 LA: rejelécs 8 si 1-1: four; 
rage, 89 1-4: voie, VER |, 

Eine. NE 9.67 A: No, 2 
CM. 2.693 8 ; Nu. Érs WW, et rejeté, 
2,93 JS: voice, 2,067 3h. ! 

Seigle. No, 9 CN. nl 


le nt 
DUUS 


Marché’ aux ‘animaux de Win- 
nipeg 7 ‘ 


boucherie SES ñ 
QUE vaux | 
QUE PFélevagr, Su 


Sapiro demande à Ford de sel“! 
retracter-” 
Chicagb.-"Aaren Supiro deinan- : 
de à Henry Ford de retracter cer- 


; 
i 
| 
u 
| 
Î 


Chandelles et Gierges 


Fheu- | 


] (Manitoba-Saslatghewan) 
grévistes, des traitres, des Spéule EU 


Bouvillons: de 
2,793 vaches, S 50 à sf: 
Où Lengrais vl:p 


Li 


nn ven 


Na. 9, s1.63: No, 5, 


hs... 


Marché aux amimaux de 


Prince-Albert 


\ —— 


et 


Les ovufs frais 
volailles: 
poules 19e: 
Let cantueds Lac, 
figu-! 


Les 


ete n 


Honv avait pas ile hestiaus sur 


Por es gras, 9.50... 


Re. 


Marché de la fcrmière 
cf Ÿ 


ET 
notlets 3 à 
dindés 21 à 95e; oies 


ché celle semaine. 
auront, acheter it os 
te 


Le Leurre, 25 tie, 
Les patates K£.Dn. 


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mr ne nee eee 


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et pouvoir lire, écrire et parler les 


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: tes Les applications.-devront être 47 janvier 1925 Adréssez toute 

Batteries et violon, (Kettlcdrum),) dressées avant ou le Ji janvier 1935, . ‘correspondance x Joseph Gervais, 

xylophone, tuhaphone, petite euis- | La soumissiou la plus haute où Lan | Nr de: FEcole Ness, Méota, 

# û 0 à ape H VU DH re- H $ + … 

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Cours d'harmonie, orchesire, pro! Grosse” les applications à 4. INSEHUTEUR où ‘institutrice hi- 

lessionnels. | Dionne,-Scc.dlrés, de Et Municlpae ANT pour. l'école du village 

lité Rurale de Duek Lake, Duck] Atétxile. Mentiouner sataire 1e. 

. Luke, Susk 45-48 Hi ë, Ouverture . le î janvier 

Jacobus Wisse “the, DISK, | : ! S'adresser à M. l'abbé EF, 

- . | de jui Albertville, see, Albertvit 

élève grand cons, énropéen, premier] ° As SuSk. 40-- 
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Duek Lake, No AU, bureau de poste 
[de Duck Luke, Sask., pour les posi- 

tions de  (Secréthire-Trésoricr et 
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Peior de In Santé. Ceux qui feront 
: application devront : uientiouner 
. leurs qualifications, Jour expérience 
antérieure ot Je salüire demandé.i 


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de  Secrétaire-Tlrésorier 


| 
| 
| D 


et E valun- 


—— 


Vente d'écoulement de j 


S 


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plus has. 


Lrotour de Ja ‘malle: 


; 
ï 
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; 45-48 P. ne =\ 


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à 23.00, prix de vente 18,00 ::., 10400, prix” dé vétite, 
” 27.00, prix de vente ee MUR. LL 15.00! prix de vente U 
"30.00, prix dé vente ….... 22.50 N : 
33.00, pfix de,vente un 26,25 Mackinaws, pour garions . 
Voici de ‘très ‘bon mackinaws .£, Régulicr, $ $ 6.00 “pri de vente ms 150 M 
Régulier, K 9,00, “prix. de vente ne 6. T5; prix de vente ET ° 4.75 ‘ 
_ 12.00: prix dé vente. ” 6.93," prix. dé, vente ‘. 195 
15.00, prix de _vénte - ® 7.50, prix de” vente: eur 550 
Î ù : SR RER Re 
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FN a: EN 


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